[Légende id = « attachment_38178 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Une femme votes dans les élections nigérianes de 2011. Crédit image : Les jeux du Commonwealth[/ caption]
[vedette] Insécurité, illimitée aux facteurs ethniques et religieuses, Monte et inquiétudes persistent sur l’incapacité du gouvernement à offrir un environnement paisible et d’assurer la sécurité humaine. [/standout] Avec grande diversité ethnique et religieuse du Nigeria, création de « unité nationale » au Nigeria est un défi, particulièrement entre ses « Nord musulman » et « Sud chrétien ». Grands problèmes politiques du pays ont de fortes implications régionales, en particulier les activités de Boko Haram. Avec des élections nationales de 2015, activités politiques sont en plein essor, et les pressions populaires sont de plus en plus dans le grand Nord, notamment de groupes extrémistes tels que Boko Haram et Ansaru et aussi différentes agitations de différentes parties du pays. Comme le débat sur l’éligibilité du Président Goodluck Jonathan pour contester l’élection présidentielle de 2015 continue à chauffer la politie, deux Nord leaders (Aliyu Babaginda et Buhari) ont mis en garde que cette crise peut-être émerger d’énormes proportions capable de briser le pays si le Président Jonathan continue sa campagne pour être ré - élu en 2015.
Approche de l’élection présidentielle de 2015, mais le Nigeria est en guerre avec elle-même. Insécurité, illimitée aux facteurs ethniques et religieuses, Monte et inquiétudes persistent sur l’incapacité du gouvernement à offrir un environnement paisible et d’assurer la sécurité humaine. Le fait est que la violence qui constitue un obstacle opérationnel pour la consolidation de la paix qui aussi pourrait porter atteinte à la croissance et le développement du Nigéria. À mesure que la détérioration de la sécurité, préoccupations persistent sur la capacité du gouvernement d’offrir un climat qui rendrait certaines régions moins dangereux avant l’élection présidentielle de 2015 réunit vapeur. La montée de l’extrémisme domestique, d’enlèvements et de militantisme constituent une menace pour la nation. L’affirmation factuelle, c’est que la violence qui entravera grands rassemblements publics au cours de la campagne en raison de problèmes de sécurité. Les dirigeants du pays doivent faire le point sur les mécanismes de résolution de conflit en place pour faire face à la fracture politique entre Nord et Sud, musulmans et chrétiens et à prévenir la violence électorale en 2015. En outre, perceptions de Fair-Play, équilibre régional et partage de pouvoir tous déterminera future stabilité nationale.
Politique de l’identité ont été utilisées pour différencier les groupes ethnico-religieux. Au Nigeria, religion fournit une base pour l’identité et l’engagement ; des conflits existent entre les communautés dans le but de promouvoir leurs valeurs culturelles ou religieuses. Une personne peut seulement être votée pour, s’il est musulman ou chrétien, Igbo, Haoussa ou Yoruba. Il n’est plus une quête de qui est le candidat le mieux placé mais quelle tribu ou la religion on est attaché à. Il y a eu plusieurs raisons attribuées à ces affrontements, mais principalement l’intolérance religieuse et ethnique.
Identité religieuse est une autre forme communément définie de reconnaissance. Au Nigeria, il est regroupé sous l’Islam, Christian et traditionnel. Ces groupes religieux s’affrontent souvent pour la plupart entre les chrétiens et les musulmans. Les effets qui en résultent de ces sectaires s’affronte, est l’émergence de groupes ethniques de militants et religieuses notamment, Boko Haram. Selon Reynal (2002), « il existe deux raisons principales pourquoi les différences religieuses peuvent générer plus de violence que les autres clivages sociaux. Exclusivement de la religion, vous pouvez parler plusieurs langues, mais vous pouvez avoir qu’une seule religion ». C’est un marqueur d’identité qui forme les grandes différences dans la relation sociale et concept populaire du monde. Religion transcende les frontières nationales, d'où lienavec Al-Qaïda Boko Haram du Nigéria. Dans la religion, il y a généralement le concept d’un « nous contre eux » les plus religieux fondamentaliste ont tendance à utiliser.
Les récents exploits de Boko Haram et l’enlèvement de plus de 200 filles de l’école a attiré l’attention des États-Unis et d’autres communautés internationales au Nigéria. La sécurité humaine est remise en question ces crises ensemble parce que les citoyens restent vulnérables. Conflits a conduit à une méfiance mutuelle, qui menace la sécurité du pays, les personnes, biens, environnement et a conduit au fort taux d’émigration au sein et en dehors du pays. L’État a la responsabilité de protéger les vies de ses citoyens, les biens, les droits de l’homme etc. et employer des politiques qui vont sévir contre toute forme de menace contre ses citoyens. Nigéria étant qu'un point focal en Afrique de l’Ouest ne devrait pas minimiser les conséquences de ces conflits, d'où la nécessité de faire face aux défis carrément en mettant en œuvre des politiques orientées vers la gestion des conflits.
La dynamique politique du pays affecte également la croissance et le développement durable. L’instabilité politique et les troubles civils ont tendance à faire des ravages sur la croissance économique et de provoquer des graves aux droits humains. À l’heure actuelle, le système politique encore se démène avec cohérence de l’État, amélioration de l’efficacité institutionnelle du gouvernement, sécurité intérieure, représentation démocratique et attitudes, application de la Loi de l’état de droit et les réformes économiques. Situation politique générale plutôt incertain du pays souligne l’évaluation que la transformation du Nigéria est loin d’être terminée. Le Nigeria est une société divisée intensément en raison de l’efficacité institutionnelle du système gouvernement, patron du pays de la représentation démocratique et attitudes envers la primauté du droit sont encore faibles laissant.
Contraintes structurelles ne doivent pas être négligées dans toute analyse du Nigéria ; la marche à suivre est de développer un modèle spécial pour la résolution de conflit uniquement pour le Nigeria. Politiques devraient viser à renforcer la démocratie, développement des droits de l’homme, l’économie de marché, développement des infrastructures, fourniture d’emploi, de gestion des conflits et de prévention au niveau local, en particulier dans les zones de hotspot du pays, afin d’assurer le calme de longue durée et à stabiliser davantage le système fédéral encore fragile, à trois niveaux.