[Légende id = « attachment_47647 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Capitale du Burundi Bujumbura a été secouée par violentes manifestations depuis fin avril cette année. Crédit image : M S/ [caption]
Des affrontements violents et la tentative de putsch
Décision par le Président Pierre Nkurunziza d’éligibilité à la présidence pour un troisième consécutif terme fin avril cette année a suscité des semaines de protestation dans la capitale burundaise Bujumbura, où les forces de sécurité et manifestants opposent à la candidature s’est entretenue avec des affrontements violents. Human Rights Watch affirme qu’étant donné que les manifestations ont commencé le 26 avril, au moins 30 manifestants ont été tués et plus de 300 ont été blessés. Un controversé tentative de coup d état le 13 mai, ajoutée à l’atmosphère montante d’agitation comme chefs de l’armée a tenté de renverser le Président alors qu’il a assisté à un sommet en Tanzanie. Le coup d’Etat a rencontré une opposition des forces de sécurité fidèles au Président et peuvent cause des divisions au sein de l’armée, qui était jusqu'à récemment un symbole de clé de l’unité ethnique dans après la guerre civile au Burundi. Nkurunziza rapidement renvoyés dans le pays, maintenir la présidence et qui a confirmé son espoir de remporter un troisième mandat d’élections durant l’été.
Événements récents
Poussé par la situation déjà fragile dans la capitale, des élections parlementaires à l’origine avoir lieu le 26 mai ont été récemment reportées pour la deuxième fois ; la nouvelle date proposée par la commission électorale est désormais le 29 juin. Élection présidentielle initialement prévue le 26 juin est maintenant reportée au 15 juillet. Il est à espérer qu’un climat propice à des élections pacifiques peut être établi à ce moment-là.
Malgré le report des élections, les gens continuent à fuir vers les pays voisins, y compris les hauts fonctionnaires. Le HCR a indiqué que 96 720 réfugiés burundais ont été enregistrés sur 5 juin 2015. Et malgré la volonté des politiciens pour aller aux urnes cet été, de nombreux doutes subsistent quant à la capacité du gouvernement de désarmer les milices, d’arrêter la violence et intimidation et surtout pour permettre l’exercice d’une presse indépendante, toutes les conditions vitales pour la tenue d’élections crédibles.
Bien sûr parfois de ces tensions il y a une grande variété de points de vue exprimés sur les élections. Beaucoup dans la peur de la société civile que conflit continueront dans l’approche des élections à l’été si les protestations continuent à s’enflammer dans la capitale du Burundi, comme a été prédit. Le nombre de victimes des affrontements entre manifestants et forces de sécurité est déjà plus de 30 ans. Il reste une forte préoccupation que le paysage actuel de la violence rend des élections pacifiques et équitables à la fin juin extrêmement peu probable.
La violence et l’incertitude fait vie professionnelle est difficile pour toutes les parties de la société, y compris la société civile. Pour ceux qui s’efforcent d’apaiser les tensions entre groupes rivaux dans la société, un blackout des médias a rendu les choses difficiles, parce qu’il a encouragé l’épanouissement des rumeurs et a empêché des messages de paix se répand, et rend plus difficile de partager les mises à jour de l’élection avec la population, en particulier dans les zones rurales.