[Légende id = « attachment_48278 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Suite de violence au Burundi a donné lieu à des milliers de fuir vers les pays voisins. Crédit image : Commission européenne, DG ECHO/ [caption]
Poursuite des troubles dans la capitale du Burundi, Bujumbura, a créé un climat croissant de peur. Étant donné que le Président Pierre Nkurunziza a décidé de se tenir pour la présidence pour un troisième consécutif terme fin avril, des manifestations violentes dans la capitale ont approfondi les sentiments d’insécurité dans tout le pays. Le nombre des victimes continue de grimper, au moins 77 morts maintenant et plus de 500 blessés. Les explosions des coups de feu et de grenade sont devenus fréquents dans la capitale, et peur de la violence se répand rapidement dans les zones rurales. La semaine dernière, 4 ont été tués et 30 blessés dans une série d’attaques à la grenade pendant la nuit.
Il ne reste que le climat de violence dans le pays entrave les chances gratuitement et équitable des élections dans les sondages à venir. Les dirigeants africains ont appelé au dialogue entre toutes les parties impliquées dans la crise après qu’une réunion qui s’est tenue le 15 juin à Johannesburg. Avec les élections parlementaires prévues pour 29 juin et les élections présidentielles controversées maintenant réglées pour le 15 juillet, il est à espérer que le dialogue ouvert peut réduire le risque de nouvelles violences. En attendant, Nkurunziza reste ferme sur sa décision de se présenter pour un troisième mandat au bureau.
Tensions croissantes ont entraîné autant que 150 000 personnes fuyant son pays aux nations voisines. Déplacement au Burundi lui-même est une source d’inquiétude, avec nombreux quitter leurs villages en prévision des conflits. Certains craignent que les cultures ne seront pas récoltées cette année, grever davantage sur le travail de la société civile pour réduire les tensions et empêcher la propagation de l’instabilité dans les zones rurales.
Malgré le contexte très difficile pour les bâtisseurs de la paix au Burundi, quelques groupes de la société civile ont continué à se mobiliser pour la paix, lorsque c’est possible. CEDAC par exemple a réunit des représentants de la jeunesse qui ont été impliqués dans les manifestations et les jeunes affiliés au parti au pouvoir pour discuter des stratégies d’éviter, de réduire et de prévenir la violence. Recherche d’un terrain d’entente au Burundi a également été faire passer le message de paix en ligne et par d’autres formes artistiques pour promouvoir le dialogue, de tolérance et de réconciliation entre les Burundais.
[Légende id = « attachment_48276 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Groupes de la société civile ont travaillé lorsque c’est possible de mobiliser la jeunesse pour la paix. / [caption]