[Légende id = « attachment_45759 » align = « aligncenter » width = « 580 »] uluiliul Au milieu du conflit syrien, une initiative est en cours pour parvenir à la démocratie. Crédit image : Yasin Dunam / [caption]

[vedette] Le projet prévoit toutes les parties en Syrie pour former un assembly s’engageant toutes les communautés [/standout] une nouvelle initiative a été créé en mai 2015 Cizîre canton de Rojava (Kurdistan Ouest ou nord de la Syrie) de 9 partis kurdes. Leur but était d’unir toutes les parties à travailler ensemble pour créer une solution démocratique à la crise syrienne. Plusieurs réunions ont eu lieu à Istanbul avec les parties, les organisations et les politiciens individuels au sein de l’opposition syrienne, dans l’espoir de tous les membres travaillent en coopération pour mettre un terme au conflit.

Après 10 mois de travail, l’initiative a créé un 'projet de résolution pour une société démocratique '. Les grands principes du projet comprennent une transformation du nationalisme Chauvin pour une société démocratique, la poursuite de la lutte contre les groupes fondamentalistes salafistes, la défense de la Syrie et le respect de toutes les personnes et les communautés vivant dans le pays.

Afin de réaliser ces principes, le projet appelle toutes les parties en Syrie à participer, à négocier et à former une Assemblée de faire participer les représentants de toutes les communautés, y compris les organisations de femmes et des jeunes. L’Assemblée devrait aussi "pour entreprendre des travaux en vue d’un cessez-le-feu, la libération de tous les prisonniers politiques, établir des relations avec tous les États impliqués et avec les Nations Unies, met en place une administration et organisent une élection dans le pays et se composent de deux comités : un Comité chargé d’élaborer une constitution démocratique et un Comité de préparer une élection générale. » Le projet stipule également que l’autorité de l’Assemblée prendra fin dès que la crise syrienne est établie et un nouveau gouvernement est constitué.

Réalisations à ce jour

[vedette] Il y a eu des succès dans la mobilisation des partis politiques et organisations de la société civile [/standout] le projet a des plans à court et à long terme à réaliser par toutes les parties en Syrie. Cela montre que l’initiative est conscient du fait que la crise ne sera pas résolue seul par les puissances régionales et internationales. Cependant il sait aussi que les parties en Syrie toujours besoin de l’aide d’acteurs internationaux dans la négociation d’une solution politique non armée.

Par rapport à l’opposition syrienne, la région autonome de fait des Rojava a fait relativement bien à maintenir l’unité des forces armées et de défendre la région contre des groupes salafistes. Il a également connu des succès dans la mobilisation des partis politiques et organisations de la société civile à l’instauration de l’autonomie bien qu’a nié et ignoré par les acteurs nationaux, régionaux et internationaux.

Réunion de l’initiative avec l’opposition syrienne à Istanbul a marqué un point de contact initial de politique et diplomatique entre les parties. Aldar Xelîl, un des cadres TEV-DEM (mouvement démocratique de la société) fait valoir que « un système fédéral qui accueillera les identités de tous les peuples et les groupes religieux est maintenant inévitable » en Syrie. Si les Kurdes obtenir le soutien des partis d’opposition et des acteurs qui veulent prendre part à une résolution démocratique, il sera fort possible d’établir plusieurs régions autonomes basées sur les origines ethniques, religieuses et historiques.

Les Alaouites (Ouest), sunnites (du sud-ouest au nord-est) et les régions de Rojava (Nord) sont trois autonomies possibles. Le projet visera à décentraliser l’administration de l’État et l’autonomisation des acteurs locaux, les organisations et les populations pour l’autonomie.  Fawaz Cemil Azul de Heyet al-Tansiq apprécie le projet de TEV-DEM pour la démocratisation de la Syrie et fait remarquer que l’établissement des administrations autonomes démocratiques dans d’autres parties de la Syrie est tout à fait possible puisque c’est un projet d’envergure nationale et défend toute diversité religieuse, sectaire et ethnique dans le pays.

Le rapprochement politique entre l’administration autonome de Rojava et de l’opposition syrienne est devenue relativement efficace dans le rapprochement militaire de la principalement les Forces de défense du peuple kurde (GPJ) et certains groupes au sein de l’armée syrienne libre. Cela a été observé notamment dans Kobanî où GPJ et certains groupes de FSA luttent ensemble contre ISIS. Il devient de plus en plus évident qu’une opposition Rojava et syrienne être relations renforcées. Petites étapes peut conduit à une plus grande coopération politique et militaire entre les deux.

Certains responsables du gouvernement syrien ont récemment déclaré que le gouvernement pourrait négocier autonomie kurde dans le nord du pays. Le ministre syrien de l’Information aurait parlé sur une émission de télévision d’Etat : "kurdes font partie du peuple syrien. Nous sommes prêts à négocier avec les Kurdes dans le cadre de l’organe d’administration locale à l’intérieur des frontières de la Syrie. Kurdes sont un partenaire majeur dans la lutte contre ISIS, une menace que nous affrontons ensemble. Nous sommes prêts à négocier avec les Kurdes, en vertu de la Loi nationale syrienne et les règlements. »

[Légende id = « attachment_45698 » align = « aligncenter » width = « 580 »] rthtrhh Dans certaines régions, les forces Kurdes sont sont battus aux côtés de l’armée syrienne pour lutter contre la menace d’ISIS. Crédit image : kurdistan libre/ [caption]

Défis

[vedette] Ce que kurdes et le gouvernement syrien attendent des négociations peut ne correspond pas [/standout] ce que les Kurdes et le gouvernement syrien s’attendre à de possibles négociations ne peut-être ne pas nécessairement correspondre. Le ministre se réfère à la Loi nationale syrienne, mais on sait que le gouvernement syrien n’a pas fait des règlements pour la reconnaissance des minorités ethniques. Négociation avec les parties qui veulent la démocratie, la reconnaissance et la décentralisation est essentielle pour la réconciliation possible entre le gouvernement syrien et les groupes d’opposition dont l’administration autonome de Rojava.

Les parties et les organisations de TEV-DEM et initiative kurde ont toujours remarqué qu’ils considèrent Rojava comme partie de l’Etat syrien et visent à réaliser l’unité avec les partis de l’opposition démocratique qui vont reconnaître le statut de cette autonomie. Acteurs régionaux et internationaux ayant un fort impact politique, diplomatique et militaire sur l’opposition syrienne, il ne peut pas être aussi simple que ça pour le reste de l’opposition à collaborer avec une administration autonome dans le Nord.

Cependant, Rojava a été plus d’attention après les attaques contre les Kobanî, surtout quand les forces de la coalition internationale dirigée par les États-Unis a contribué à la défaite des forces GPJ et YPJ QU'ISIS bases et sauver la ville. Maintenant il est temps pour ceux qui veulent sauver les autres parties de la Syrie pour soutenir le rapprochement de l’opposition syrienne et Rojava autonomie afin qu’ils unir et créer un bloc de la démocratie pour négocier leurs revendications auprès du gouvernement syrien. Qui, comme le croit l’initiative, doit être sous observation des acteurs régionaux et internationaux qui veulent vraiment politiquement et diplomatiquement, permettre aux parties, les organisations et les mouvements au sein et de la Syrie pour une paix permanente.

Règlement du conflit en Syrie peut-être aussi avoir des impacts positifs sur la région, en particulier pour la récupération des relations diplomatiques ou réactiver les échanges avec les pays voisins. Les tentatives de paix doivent être soutenues par tous les moyens et le meilleur accord de paix en Syrie serait celui qui assure la coexistence pacifique, démocratique foundation for diversités politiques et l’autodétermination interne.