Le mercredi 1er septembre 2010, un séminaire a eu lieu au profit des victimes des massacres Makobola dans l’est de la RDC. Le séminaire était organisé par l’Association de la survivants de Massacre de Makobola (ARMMK) en collaboration avec cinq autres organisations congolaises consolidation de la paix. S’étant réunie à l' Échange de paix de Goma , les organisations ont décidé de former un plate-forme/réseau, des bâtisseurs de la paix afin de renforcer l’efficacité de leur travail de conflit et il s’agissait de leur première entreprise commune importante.
Il y avait 51 participants, 15 femmes et 36 hommes et il a coûté un total de 900 $. Parmi ces participants ont été les dirigeants locaux, des fonctionnaires locaux et agents de la police nationales.
Le thème était l’éducation à la paix et la résolution pacifique des conflits, et visait à sensibiliser la population victime aux effets de la guerre et autres violations des droits de l’homme et de leur apprendre à enterrer la hache de guerre de haine et de vengeance et au lieu d’apprendre qu’une société libérée de meurtre est possible. On leur a appris que la collaboration, de dialogue, de compromis et de l’échange d’idées étaient nécessaires afin de surmonter le conflit et d’empêcher qu’il devienne une partie naturelle et inévitable de la vie quotidienne. Gens devraient voir leurs ennemis comme un membre de leur famille et faire tout son possible régler un différend pacifiquement.
Le but était d’aider les populations, qui ont traversé des décennies de violence et de tensions, de devenir porteurs du flambeau de la non-violence et de la « prêtres de la paix ».
Les thèmes centraux traitent lors du séminaire ont été l’importance de la paix, les conséquences d’un manque de paix (en termes d’instabilité, perte de moyens, la pauvreté etc.) et les difficultés d’aborder les conflits intra et intercommunautaires. La question de la persistance des rumeurs infondées avait également été prises.
Personnes a examiné leurs sentiments et expériences en utilisant un « je vois », « Je me sens », « je pense » cadre et ensemble mis au point un cadre pour la paix. « La paix » a été définie comme étant une absence de violence, de guerre et d’un climat de sécurité. Paix a été également considéré comme un précurseur nécessaire pour tous les autres domaines du développement et pour permettre aux enfants d’être éduqués sans interruption.
En ce qui concerne les recommandations pour l’avenir, ces inclus augmentant le nombre de séminaires, de réflexions et de débats sur la paix, mais aussi inviter les hautes autorités et organisations locales ou internationales à venir partager leurs expériences dans la paix et le développement de ces séminaires.
Il a également été suggéré que les médias soient invités à gagner la couverture des travaux de ARMMK à la radio et la télévision.
Le plus grand problème qui restait était le manque de financement.
Le plus grand succès de la seminarwas lors de la réalisation enfin touchent de près aux participants que la paix est en effet possible, et que tous les conflits n’est pas tuer. Ci-dessous, nous avons fourni une sélection d’images de l’événement.
Jacques Lumenge, fondateur, ARMMK. Septembre 2010.
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