[Légende id = « attachment_27842 » align = « aligncenter » width = « 550 »] Patrouille de l’armée libanaise après les affrontements. Courtoisie de (FunkMonk) Wikimedia. / [caption]
[vedette] Cette réalité a été rapidement brisée en mai 2012, quand le Liban ressenti pour la première fois les répercussions de la guerre de sécession de la Syrie. [/standout] Le début de 2011 a marqué le début de révolte syrienne contre le régime du président Bachar al-Assad. Tout au long de l’année, les manifestations quotidiennes et la violence progressivement empiré, qui a abouti à la déclaration officielle de la guerre civile syrienne au début de 2012. La communauté internationale ont exprimé des craintes graves sur l’escalade du conflit, mais c’était les voisins de la Syrie, comme le Liban avec ses liens historiques étroits avec le pays, qui se sentait particulièrement peur d’un conflit qui pourrait se répandre sur les frontières et sur leur territoire. La peur du conflit au Liban, semblait cependant, la plupart du temps non fondée dans une grande partie de 2012. Alors que le Liban affiche des moments d’instabilité politique, la situation était généralement calme et tensions est restée modérées.
[Légende id = « attachment_27840 » align = « alignright » width = « 300 »] Brûler des pneus pour créer des barrages routiers / [caption]
Cette réalité a été rapidement brisée en mai 2012, quand le Liban ressenti pour la première fois les répercussions de la guerre civile de la Syrie L’assassinat de l’éminent religieux sunnite, Cheikh Ahmad Abdel Wahed, à Tripoli (Liban Nord), a suscité des tensions violentes dans plusieurs districts du Liban et provoqué la colère des foules de manifestants à descendre dans la rue. Leur frustration et la colère manifestent par le blocage des routes à Tripoli, Akkar, Beyrouth et autres domaines, où les pneus ont été brûlés et RPG utilisé. Les forces de sécurité libanaises réussi à ramener la situation sous contrôle, mais plus de deux protestations ont eu lieu depuis.
Au début d’août, une vague d’enlèvements de ressortissants de Syrie, Arabie saoudite, Koweït et turc ont eu lieu dans et autour de Beyrouth. Les enlèvements ont été orchestrées pour le compte du clan Honore chiites du sud du Liban, avec l’intention de libérer un des membres de leur famille soit-disant enlevé et détenu par l’armée syrienne libre. Ces actions ont fait naître la crainte dans la grande majorité de la population libanaise, que histoire d’inquiétude peut se répète avec l’avènement d’une nouvelle guerre civile. Ces craintes ont été aggravées par l’assassinat récent attentat de Wasim al-Hassan, un fonctionnaire de haut rang de sécurité libanais, en octobre de cette année. L’attentat, dans le quartier d’Achrafieh de Beyrouth-est, a tué sept personnes et laissé 128 blessés.
La montée de la violence au Liban a montré le travail très important des ONG libanaises qui mettent l’accent sur la paix et la stability dans tout le pays. Cependant, les divers projets entrepris pour résoudre les conflits sectaires et promouvoir la paix ont posé des obstacles et grands défis. Des ONG libanaises se sentent qu’ils doivent mettre l’accent sur leur position partisane dans un souci que n’importe quel commentaire politique ou les actions peuvent nuire à leur travail. Certains, toutefois, choisissent de vocalise leur mécontentement, tout en restant anonyme. Ce fut le cas pour le représentant d’une ONG à Beyrouth, qui a déclaré :
s’il y a un incendie dans un appartement voisin, je ne peux pas me permettais ne pas au courant de celui-ci cause il pourrait évidemment mis le mien sur le feu si non pris en charge. Plus la dure de l’incendie, le plus dangereux, il deviendra pour moi.
L’assassinat de Wasim al-Hassan a conduit à l’opposition libanaise d’utiliser l’incident pour négocier un changement politique au Liban, en appelant à un nouveau cabinet et la démission du Premier Ministre Mikati. Cependant, il y a des questions plus en jeu ici. La capacité pour le Liban d’accueillir le nombre croissant de réfugiés syriens, traversant le pays atteint sa limite, et de nombreux libanais craignent que l’affiliation politique des réfugiés pourrait constituer une menace au Liban.
Parler avec un autre représentant d’ONG, a révélé la dichotomie de l’approche politique libanais en Syrie. Politiciens publiquement exhorter au calme et à la neutralité vers la Syrie pour le Liban à distance de la situation politique. Toutefois, dans le même souffle, ils publiquement et fortement insistent sur le soutien ou l’autre des deux factions en Syrie.
Malgré les efforts des ONG libanaises pour contrer les tensions croissante, beaucoup se sont plaints que le manque d’accès à la très politisée des médias libanais a fait leur travail plus en plus difficile, surtout lorsque ce médium pourrait servir à effectivement envie de calme parmi la population. En outre, de nombreuses ONG s’inquiéter que les questions de transparence, de sexe et de jeunes deviennent bordée côté et substituée par des tensions politiques croissantes, comme des projets relatifs à ces questions sont alors retardé alors que le travail est effectué sur la résolution des tensions. Cela sape efficacement développement libanais dans les zones autres que la consolidation de la paix et résolution des conflits.
Même dans le domaine de la consolidation de la paix, ONG luttent. Commune projets communautaires qui impliquent généralement des communautés qui se réunissent pour reconstruire les relations et de réduire les préjugés attirent n’est plus de personnes à travers des sectes religieuses. Accroître les soupçons et la méfiance des uns des autres au Liban a conduit aux gens regardant vers l’intérieur de leurs propres communautés et éviter ceux qui se trouvent en dehors de celui-ci.
Nous nous trouvons aujourd'hui poser la question de si oui ou non le point de basculement a été atteint. C’est le calme avant la tempête pour le Liban ?