[Légende id = « attachment_45851 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Ngouboua, sur les rives du lac Tchad. Collectivités de la région ont dû faire face à un afflux de réfugiés en provenance du Nigeria. Crédit image : Nations Unies. / [caption]
L’un des principaux défis dans la région de l’ALC des préoccupations Chad la meilleure façon pour assurer une cohabitation pacifique entre plusieurs communautés voisines. Il existe quatre principaux groupes de personnes :
- Nigérians réfugiés qui ont fui les villes et villages au Nigeria en raison du conflit.
- Rapatriés – migrants Tchadiens qui a laissé pour le Nigeria, mais sont maintenant rentrés.
- Déplacement de personnes – Tchadiens qui ont quitté leurs villages en raison de la menace de Boko Haram et ont déménagé vers plus urbanisée des régions.
- Communautés locales – qui sont absorbant les trois autres types de personnes.
C’est dans ce contexte que les habitants locaux ont vu des vagues de nouveaux arrivants. Malheureusement, leurs luttes quotidiennes ont fait des relations difficiles. Les populations locales sont sont plaints que les nouvelles communautés ont causé des problèmes et qu’il vont créer des pénuries.
En particulier, ils affirment trois choses :
- Que les nouveaux arrivants ont entraîné des difficultés sur des ressources partagées, y compris les pâturages pour le bétail, terre à cultiver et du bois de chauffage.
- Il y a un climat de suspicion autour des nouveaux arrivants, parce qu’ils ne sauront pas exactement qui ils sont. Cela a conduit à des questions liées à leur statut : y a-t-il des membres de Boko Haram parmi eux ? Y a-t-il des dénonciateurs ?
- Une autre source d’inquiétude est l’aide humanitaire qui est principalement fournie aux réfugiés, rapatriés et déplacés par des ONG internationales et les Nations Unies. Cela est parfois vu mal de groupes locaux, même s’ils reçoivent aussi une aide.
[vedette] Travailler avec la communauté dirigeants contribuerait à développé une reconnaissance partagée de la mutuelle nécessité pour la paix [/standout], ONG, associations locales et les organisations doivent refléter sur quel travail peut être fait pour développer cette fragile cohabitation. Les pouvoirs publics sont généralement plus enclins à travail de réponse que la prévention, c’est pourquoi l’action dans la perspective serait utile. La première étape consiste à identifier le type de travail et les personnes concernées qui pourraient entreprendre. Compte tenu des situations décrites et sur l’importance de la tradition et la religion, les dirigeants de la principale communauté qui pourraient être impliqués parmi imams et professeurs de religion, les autorités traditionnelles, y compris les chefs de villages, de cantons et de ferricks (camps de nomades) et les représentants des jeunes et d’autres organisations.
Travailler avec ces dirigeants aurait aider à développer une reconnaissance partagée de la nécessité de mutuelle pour la paix et pourrait inclure des activités de formation et de sensibilisation ainsi que le développement d’un Comité de résolution pacifique des conflits, réunissant des membres de chaque communauté.
Ce n’est pas une liste exhaustive. Une fois que ces acteurs ont été identifiés et activités ont été lancées, il serait utile de sensibiliser ces questions parmi toutes les différentes populations concernées, par l’intermédiaire ou avec leurs dirigeants respectifs. Il serait également utile d’utiliser cette création à identifier d’autres personnes et les activités qui pourraient s’impliquer.