[Légende id = « attachment_53079 » align = « aligncenter » width = « 540 »] Apiculteur Jean-Louis Mendy inspectant une ruche de Niaguis, au Sénégal. Photo par Michael Stulman/CRS / [caption]
[vedette] Abeilles apportent les deux côtés ensemble [/standout] des centaines d’abeilles en colère pullulent sur le visage voilé de Jean-Louis Mendy comme il inspecte plusieurs ruches dans le village de Niaguis, dans la région de Casamance, Sénégal. Pas longtemps, il aurait pu les membres des communautés voisines avec colère face à Jean-Louis. Mais les abeilles sont rassemblant les deux parties.
« Il y avait un problème d’accès aux ressources naturelles et des lignes de démarcation des villages, » dit-il, en expliquant les conflits de longue date. Mais un projet d’apiculture lancé par Catholic Relief Services (CRS) montre les communautés comment ils peuvent résoudre les conflits et améliorer leurs villages à travers des activités économiques durables. L’idée est simple : si les gens apprennent à travailler ensemble, ces ruches produisent plus et mieux le miel et les communautés gagnent plus d’argent. Le projet, connu comme le renforcement des possibilités de communauté pour la paix et l’égalité - ou portée - est leur montrer comment faire cela. Il est soutenu par l’US Agency for du International Development Bureau de la gestion des conflits et d’atténuation et CRS.
C’était un départ rocheux, rapporte Jean-Louis. « Au cours de la première rencontre entre plusieurs collectivités, personne n’est venu, » dit-il. « Mais finalement, les gens discutent de la possibilité de venir et de travailler ensemble, et il y a eu un réel impact. Nous partageons beaucoup de choses. »
Conflit au Sénégal
[vedette] Communautés en Casamance ont fait les frais du conflit prolongé 30 ans [/standout] projets comme champ d’application sont mises en œuvre en réponse à une histoire de conflits au Sénégal. Bien qu’étant annoncé comme un des pays plus stables en Afrique de l’Ouest (Sénégal) a connu un conflit à basse altitude dans la région de Casamance au cours des 30 dernières années. À la suite le groupe séparatiste, Mouvement des Forces Démocratique de la Casamance (MFDC) et la répression de gouvernement ultérieurs, communautés en Casamance ont fait les frais du conflit prolongé, 30 ans, qui est estimé à ont affirmé que 6 000 civils vit et 60 000 personnes déplacées.
Une évaluation de conflit CRS en 2015 conclut qu’avec la nouvelle administration présidentielle en 2012, il y a eu un apaisement apparent du conflit casamançais au cours des trois dernières années. Malgré ces progrès, un retour à la paix ne sera pas facile, car il n’y a un manque de services sociaux et des infrastructures de base en raison des années de conflit prolongé et un sous-investissement dans des domaines clés. Cette combinaison de facteurs a conduit à un sentiment général d’insécurité qui décourage les investissements à long terme dans l’infrastructure, les petites entreprises et l’agriculture. La faiblesse de la capacité de résoudre des conflits locaux réduit la capacité des collectivités à participer au processus de paix plus grandes avec les acteurs de tiers, tels que le MFDC et le gouvernement du Sénégal.
Renforcement des capacités pour résoudre les conflits
[vedette] PORTÉE organise des ateliers qui introduisent une formation en apiculture et résolution des conflits [/standout] en réponse à ces sentiments d’insécurité, portée organise des ateliers qui introduisent une formation technique en apiculture, tout en enseignant la bonne gouvernance, direction, comment faire pour intégrer les jeunes et les femmes dans l’économie équitable et comment faire pour résoudre les conflits pacifiquement.
« Le projet CRS contribue à renforcer les relations entre communautés, » dit Imam Aliou Badara Biaye, un chef religieux influent. » J’ai appris sur la résolution des conflits, et maintenant je peux partager des recommandations avec la communauté. Lorsqu’un conflit est résolu, nous discutons de sujets comme le leadership et le sexe, » dit-il. « Je dis aux gens que les hommes et les femmes ont les mêmes droits. Chacun devrait avoir la possibilité de contribuer à la communauté. Le développement est pour les hommes et les femmes. Nous devons tous travailler ensemble étroitement. »
Avva Badbadji, un autre apiculteur de communauté, explique : « quand vous comprenez le conflit, vous ne peut pas revenir en arrière. Maintenant nous avons la capacité de résoudre la question. »
Une meilleure qualité, meilleurs prix
[vedette] Le projet aide les communautés travail vers un sentiment de paix [/standout] apiculture n’est pas nouveau au Sénégal, mais avec peu de moyens, les méthodes traditionnelles produites moins de miel et c’était de moindre qualité.
« Dans le processus traditionnel, il n’était pas beaucoup de matériel. Maintenant nous utilisons un équipement de protection, de fumée et d’une boîte pour la ruche, alors la qualité de notre produit a amélioré beaucoup, » dit Jean-Louis. Environ deux tasses de miel vendait pour 2 $, mais avec la formation et l’équipement fourni par Sir, apiculteurs peuvent maintenant vendre la même quantité pour autant que 6,50 $. Les bénéfices ne vont pas seulement pour les apiculteurs, mais pour l’ensemble de la communauté. « Le premier objectif est de soutenir les écoles, parce que c’est un projet entre villages, » dit Jean-Louis. Certaine somme d’argent est réinvesti dans l’exploitation apicole afin d’assurer la viabilité à long terme.
« Il y a cinq ans dans ce domaine, tout le monde a été déplacé en raison du conflit. La zone était précaire, » dit Imam Biaye. « Maintenant, les gens sont rentrés. Nous travaillons vers un sentiment de paix, pas de conflit ».
[more_info_box] Il s’agit d’une version modifiée et mise à jour d’un article qui parut sur Catholic Relief Services. Il est réédité ici avec le consentement de l’auteur.
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