[Légende id = « attachment_51560 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Réfugiés burundais dans un camp au Rwanda. Crédit image : Commission européenne, DG ECHO
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[vedette] Au cours des quelques mois diplomatique, les tensions entre le Rwanda et le Burundi ont augmenté et la relation entre les deux voisins se détériore [/standout] pour les tensions diplomatiques depuis quelques mois entre le Rwanda et le Burundi ont augmenté et la relation entre les deux voisins se détériore. Nouvelles des tensions et des accusations mutuelles circulent dans les médias les, régionaux et internationaux. L’ambiance négative entre les deux pays concerne chaque artisans dans la région des grands lacs et nécessite des interventions proactives afin de prévenir les conflits armés. Il est temps pour la diplomatie préventive afin de rétablir de bonnes relations entre les pays.
Burundi et Rwanda partagent des cultures semblables et des difficultés économiques. Les deux ont une histoire marquée par des conflits violents associés aux divisions Hutu-Tutsi. Bien que les moyens de répondre aux défis actuels - telles que la réconciliation, la démocratisation et la réduction de la pauvreté - diffèrent, les deux pays sont passés à travers les conflits violents aux multiples facettes, a enregistré des expériences traumatisantes et font des efforts pour la récupération. Les deux sont des nations encore fragiles et ont besoin du soutien de la communauté internationale pour surmonter les défis qu’ils relèvent.
La récente crise politique qui a éclaté au Burundi au cours du troisième mandat du Président Pierre Nkurunziza a affecté négativement les relations entre le Burundi et le Rwanda. Depuis avril 2015, le Rwanda a reçu plus de 70 000 réfugiés burundais. Parmi les réfugiés, il y a des politiciens qui sont opposent à l’actuel régime de lutte contre l’élection récemment contestée du Président Nkurunziza (ils affirment que 3 terme derd de Nkurunziza viole les accords de paix qui a mis fin à la guerre civile).
Burundi a accusé le Rwanda voisin de faciliter et de formation rebelles qui cherchent à déstabiliser le pays. Il accueille le leader du coup d’État manqué du Burundi et aider les rebelles à lancer des attaques transfrontalières, ministre des affaires étrangères burundais Alain Nyamitwe a déclaré à la BBC. Le ministre a affirmé clairement que Rwanda était « faciliter » les attaques que les putschistes ont orchestré au Burundi. « Nous avons également des informations détaillées sur les recrutements dans les camps de réfugiés, surtout dans le camp de réfugiés de manel, où réfugiés sont pris pour la formation militaire, et certains des formateurs sont rwandais, » a-t-il ajouté. Un mois avant cette interview, les mêmes accusations ont été signalées par la Deutsche Welle.
[vedette] Ce naissain diplomatique suit mois d’approfondissement de méfiance réciproque entre les deux voisins d’Afrique de l’est petits [/standout] ce naissain diplomatique suit mois d’approfondissement de méfiance réciproque entre les deux voisins d’Afrique de l’est petits. Soupçons au Burundi que le Rwanda faisait marche arrière les opposants du Président Nkurunziza est venu à une tête après un coup d’État manqué en mai. « Nous savons que certains d'entre les putschistes vit actuellement au Rwanda, au moins trois d'entre eux, » ministre des affaires étrangères du Burundi Alain Nyamitwe dit le New York Times à la fin de juillet. Il y avait des preuves que le Rwanda était « pas utile » dans cette affaire, a-t-il dit.
Sur l’autre côté, les rwandais a catégoriquement nié les accusations. Au contraire, les fonctionnaires au Rwanda affirment qu’il s’agit d’une stratégie du Burundi pour détourner l’attention de l’instabilité politique interne. Sans compter que le rejet des allégations, ministère des affaires étrangères du Rwanda officiel Olivier Nduhungirehe Burundi accusé d’abriter des rebelles des Forces démocratiques pour le groupe de libération du Rwanda (FDLR), un groupe militaire lié au génocide rwandais et maintenant basé dans l’est de la RD du Congo. Le Rwanda qualifie les FDLR comme un groupe terroriste et a fait sans relâche les efforts pour éradiquer le groupe. Il y a une intense campagne d’éradication de ce groupe armé dans la région et à l’étranger. Si le Rwanda les suspects au Burundi pour accueillir les membres des FDLR, c’est un problème très grave, compte tenu de l’énergie qui les services militaires du pays doit déployer pour vaincre le groupe.
Une solution régionale ?
Indicatives efforts pour résoudre les tensions diplomatiques devraient impliquer la communauté internationale. Les organisations régionales telles que la Conférence internationale sur la Great Lakes région (CEPGL), communauté d’Afrique de l’est (EAC), Communauté économique des pays des grands lacs (CEPGL), marché commun de l’Afrique australe (COMESA) et orientale peut d’une manière ou d’une autre, contribuent à trouver un lieu de rencontre et de rétablir les bonnes relations entre les deux pays. Ils peuvent supporter des mécanismes d’examen par les pairs qui a peuvent être établis à la fin des tensions.
Mais, malheureusement, les organes régionaux pourraient faire face à des défis pour gagner la confiance des deux pays. Par exemple, le Burundi a récemment exprimé la préoccupation et la méfiance envers le Secrétariat de la CCE, dirigé par un rwandais. Un autre exemple vient de la CIRGL Conférence des ministres qui s’est tenue à New York en septembre : les participants ont discuté des causes de déclenchement Burundi - tension au Rwanda. Le communiqué publié par Georges Chikoti, le Président de la Conférence et le ministre Angola des affaires étrangères, dit que la CIRGL enverra une mission de vérification pour évaluer les raisons ayant conduit à la tension. Le Président Georges Chikoti, expliquant le problème, a déclaré que le Burundi accuse les forces ou les éléments qui avaient cherché refuge au Rwanda pour causer des ennuis dans le pays voisin, en violation du Pacte de sécurité, de stabilité et de développement dans la région des grands lacs. Toutefois, les ministres ont recommandé la nécessité d’améliorer la situation. Rwanda devrait cesser ces sortes d’activités, a déclaré le ministre, promettant que les États membres enverra une mission de vérification pour évaluer la situation sur le terrain. Le Rwanda s’oppose le communiqué et n’est pas d’accord sur son contenu.
La nécessité d’un dialogue
[vedette] Les citoyens ordinaires sont concernés. Ils sont assoiffés et affamés pour la paix [/standout] bien qu’il faut le soutien de la communauté internationale pour résoudre le problème, une solution pacifique et durable viendra de dans les deux pays. Ils doivent chercher un terrain d’entente réunion, dire la vérité à l’autre et collaborer ensemble pour parvenir à une solution diplomatique. Des intérêts multiples, calculs politiques, dynamiques internationales et plusieurs acteurs du conflit font difficile mais néanmoins indispensable. Il est difficile de connaître la vérité concernant les conflits violents dans la région et sur toutes les parties prenantes actives. Mais, avec le temps, la vérité éclatera tôt ou tard.
Les citoyens ordinaires sont concernés. Ils sont assoiffés et affamés pour la paix. Ils ont besoin de paix comme condition pour un développement humain durable. Ils sont amis, voisins, frères et sœurs. Dans toutes les crises, la population d’un pays avaient demandé l’asile dans l’autre. Burundais offert l’asile aux rwandais qui étaient forcés de vivre en exil en 1959, 1960-1973 et en 1994. De nombreux rwandais sont reconnaissants d’avoir été accepté comme réfugiés au Burundi pendant les massacres déplorables et génocide survenu au Rwanda dans le passé. Rwandais abritaient également burundais qui ont fui leur pays en 1972, 1988et récemment depuis avril 2015. Se remémorant le sentiment d’humanité et de l’interdépendance humaine vécue chez les personnes des deux côtés au cours de la période de turbulence, ils doivent résoudre les tensions pacifiquement et prier pour le rétablissement de bonnes relations entre leurs pays.