[Légende id = « attachment_55467 » align = « aligncenter » width = « 580 »] aerial Views of Ifo 2 Refugee camp in Dadaab, Kenya Vue aérienne du camp d’Ifo 2 réfugiés à Dadaab, au Kenya. Crédit image : Photo ONU/ [caption]

Au milieu de plus en plus de sécurité et la terreur des préoccupations connexes provenant de son voisin de la Somalie vers l’est, les autorités kényanes a révélé vendredi dernier plans à fermer ses camps de réfugiés dans la prochaine année et déplacer tous les réfugiés à l’extérieur du Kenya.

Cette décision comprend Dadaab, plus grand camp de réfugiés du monde, répartis dans le paysage de désert aride du nord-est du Kenya. Il accueille plus de 330 000 pour la plupart les réfugiés somaliens, qui ont fui leur patrie déchirée par la guerre à la recherche de la paix et la sécurité.

Outre les fermetures menacés, le gouvernement Kenyan a annoncé son intention de freiner les futurs demandeurs du bénéfice du statut de réfugié automatique. Si mis en œuvre, les mesures exigera des nouveaux arrivants faire valoir individuellement leur revendication quant à pourquoi ils devraient être protégés - un renversement de l’actuel mandat qui accorde automatiquement le statut de réfugié à ceux qui cherchent refuge au Kenya.

Menaces vides ou des mesures ciblées ?

[vedette] Manifeste réclame la fermeture des camps et le rapatriement des réfugiés n’est pas nouveau au Kenya. Maintenant, cependant, le gouvernement semble être plus grave [/standout] depuis des décennies, Kenya s’est engagé à héberger les populations vulnérables fuyant l’insécurité et la violence, et il a été loué pour ces traditions d’hospitalité et de soutien vis-à-vis des demandeurs d’asile de longue date.

Mais assurance consacrée par l’usage du Kenya aux personnes fuyant la guerre et de conflit a été balayé de côté à titre de ses propres failles de sécurité ont été mis à jour ; priorités sont désormais ostensiblement orientées vers la protection de ses citoyens au détriment des populations de réfugiés.

Depuis 2011, le Kenya est victime d’une recrudescence des agressions terroristes sur le sol de sa maison ; les plus célèbres attaques survenant au Westgate Mall en 2013 faisant 67 morts et Université de Garissa en 2015 et plus de morts de 147 étudiants. Citoyens kenyans et aussi bien les autorités craignent des attaques similaires à l’avenir.

Manifeste réclame la fermeture des camps et le rapatriement des réfugiés n’est pas un phénomène nouveau au Kenya. C’est dans le sillage de l’attaque de Garissa Université en 2015 que les autorités kényanes d’abord appelées à la fermeture du camp de réfugiés de Dadaab. De même le mercredi le ministre de l’intérieur du Kenya, Joseph Nkaissery, encore dénommé Dadaab une menace croissante de la sécurité en raison des inquiétudes qu’al-Shabaab utilise le camp pour les activités de recrutement et la contrebande d’armes. Maintenant, cependant, le gouvernement semble être plus grave, élaborer un calendrier et budget et dissolution du département des affaires de réfugiés.

Impact régional : incidences mondiales

[vedette] Si le gouvernement Kenyan devait aller de l’avant avec un tel plan, il y aurait de grande envergure et les conséquences dévastatrices [/standout] cette plus récente menace de fermer Dadaab et autres camps aurait laisser réfugiés sans le choix mais faire la périlleuse retournent Somalie abrite déchiré par la guerre et autres parties de la région. Il est possible que ces nouvelles menaces sont tout simplement un outil pour intimider les réfugiés, comme c’est arrivé en 2013. Néanmoins, les implications d’une telle stratégie serait incontestablement calamiteuses.

Si le gouvernement Kenyan devait aller de l’avant avec un tel plan, il y aurait des conséquences de grande envergure et dévastateurs. Non seulement la fermeture des camps générerait la grave situation humanitaire pour les réfugiés eux-mêmes, mais il serait également intensifier les risques de sécurité propre au Kenya.

Oxfam, Save the Children et une douzaine d’autres aides de groupes travaillant dans camp, a exhorté le gouvernement Kenyan à réévaluer leur plan, indiquant une propension accrue pour l’instabilité et la vulnérabilité des populations dans la région.

Dans une déclaration commune, ces groupes a fait allusion au fait que « fermer les camps de réfugiés se traduira par une meilleure protection risques pour les milliers de réfugiés et demandeurs d’asile – [la] majorité de qui sont des femmes, des enfants et des mineurs non accompagnés. » Par ailleurs, le déménagement pourrait potentiellement accroître risques pour les citoyens kenyans eux-mêmes.

Sécurité, à un coût

[vedette] Kenya a réaffirmé son engagement à la sécurité, mais à quel prix pour la région et des centaines de milliers de réfugiés qui ont appelé la Kenya abrite depuis 25 ans ? [/standout] Confronter le terrorisme est la solution idéale, mais la stratégie dans laquelle Kenya a décidé de lutter contre elle pourrait avoir des conséquences néfastes. Les implications d’un tel plan priverait les réfugiés des besoins fondamentaux, qui pourraient se traduire par des niveaux extrêmes de vulnérabilité et d’insécurité, ce qui les rend toujours plus sensibles à la tactique de recrutement d’al-Shabaab. La fermeture des camps comme Dabaab pourrait effectivement alimenter ressentiments à l’égard du gouvernement Kenyan, poussant les jeunes réfugiés directement entre les mains d’organisations terroristes qu’ils essaient de démanteler.

En outre, du point de vue juridique, il pourrait violer le principe de l’asile et le droit international des réfugiés du non refoulement- la norme internationale qui interdit à un état d’accueil de réfugiés rentrant dans leur pays d’origine où ils sont persécutés. La fermeture des camps de réfugiés et le rapatriement ultérieur des réfugiés, pourraient violer directement de ce principe de base de la Convention de 1951.

Dans l’ensemble, une telle mesure par le gouvernement kényan pourrait avoir des répercussions d’ampleur historique. Dans un effort pour lutter contre la menace croissante du terrorisme, le Kenya a réaffirmé son engagement pour la « sécurité de [ses] personnes, » mais à quel prix pour la région et des centaines de milliers de réfugiés qui ont appelé la Kenya abrite depuis 25 ans ?