[Légende id = « attachment_48403 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Crédit Oxfam International/ [caption] image
Le débat sur les liens entre les ressources naturelles et de conflits est actuellement dominé par les arguments mis en avant par les dits néo-Malthusians et celles inspirées de l’institutionnalisme libéral. Au cœur de ce débat est la question de la rareté des ressources étant une moteur variable de recrudescence de la violence.
Néo-malthusienne théorie pose en principe que des cas de conflit augmentera inévitablement comme le monde est soumis à des degrés de plus en plus aiguës de la rareté des ressources. Inspiré par l’institutionnalisme libéral universitaires font valoir qu’un état de pénurie mène à un scénario où les utilisateurs des ressources favoriseront la coopération sur la violence. Cet argument a reçu une part équitable de soutien, en particulier par des érudits comme Wolf.
En ce qui concerne l’eau, le monde a vu une recrudescence drastique du nombre d’eau signé ressource management traités (dorénavant dénommés "traités d’eau"), qui signalerait en faveur des théories libéral institutionnel de la coopération de la ressource. La question, dans une perspective de conflit, est que la signature des traités de l’eau se traduit en paix intra-étatiques. Cet article explore la portée des traités de l’eau et leur capacité à stimuler les mécanismes de redistribution efficace de l’eau qui mèneront à la paix intra-étatiques.
De façon générale, on peut dire que le stade embryonnaire d’un traité commence lorsqu’un processus de négociation a été établi par ses signataires potentiels. Le squelette d’un traité est un ensemble convenu de dispositions et clauses qui vont générer un régime de partage de ressources agréable. Vie est insufflée dans un traité, une fois que ses parties à la négociation d’accord de tout son contenu, reflétant ce consentement par une signature et ratification ultérieure.
À cet égard, les mécanismes de partage de ressources tels que les traités de l’eau sont efficaces pour prévenir la violence d’éclater entre les juridictions nationales, conduisant à une situation de paix entre les États. Ce qu’ils ne peuvent pas être en mesure d’atteindre cependant est un environnement dans lequel les acteurs intra-étatiques reçoivent des volumes suffisants, des ressources en eau. Si cette perception n’est pas effectivement en forme, on peut dire que l’existence des institutions libérales, telles qu’elles existent actuellement, ont seulement réussi à déplacer un désaccord sur la distribution de l’eau du milieu entre les États à un local. Questions peuvent donc rester lorsque discordances locales sur l’approvisionnement en eau engendrer des actes de violence.
L’incapacité d’assurer un partage Pacifique des ressources dans un contexte local n’est pas nécessairement liée par insuffisance d’un régime conventionnel. À cet égard, ce qu’un traité ne fait pas et ne peut pas faire, est énoncé de mandats pour la distribution ultérieure de l’eau sur un territoire national, car cela signifierait une violation juridictionnelle qu’aucun parti n’accepterait de. Par conséquent, l’eau traités offrent rien de moins que ce qu’ils promettent : pour une distribution de l’eau agréable au sein de ses signataires.
Des mécanismes juridiques pour distribuer des ressources en eau sont particulièrement nécessaires dans une situation de pénurie d’eau. Dans certains cas, ladite pénurie pourrait réduire la capacité des sociétés à produire les produits et services nécessaires pour maintenir leur niveau de vie actuel (ou à améliorer). Coopération, dans une situation de pénurie, a indéniablement conduit national de l’eau aux utilisateurs de rechercher des institutions libérales pour négocier des stratégies de partage efficace des ressources.
Il suffit d’étudier la progression des traités signés de l’eau tout au long de la seconde moitié du 20ème siècle pour illustrer le degré auquel la coopération a été sollicitée par l’intermédiaire des institutions libérales. Selon les documents de la base de données FAOLEX des Nations Unies l’alimentation et l’Agriculture (FAO), qu’un total de sept traités d’eau ont été signés dans la Décennie des années 1950, un nombre qui a dégénéré à la fin des années 1990, pour un total de 114.
L’augmentation substantielle du nombre de traités signés eau permettrait normalement pour appuyer les revendications que rareté conduit à la coopération, mais comme mentionné ci-dessus, cette coopération est réalisée au sein des juridictions nationales. À supposer que la signature d’un traité de l’eau sera inévitablement conduire à une redistribution locale efficace des ressources en eau et à la paix intra-étatiques, reste ouverte pour un contrôle.
Globalement, la tendance de la violence sur l’accès à l’eau directement conteste l’idée que les institutions libérales sont des sites efficaces pour l’allocation des ressources locales et de la paix. Si cette dernière affirmation était vraie, alors on s’attendrait une relation directement proportionnelle entre les volumes d’eau signé de traités et de la paix. Cependant, comme suit depuis un précédent post, il a été constaté que le nombre de conflits sur l’eau a augmenté considérablement tout au long du 20ème siècle et dans le siècle 21st , à un moment où le nombre de traités signés l’eau était à son comble.
Se fondant sur ces observations, on peut en conclure que le soutien à la relation proportionnelle entre la coopération de l’eau et paix, tel que proposé par institutionnalistes libéraux, nécessite un examen plus poussé. Ils ne sont pas tout à fait incorrects dans le sens que les usagers de l’eau nationale ont en effet cherché l’aide mediational des institutions libérales plus fréquemment, mais métier à tisser de doutes sur la capacité de ces institutions pour s’assurer que la violence n’a pas se déplacé sur le paramètre intra-étatiques.
En terminant et sur une note positive, il est important de souligner qu’opportunités subsistent au sein de la théorie des institutionnalistes libéraux. La question qui a été identifiée précédemment associés aux signataires nationaux négociant et acquiescer au nom d’un réseau plus large des constituants. Si ces négociations ont été menées d’une manière que les groupes et les communautés locales étaient représentés efficacement, la probabilité d’un régime de redistribution d’eau intra-étatiques défavorable pourrait être atténuée. En ce sens, les nationaux et les intérêts les formerait des composantes centrales de toute délibération de répartition de l’eau.
Toutefois, la portée juridictionnelle d’un traité l’eau resterait comme un sujet de litige. Devraient l’eau traités imprègnent lignes de souveraineté en faveur de la redistribution de l’eau intra-étatiques agréable ? Devrait-il y avoir une suite de processus secondaire la signature d’un traité de l’eau, par lequel les collectivités locales et les groupes sont consultés pour décider des ressources en eau comment après le traité devrait être redistribuée ? Ces sont des questions valables et méritent d’être étudié, car dans leurs réponses, on peut trouver les conduites pour la livraison de paix intra-étatiques à long terme.