Il est très difficile d’attendre des nouvelles quand vous savez que quelque chose de vraiment significatif et important va se passer ; nous au Népal vit ce dernier vendredi, 28 mai : le dernier jour de la période de deux ans pour l’Assemblée constituante (CA). Dès le matin, les membres constituants ont été vus sur les lieux ; ils avaient été priés d’arriver à 08:00 début de la séance officielle. Je savais qu’avant minuit, les partis politiques devront se prononcer sur le terme de l’AC. Depuis le matin, j’ai étais constamment vérifier les nouvelles et parler à des gens qui pourraient en savoir plus, dont certains membres du CA. Du matin jusqu'à minuit, je ne bougeait pas loin de l’internet, le téléphone et la télévision pendant encore une minute. La raison de la haute tension est que les enjeux sont donc importants : il reste une possibilité vraiment du Népal, de retour à la violence.
Réunions et consultations entre dirigeants politiques a augmenté rapidement comme le jour ensuite. D’une part, l’Unified parti communiste du Népal-maoïste (UCPN (M)) collait à sa position selon laquelle le premier ministre Madhav Kumar doit démissionner tout d’abord, puis l’extension à l’autorité de certification pourrait être discutée. En revanche, le Congrès népalais (NC) et le parti communiste népalais - marxiste-léniniste unifié (CPN-UML) ont été également coller à leur ordre du jour, d’une sorte de forfait avec certains des principaux problèmes dans la paix du processus - tels que l’intégration de l’armée de libération (APL) du peuple et de la réadaptation, la dissolution de la structure paramilitaire de la Ligue communiste Young (YCL) et la restitution des biens saisis. Pendant tout ce temps, le pays est resté otage de ce qui s’est passé dans les négociations et nous vivions dans la crainte que le pays pourrait retourner à la violence, à minuit.
Premier ministre Madhav Kumar Nepal a rencontré le Président Dr Ram Baran Yadav, le ministre de l’intérieur et d’autres ministres du cabinet. Hauts dirigeants des principaux partis politiques ont été engagés dans des efforts de dernière minute à sortir de l’impasse. Enfin, les trois principaux partis politiques avaient conclu des accords de trois points et la séance de l’AC a commencé à 23:45 - à seulement 15 minutes à minuit. Les accords de trois points sont les suivants :
- Nous nous engageons fermement à un consensus et la coopération à prendre le processus de paix jusqu'à une conclusion logique immédiatement toutes les autres tâches du processus de paix et accomplir la responsabilité historique de la rédaction d’une nouvelle constitution.
- Si des progrès importants ont été réalisés vers le processus de rédaction de constitution, toutes les œuvres ne sont pas encore remplies. Donc, nous avons convenu de prolonger le mandat de l’Assemblée constituante d’un an.
- Nous sommes prêts à aller de l’avant sur la base d’un consensus pour accomplir les responsabilités énumérées ci-dessus et les travaux dès que possible en formant un gouvernement de consensus national. Nous tenons à rendre clair que le premier ministre de l’actuel gouvernement de coalition est prêt à démissionner dès que possible.
Bien que le temps de l’Assemblée constituante a été prorogé pour un an, les points litigieux devra encore priés - tant entre les principaux partis politiques et ceux à l’intérieur de l’autorité de certification.
Les points les plus litigieux sont essentiellement entre les principaux partis politiques, l’UCPN (maoïstes), le NC et le CPN-UML et sont comme suit :
- Mise en œuvre des accords passés axé essentiellement les questions de sécurité : b intégration et réhabilitation de l’APL, (b) la dissolution de la structure paramilitaire de la Ligue et de la démocratisation (c) de l’armée népalaise (celui vraiment difficile) ;
- Partage du pouvoir : Til UCPN (maoïstes) est le plus grand parti dans le CA, mais pas dans le processus de paix et de la constituante, processus décisionnel. C’est une des raisons pourquoi l’UCPN (maoïstes) a demandé Qu'au nouveau gouvernement national être sous sa direction.
Les questions litigieuses à l’intérieur de l’Assemblée constituante sont :
- Restructuration d’État : Le modèle du fédéralisme et du nombre des provinces pour le futur pays fédéral ;
- Modèle de la gouvernance : Système premier ministre vs présidentielle ;
- Système de la justice.
Les questions litigieuses à l’intérieur et l’extérieur de l’Assemblée constituante ont directement influer sur le processus de paix et ont stoppé les deux constitution des processus et le processus de paix depuis l’année dernière.
L’accord en trois points a été déjà mal interprété, avant que l’encre est encore sec. Certains des dirigeants de NC et le CPN-UML disent que, selon l’accord en trois points premier ministre va démissionner seulement après que UCPN(Maoists) a mis en place les deux autres accords. Mais l’UCPN(Maoists) réclame que le premier ministre doit démissionner tout d’abord pour faire place faire d’autres entreprises. Il semble que ce débat n’est toujours pas résolu, et même si le CA aura une autre année pour résoudre ces problèmes, le processus de paix et le processus décisionnel de la constitution reste au point mort.