[Légende id = « attachment_48296 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Processus de réforme du secteur sécurité de la Guinée-Bissau a besoin d’une nouvelle direction. Crédit image : jbdodane/ [caption]
Ces dernières années, le petit pays ouest-africain de Guinée-Bissau a suscité beaucoup d’attention négative. Une série de coups d’État et tentatives de coup d’Etat, ainsi que des interventions répétées de l’armée dans la vie politique, ont causé des lacunes fondamentales en matière de sécurité de la Guinée-Bissau. En outre, le pays a récemment développé un centre international pour la drogue, le trafic, entravant considérablement stabilité.
En outre, la Guinée-Bissau a émergé comme un pays de transit et pays d’origine pour les migrants rubrique vers le nord vers d’autres régions d’Afrique et d’Europe. En termes de performances socio-économiques, Guinée-Bissau a montré, même en comparaison régionale, mauvais résultats, ce qui témoigne de son rang dans l’indice de développement humain. Le secteur de la sécurité continue de se caractériser par des défis sérieux, conduisant à des problèmes de droits de l’homme et des critiques au sujet de l’absence de sécurité.
Une histoire d’instabilité
[vedette] Structures politiques et militaires ont fusionné depuis le début [/standout] pour mieux comprendre les problèmes du pays, laissez-nous regarder son histoire récente. Une guerre sanglante lutte anticoloniale de libération ont éclaté en 1963 ; une lutte pour l’indépendance qui a été dominée par la gauche orientée Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du Cap-Vert (PAIGC). Quand l’indépendance a été réalisée en 1973, le groupe de mettre en place un État autoritaire à parti unique.
Forces armées du pays sont enracinées dans le populaire Forces armées révolutionnaires qui ont été assemblés comme une armée rebelle en 1964 pendant la guerre d’indépendance. Les combattants souvent seulement ont reçu une brève formation militaire et avaient, dans bien des cas, pas terminé toute scolarité. Après la guerre, beaucoup d'entre eux ont été offertes de postes à l’extérieur de l’armée au sein de la fonction publique, y compris les forces de police. Peu de temps suivant l’indépendance, purges et exécutions ont été menées avec la participation de claire des membres des forces de sécurité. Ces attaques ciblées chefs, anciens soldats de l’armée coloniale et les opposants au régime au pouvoir.
Structures politiques et militaires ont fusionné dès le début. Ce fait ressort également étant donné que de nombreux anciens commandants plus tard allait d’assumer des responsabilités politiques. Depuis lors, ennemis supposés ou réels ont été éliminés par la force ou intimidés maintes et maintes fois, outre les violations graves des droits de l’homme et un mépris pour les lois nationales.
L’ère multipartite : une époque de changement ?
Le multipartisme a été introduit dans les années 1990, mais la Guinée-Bissau n’était pas en mesure de trouver la paix. En juin 1998, une tentative de coup d’État a évolué en une guerre civile d’onze mois. Depuis lors, la communauté internationale a placé la responsabilité de l’instabilité politique, anarchie et l’absence de développement économique et social sur la sécurité de la Guinée-Bissau du secteur qui englobe les militaires, policiers et le secteur de la justice.
Un carrousel de réforme a commencé à virer à la suite de la guerre en 1999. Après les programmes de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) avaient échoués, internationales acteurs ont demandé à réforme du secteur de sécurité conçu profonde, en grande partie descendante (SSR), même si on a essayé d’intégrer les perspectives locales.
On espère que la réforme du secteur de sécurité stabiliser le pays et faciliter son développement Pacifique. Les partisans de ce concept s’agrippent à la conviction que la réforme du secteur de sécurité assurerait la mise en place d’un état capable de droit ainsi que les forces de sécurité efficaces qui sont responsables devant le gouvernement.
Depuis environ 2006, différents acteurs différents (y compris les différents organes de l’ONU, l’UE, la CEDEAO et Angola) a procédé à s’impliquer dans le plan pour réformer le secteur de la sécurité de la Guinée-Bissau, parfois en succession rapide. Ces acteurs internationaux cherché à établir des zones de focalisation. À divers stades, relations entre les donateurs internationaux ont été parfois caractérisées par la concurrence ou d’aversion mutuelle. Au lieu de travail-by-side, parfois ils travaillent contre l’autre.
[Légende id = « attachment_48295 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Des initiatives de la société civile font leur apparition pour donner au processus de réforme une nouvelle orientation ascendante. Crédit image : jbdodane/ [caption]
Leçon de l’échec
[vedette] On a fait valoir à plusieurs reprises que la réforme de la sécurité qui ne tient pas compte des perspectives locales est intenable [/standout] en regardant ces échecs en Guinée-Bissau, il a été maintes fois soutenu que la réforme du secteur de sécurité dans sa forme actuelle – en grande partie descendante demande – est intenable. Perceptions disparates ont existé sur le côté donneur et receveur concernant les réformes et les attentes découlant de leur part alors que les préoccupations et les intérêts locaux ont jusqu’ici que partiellement été comprises et prises en considération.
Les possibilités de participation du gouvernement local, les membres du secteur de la sécurité, la société civile et la population en général restent limités. Les perspectives locales ont tendance à ne gagner examen sélective plutôt que de sans cesse, résultant en l’absence d’une condition essentielle pour les réformes réussies.
Les principaux facteurs attribués à l’échec jusqu'à présent sont très différentes perceptions et attentes sur le donateur et du côté de la Guinée-Bissau. Il y a manque de coordination, de l’intégration, de flexibilité et de continuité entre les différentes stratégies de réforme. Procédurales structurels contraint aux approches donneur côté rendement projet rigides et à court terme. Insuffisance des ressources financières et la communication insuffisante empêche la progression et l’incorporation déficiente des acteurs sociaux et représentants du secteur sécurité Bissau-guinéenne plus affaiblit le processus de réforme.
Développements récents
[vedette] Plusieurs initiatives de la société civile avec un accent de bas en haut sont apparues [/standout] récents développements ont montré à la communauté internationale est maintenant visant à améliorer la coordination et la concentration de ses activités de réforme du secteur sécurité. Toutefois, en dehors de ces approches de la réforme qui, dans bien des cas, continuent d’être marquée par un haut degré d’application de haut en bas, avec un accent de bas en haut, plusieurs initiatives de la société civile ont fait surface ces dernières années.
Voici quelques exemples : l’initiative de paix « Estados Gerais para a Guiné-Bissau », qui a voulu créer un espace pour discuter paix et sécurité secteur les problèmes entre l’État et des acteurs non étatiques. Le West Africa Network for Peacebuilding (WANEP) a été active en Guinée-Bissau depuis plus de dix ans, promotion du dialogue et la gestion Pacifique des conflits. En collaboration avec le Interpeace basée en Suisse, l’initiative « Voz di Paz » a contribué à l’identification des racines du conflit local et gestion des conflits civils ces dernières années.
Depuis plusieurs années, l’organisation non gouvernementale allemande « Weltfriedensdienst » a collaboré avec des organisations de partenaires locaux tels que « Combersa Djemberem di Cumpa » ou le « Grupo de Teatro do Oprimado », afin de sensibiliser les responsables de secteur de la sécurité au moyen de méthodes d’éducation de paix. Initiatives importantes de la société civile font leur apparition dans l’ensemble de la Guinée-Bissau, en donnant le processus de réforme, un nouveau tournant.