[Légende id = « attachment_45224 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Protesters in 2013. The Arab spring began in the Tunisian capital, Tunis, in January 2011. Image credit: Amine Ghrabi. Manifestants en 2013. Le printemps arabe a commencé dans la capitale tunisienne, Tunis, en janvier 2011. Crédit image : Amine Ghrabi. / [caption]

[vedette] Notre nouveau correspondant Local est qu'un source d’inspiration jeune membre de la société tunisienne [/standout] un aperçu sur le conflit a étendu sa couverture à l’Afrique du Nord.

La Tunisie a été le pays où le printemps arabe a commencé en 2011, avec la suppression de Zine al-Abidine Ben Ali du pouvoir. Quatre ans plus tard, le pays a connu des bouleversements sociaux et politiques, qui a abouti à l’élection Pacifique de Beji Caid Essebsi en décembre dernier.

La transition entre le long règne de Ben Ali à la démocratie parlementaire a été incertain et ponctuée de quelques actes de violence choquante, telles que les Musée du Bardo et Sousse des attaques de plage plus tôt cette année.

Mais la société civile tunisienne - ses journalistes, activistes, des ONG et des militants - a refusé de s’incliner devant ces actes.

Et notre nouveau correspondant Local en Tunisie, Nissaf Slama, est un source d’inspiration jeune membre de cette société, partie de la nouvelle génération de rapports sur un pays toujours dans le flux, mais tourné vers l’avenir.

Notre expert sur la consolidation de la paix tunisienne, elle a fait des recherches des organisations locales travaillant pour construire une société plus juste et assurer la justice sociale en Tunisie. Beaucoup d'entre eux visent à garantir les droits civils et politiques pour les Tunisiens.

Ils incluent Damja et Mawjoudin, qui prônent pour plus de droits LGBT, promouvoir l’intégration sociale d’une société pacifique ; Décide de la jeunesse, qui se déroule à codage académies, formation des jeunes pour soutenir l’emploi et une culture émergente des start-up tunisiennes ; et Mouwaten/a, un collectif de graffeurs qui créent des rues peintures murales en poussant la pleine reconnaissance de la liberté d’expression et les libertés civiles.

Beaucoup de ces groupes ne forment récemment, testament aux changements qui se déroulent en Tunisie. Nous savons qu’il y aura plus, et nous sommes impatients de découvrir leur travail. S’il vous plaît vérifier que nous étendons notre couverture de ce pays dynamique.