[Légende id = « attachment_38294 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Source d’image : Justin McIntosh[/ caption]
Dans le conflit israélo-palestinien, il y a trois angles stratégiques clés qui sont actuellement pas être abordées par les décideurs : patrons de disproportion, religion et l’intégration militaires. En accordant la priorité ne pas ces préoccupations stratégiques clés, il est difficile d’envisager que paix sera jamais être négocié dans ce conflit, compte tenu de son histoire et son fort potentiel polarisant.
Contrairement à nombreux témoignages, comportement violent n’est pas unilatéral. Ce n’est cependant pas à dire que les capacités militaires des parties sont égales. Selon Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), Israël a dépensé $ 16 milliards sur ses forces armées en 2013. En revanche, il a été signalé que tout budget 2013 de l’autorité palestinienne s’élevait à $ 3,9 milliards. Malgré la disproportion claire militaire évidente dans l’Israeli-Palestinian conflit, il est faux d’affirmer que le comportement agressif est unilatéral, ou qu’il y a un seul groupe de victime, pour les deux parties sont engagés dans une action militaire, bien que correspondant à la capacité de leurs armées.
Il y a beaucoup d’attention accordée aux cessez-le-feu proposé par l’Égypte, mais compte tenu de l’inégalité militaire lourde dans ce conflit, il faut mettre l’accent sur des questions comme la démobilisation. Alors qu’un cessez-le-feu permettrait de faciliter une période temporaire de réflexion et de la fourniture d’aide humanitaire, il peut aussi laisser les belligérants de se regrouper et se réarmer. En d’autres termes, un cessez-le-feu n’affectera pas la capacité globale des parties pour faire la guerre. Cela est particulièrement vrai si chaque partie perçoit qu’une victoire militaire est réalisable. En mettant l’accent sur la démobilisation, une incidence sur les coûts directs de la guerre, en augmentant les dépenses occasionnées par le regroupement et la remobilisation, qui peuvent à son tour, par récurrence de guerre moins susceptibles.
En ce qui concerne la façon dont le conflit a été expliqué dans les cercles politiques, la solution de deux Etats préconisée par de nombreux acteurs, dont les États-Unis, repose sur la conviction que les hostilités israélo-palestinien sont basées uniquement sur les revendications sur le territoire. Même si cela reste vrai en termes de politique et d’universitaires classiques, il y a un problème avec l’approche de ce problème sur des considérations territoriales seules.
La religion joue un rôle clé tant dans le développement de justification de la guerre et sur la composition structurelle de l’infrastructure sociale et politique, Israël et de Palestine. Au cœur de ce conflit, des réclamations légales sur le territoire sont étroitement intimement liées à l’histoire religieuse. Tout plan de paix qui tente de combler ces revendications territoriales avec une solution à deux États doit tenir compte de la composante religieuse encastrée dans la mentalité collective de chaque acteur. Comme Landau soutient (p.2), les traditions religieuses sont primordiale pour le processus de construction de l’identité d’Israël et en Palestine, jugeant leur inséparable de la plupart des aspects de la vie quotidienne. Pour adopter un sécularisé, conception occidentale d’une solution de paix risquerait surplombant les liens importants qui existent entre la religion et les revendications des deux parties sur le territoire.
Des vues conventionnelles d’inclusion imprègnent les solutions actuellement proposées pour le conflit israélo-palestinien. Lorsque les Accords d’Oslo ont été signés en 1993, modèles inclusion ont conçu en partant du principe que les deux parties à la négociation étaient assez pour assurer la légitimité et la représentativité des délibérations ultérieures de paix. Par initialement rassemblant des individus proches des décideurs israéliens et l’organisation de libération palestinienne (OLP), un processus de paix véritable a été autorisé à la transition vers un accord de paix formel. La nature dyadique du conflit à ce moment-là a libéré l’ensemble du processus de devoir adopter une exclusivité.
L’état actuel du conflit est sensiblement différente de celle des années 1980-1990, car il ne sont a plus d’intervenants sur les deux côtés du conflit. Depuis l’arrivée au pouvoir du Hamas en 2007, l’insurrection politique du Fatah et une prolifération de groupes de la société civile en Palestine, l’OLP se présente n’est plus comme le seul promoteur des intérêts palestiniens. Des tendances similaires peuvent être discernées du côté israélien, selon laquelle le gouvernement de coalition du premier ministre Benjamin Netanyahu est composé d’une mosaïque de différents groupes politiques, dont certains s’opposent à des pourparlers de paix avec la Palestine. Au règlement des conflits de métier régimes sans aborder la pluralité des groupes ayant des intérêts dans la paix ne seraient pas sage et conduiraient à stalles continues dans le processus.
Étant donné la nature disproportionnée des capacités militaires d’Israël et la Palestine, l’aspect religieux actuellement vis à vis du conflit et un modèle d’inclusion qui doit procéder à des corrections, on peut faire les observations suivantes.
Tout d’abord, un état d’esprit révisionniste doit être adopté lors de la pensée sur le conflit israélo-palestinien, auquel cas des paradigmes occidentaux conventionnels de la paix doivent être remplacés par créer localement des solutions. En ce qui concerne sa relation avec le conflit lui-même, la religion est variable sévèrement mal comprise et peu étudiée qui ne cesse pas d’être un acteur omniprésent dans la région. Dans ce contexte, la religion doit être perçue comme une composante essentielle à toute initiative de paix, l’étude de laquelle doit être initiée localement par les groupes et les individus à mieux connaître le discours religieux et son influence sur les institutions politiques et sociales.
Deuxièmement, toute initiative de paix doit également inclure les groupes de non-combattant. Cela pour deux raisons, le premier d'entre eux étant la dilution du potentiel de veto brandissant des groupes belligérants. Compte tenu de leur rôle direct dans la prise de décisions de guerre, les classes politiques et militaires ont traditionnellement été les acteurs évidents d’inclure dans un processus de paix, mais ils ont aussi été ceux qui ont la plus forte probabilité de renoncer à l’ordre du jour de la paix. En élargissant ce paradigme pour inclure des groupes de non-combattants comme dirigeants communautaires, des organisations non gouvernementales et des gouvernements étrangers, une peut-être réussir à décentraliser le pouvoir de décision, donc diminuer les risques de perturbation.
Et Deuxièmement, y compris les parties non combattant reflète une réalité reconnue et pourtant à être de guerre : groupes combattants ne sont pas les seuls acteurs dans les zones de conflit. Guerres, au Moyen-Orient et ailleurs, ne sont pas confinés dans leurs parties belligérantes ; ils touchent également des non-combattants groupes et particuliers, efficacement ce qui les rend légitimes des parties prenantes de la guerre. Dans une large mesure, le processus de paix cherchent globale des changements sociaux et politiques, qui doivent être convenus par les individus et les groupes autres que les parties en conflit, car ils seront également affectés par ces changements.
En terminant, espace de dialogue demeure dans ce conflit, mais la sagesse conventionnelle de paix doit être revisité et mis au défi d’adapter aux réalités changeantes en Israël et en Palestine.