Le Gouvernement libérien et ses partenaires, y compris les Nations Unies et les chefs des organisations de la société civile, font progresser rapidement sur la mise en œuvre de la justice et la primauté du droit et la sécurité la réforme du secteur du Libéria. Au sein de la ville de Gbarnga, comté de Bong, un juge régional et sécurité Hub a été construite avec une mission visant à contrôler toute flambée de violence, tout en donnant accès à la justice pour la population rurale. Quatre autres de ces centres seront construits dans tout le pays à des endroits stratégiques.
Une feuille de route stratégique pour la paix
[vedette] Il est important de noter que ces entreprises doivent aller de pair avec le processus de guérison et de réconciliation nationale. [/standout] Alors que ces réalisations sont hautement louable et nécessaire, il est important de noter que ces entreprises doivent aller de pair avec le processus de guérison et de réconciliation nationale. Ce qui a causé le Gouvernement libérien, les Nations Unies et les organisations de la société civile pour élaborer un document de stratégie intitulé « Une feuille de route stratégique pour guérison nationale, consolidation de la paix et la réconciliation. »
Un des problèmes majeurs qui affecte le développement efficace et la mise en œuvre de la consolidation de la paix et le processus de réconciliation et stratégies au Libéria, est l’absence d’une définition unifiée de consolidation de la paix et de réconciliation. Séparant la consolidation de la paix des travaux ordinaires, c’est toujours un défi que rencontrent de nombreux praticiens du développement et de consolidation de la paix.
Au Libéria, la feuille de route définit la réconciliation comme « un processus multidimensionnel de surmonter les clivages sociaux, politiques et religieuses ; réparation et transformation de relations ; guérir les blessures physiques et psychologiques de la guerre civile, ainsi que face aux et adresse des torts historiques, y compris les causes structurelles des conflits au Libéria ».
La feuille de route a également identifié la présence de plusieurs programmes et participants de réconciliation au Libéria comme un autre défi majeur qui contribue au retard dans la mise en œuvre de la composante de la consolidation de la paix et la réconciliation de la programme de consolidation de la paix au Libéria (LPP). Cela a conduit à des efforts incompatibles, une répétition des processus, la compétition déchets et inutile.
La PPR est pris en charge par la Commission de consolidation de la paix des Nations Unies et finance de nombreuses activités de consolidation de la paix au Libéria. Les fonds sont versés aux bénéficiaires agences de l’ONU dans la Jennifer qu’ils vont inclure d’autres organisations. Cependant, dans de nombreux cas les organisations participantes étaient des ONG internationales, tandis que quelques organisations libériennes ont pris part.
Compte tenu de ce qui précède, libériens, par le biais de cette nouvelle initiative de réconciliation, semblent plus déterminés que jamais à lutter pour la pérennité de la paix relative, de que le pays maintenant dispose. Il est à espérer que la feuille de route de réconciliation permettra d’assurer que les désirs et les aspirations des Libériens sont remplies.
Le document a été donné un délai de 18 ans, avec les résultats stratégiques de maintien de la paix et la réconciliation par la transformation des mentalités, reconstruction des relations, reconstruction des institutions sociales, politiques et économiques... En fin de compte, ceci peut être réalisé par la comptabilité pour le passé et s’engager pour relever les défis dans le présent, tandis que collectivement qui aspirent à un avenir meilleur et partagé.
Assurer la contribution de la société civile
La mise en œuvre des différents éléments de la feuille de route est organisé en six cycles de programme de 3 ans, avec les premiers cycles de deux programme conformes au programme de consolidation de la paix au Libéria (LPP) et le Libéria moyen terme la croissance économique et développement stratégie dite de « L’ordre du jour pour la Transformation ».
Actuellement, les organisations de la société civile sont à l’avant-garde en veillant à ce que leur contribution à la feuille de route est incorporée et qu’ils ont un rôle à jouer dans le processus de réconciliation. Le ministère de l’intérieur, par l’intermédiaire du Bureau de consolidation de la paix au Libéria, procède actuellement à une consultation des parties prenantes nationales et l’exercice de validation régionaux afin d’encourager tous les Libériens à fournir l’apport et les commentaires de la feuille de route.
Représentants de la société civile, universitaires, ainsi que les chefs traditionnels se rendra dans tout le pays pour discuter de la feuille de route et les attentes des Libériens en ce qui concerne le processus de guérison et de réconciliation national. Dans le même temps, les sites de réseautage social comme Facebook sont utilisés pour la discussion et pour recueillir les commentaires de libériens vivant à l’étranger.
Il est à espérer qu’ils discuteront des douze composantes et les stratégies soulignées dans la feuille de route. Il est prévu que vos commentaires seront intégrées et une version finale sera lancée par le Président de la République du Libéria avant la fin de novembre 2012.
Défis difficiles à relever
[vedette] Alors que les perspectives de maintien de paix sont grands, défis difficiles nous attendent. [/standout] Alors que les perspectives de maintien de la paix relative par le biais de la consolidation de la paix nationale, la réconciliation et des efforts actuellement sur le chemin de guérison sont grandes, il y a aussi des défis difficiles à relever.
Par exemple, les questions entourant la mise en oeuvre du rapport de la vérité et de la Commission de réconciliation (CVR) restent sans réponses. Le Gouvernement libérien semble être trouver il est extrêmement difficile à mettre en œuvre des principales recommandations de la commission vérité et réconciliation, qui a été créé après la fin de la guerre civile, apparemment en raison de leur nature complexe.
Il y avait aussi un manque de consensus total entre commissaires sur toutes les recommandations avancées, qui rend plus facile pour les adversaires des recommandations pour renforcer leur preuve. En outre, il est clair que pas assez a veillé à examiner des questions constitutionnelles découlant de la CVR. Par exemple, il y a une recommandation d’interdire les 49 personnes dont le Président d’occuper une charge publique depuis trente ans. Cette recommandation conduit à la polarisation de l’opinion publique et provoqué de profondes divisions, contraire aux objectifs de l’établissement de la commission elle-même. La Cour suprême a intensifié le débat en déclarant que l’interdiction des 49 personnes n’a pas de base constitutionnelle et est en fait une violation de leurs droits de l’homme.
Malgré cela, il y a eu des tentatives par les institutions de gouvernement tels que le Conseil de gouvernance et de la Commission indépendante des droits de l’homme à mettre en oeuvre certains aspects des recommandations TRC, tels que les travaux réalisés par le biais de la National vision exercice portant sur les questions d’identité, le nationalisme et décentralisation ainsi que les forums « palava hut » par la Commission indépendante des droits de l’homme devraient commencer sous peu.
En conclusion, peu importe combien de ressources aller dans les actuels efforts de réconciliation et la détermination du gouvernement et la communauté internationale sont, extrants et les résultats positifs durables restent menacés, à moins que les controverses qui entourent les recommandations de la vérité et la réconciliation sont mis au repos par un national consultative et le processus de création d’un consensus. Cela doit être fait pas plus tard, mais au cours de ce stade précoce de cette très ambitieuse et nécessaire nationale consolidation de la paix, la réconciliation et le processus de guérison.