Depuis 2007, les provinces de Pattani, Yala et Narathiwat, dans le sud de la Thaïlande ont été connus comme la « Zone rouge » – la zone qui a été la plus touchée par la violence armée et dans laquelle le gouvernement sent des organisations terroristes ont le plus d’influence. Depuis qu’il est la « Zone rouge » vivant dans la région pensent qu’ils ont perdu le pouvoir de contrôler leur destin. Les gens ont peur de pourparlers à quiconque en dehors de leur propre village ; même les gens dans le même village parlent rarement le conflit entre eux.
[Légende id = « attachment_3581 » align = « alignnone » width = « 400 » caption = « gardes soldat défilent dans le sud de la Thaïlande »] [/ caption]
Ce mois-ci (décembre 2009) j’ai visité le sud de la Thaïlande pour trouver les gens les sont traitant du conflit. Je pouvais sentir la peur des gens immédiatement quand je suis entré dans un village de la « Zone rouge » à Yala, à travers les points de contrôle militaires. Dans le passé, ces villages étaient toujours sympathiques, mais maintenant les gens me regardent avec méfiance et ne pas me saluer. Ils sont clairement peur ! Depuis le début de la guerre, l’armée et les terroristes ont saisi leur village et mettre la peur dans leurs cœurs. Aujourd'hui, personne ne parle de leurs voisins, les portes sont verrouillées après coucher du soleil, et personne ne s’est éteint dans la nuit. Même s’il y a un accident à l’extérieur, les gens ont trop peur de quitter leurs maisons et aider les blessés.
Une femme m’a dit comment, dans un village voisin, un vieil homme et son fils ont été abattus dans la boutique de thé au milieu du village. Quand j’ai demandé qui était le tireur, elle est devenue effrayée et gardé le silence. Son visage était couvert de peur. Beaucoup de gens dans la Zone rouge ont des expériences similaires. Ils ont entendu que ceux qui parlent d’un journaliste, un travailleur ONG, travailleur humanitaire ou artisans, ont tendance à finir par arrêté ou tué. Cela montre combien il est difficile pour quiconque d’essayer de travailler dans cette région.
Malgré toutes ces difficultés, j’ai été encouragé à trouver que le travail des bâtisseurs de la paix se poursuit ; populations locales elles-mêmes, organiser de différentes façons, pour tenter de parvenir à un avenir meilleur. J’ai été en mesure de fournir des mises à jour sur le travail des organisations telles que ARF-Pattani et les SBPACet leurs initiatives volontaires de la paix et des groupes de jeunes. J’espère que vous obtenez une chance de lire à propos de leur travail important.