[Légende id = « attachment_38314 » align = « aligncenter » width = « 580 »] malala-14395308166-blog Crédit image : Statsministerens Kontor[/ caption]

La secte Boko Haram qui opèrent actuellement dans la partie nord-est du Nigéria a détruit la propriété valant des millions et des scores gauche tués, blessés ou deuil. Ils ont effectué une série d’enlèvements de fonctionnaires, politiciens, agents de sécurité, les expatriés et d’autres. Cependant, ils ont semblé avoir mordu plus qu’ils pouvaient mâcher quand des membres de la secte enlevé près de 300 étudiants féminins du gouvernement Secondary School, Chibok dans l’état de Borno de leurs dortoirs dans la nuit du 14 avril 2014.

Pour les Nigérians et la communauté internationale, cette loi d’airain a attiré l’attention sur les activités du groupe islamiste. Depuis lors, les nigérians à la maison, dans la diaspora et à travers le monde ont été réunis en condamnant l’acte comme exhortant le gouvernement à veiller à ce que les filles reviennent la maison en toute sécurité.

La condamnation et l’indignation de la population était encore alimentée par le groupe de défense des #BringBackOurGirls. Le hashtag #BringBackOurGirls, dit ont été initiés par un activiste sud-africain sur les médias sociaux a apporté le mouvement vers l’avant. Celui qui est le cerveau derrière elle ou chaque fois qu’il vient, le hashtag #BringBackOurGirls semble une pilule amère pour la Jonathan-administration menée.

La crème de la crème de la société non seulement soutenu la cause mais rend aussi virale sur les médias sociaux. De loin aux ETATS-UNIS, la première dame, Michele Obama et les Etats-Unis 24 District de Floride au Congrès, Federica Wilson ont tracé le sentier.

'' mon anniversaire souhait cette année est de prendre la parole pour les jeunes nigérianes et de voir mes sœurs à retourner vers leurs maisons ''.
Sur le front intérieur, notre duo de Dr Oby Ezekwesili, ancien ministre nigérian de l’éducation et le coordonnateur de la #BringBackOurGirls, Hadiza Bala Usman ont été passionnés par la cause des filles Chibok. Il apparaît que pour Ezekwesili, un croyant farouchement passionné dans le bien public, et Paul Bernard, le coordonnateur de la campagne, les principes de la campagne s’exécute dans leur ADN.

Dans un article, «pour comprendre les #BringBackOurGirls, d’examiner à l’histoire», Brian McNeil légitimement observe que '' tandis que l’efficacité de ce genre de hashtag activisme ou slacktivism, a été contestée par des chercheurs — et ouvertement moqué par certains — il peut y avoir aucun doute que plus de gens sont au courant du sort des filles nigérianes capturés que par le passé.''

La passion et la conviction de l’équipe de #BringBackOurGirls résonne avec celle de Malala Yousafzai, le militant de l’éducation pakistanais âgé de 17 ans qui était à Abuja récemment pour appuyer la campagne #BringBackOurGirls et aussi rencontrer les familles des jeunes filles disparues.

En 2012, Yousafzai la tête a été abattu par des hommes armés Taliban sur son chemin de retour de l’école. Elle a été abattue à la fois que l’adolescente a été écrit un blog sur les défis d’oser entreprendre l’éducation occidentale sous un régime Taliban dans la vallée de Swat au Pakistan. Ayant survécu à l’attaque et obtenu un traitement médical au Royaume-Uni où elle réside actuellement, Malala taillé une niche pour elle-même en étant la première adolescente à gagner une reconnaissance internationale pour son rôle dans la cause de l’éducation pour tous les jeunes et les femmes.

Pour Marion, choisissant de se rendre au Nigéria sur son 17e anniversaire est un sacrifice agréable. Elle devant un auditoire à Abuja le 14 juillet que : '' mon souhait d’anniversaire cette année, c’est de prendre la parole pour les jeunes nigérianes et de voir mes sœurs à retourner vers leurs maisons ''. Soit dit en passant, '' le 14 juillet est Malala Day, une journée dont l’ONU a choisi pour les enfants à faire entendre leur voix et résiste à l’éducation de la demande pour tous '' un reportage dit. Le jour a également marqué la fin du troisième mois depuis l’enlèvement des filles Chibok.

Lors de sa rencontre avec le Président Goodluck Jonathan, le jeune militant a annoncé que, '' il m’a promis que les filles vont sera retournées dès que possible.'' Au sujet de ceux qui se sont échappés, elle a dit : '' le président m’a promis qu’il va faire quelque chose pour ces jeunes filles '' et aussi rencontrer les parents des jeunes filles enlevées.

S’exprimant sur l’impact de la visite de Malala, Yinka Makinde, un membre de la campagne bared son esprit ainsi : '' tant de gens ont parlé, mais rien n’a encore été fait. Mais je pense que si un enfant pouvait venir tout le chemin, il écouterait peut-être. Si il n’écoute pas l’enfant, alors je ne pense pas que le Président Goodluck Jonathan va écouter tout le monde.''

Où se situe l’espoir du retour de ces jeunes filles au milieu des enlèvements continus et violents combats par les insurgés dans le nord-est du pays ? Avec la tournure des événements à savoir l’obscurité le sort des personnes enlevées, leurs parents et en effet, certains nigérians sont Richard un rat.

Gouvernement doit faire des efforts concertés pour apporter nos filles à domicile et être sincère, trop ; les filles qui se sont échappés doivent être correctement remis en état et à leurs parents d’écouter (les parents des disparus qui doivent être maintenus au courant du déroulement des événements) ; les médias doivent être à l’avant-garde de cette campagne ; la noblesse de la #BringBackOurGirls ne doit jamais être compromise ; la sécurité des enfants d’âge scolaire et de tous les Nigérians doit classer premier avant tout objectif politique ; agents de sécurité doivent continuer leur acharnement à sauver des vies et à protéger l’intégrité de cette grande nation ; dialogue ne devrait également pas être rejeté.

Encore une fois, la McNeil conjecture qui, '' public prise de conscience est sans aucun doute une bonne chose, mais seul, qui ne mettent pas les retour à la maison de jeunes nigérianes.'' Père de malala Ziauddin Yousafzai doit être un homme heureux, car l’adolescente a frappé la vedette mondiale en croisade pour l’éducation des filles. La ligne de démarcation entre le père et les parents des filles Chibok de Malala est, ils ont des larmes pour leur pain. Le Président Jonathan tient vivant sa promesse à Malala et ramener ses sœurs disparues ?