Cong Christopher Belmonte de Quezon City District VI (4e à droite) pose avec les élèves du lycée de Culiat pendant une caravane l’appel pour la paix à Mindanao. Posté par le Bureau d’Information publique - ARMM sur lundi 16 mars 2015
Toutefois, les craintes ont été soulevées après ce qui est devenu connu comme le clash de Mamasapano en janvier.
Une opération secrète appelée Oplan Exode a été lancée par la Force d’Action spécial (SAF) de la police philippine pour capturer Zulkifli Abdhir. Également connu sous le nom Marwan, il était sur la liste des plus recherchés du FBI.
Marwan a été dans le territoire contrôlé par le groupe rebelle Front de libération islamique Moro (MILF), qui avait été au centre des négociations de paix. Cependant, la SAF a commencé son opération sans en informer le MILF, tel que stipulé dans l’accord entre le gouvernement et le MILF.
[vedette] Les forces armées soudanaises et le MILF n’a jamais voulu s’engager dans le conflit [/standout] The SAF et MILF jamais eu l’intention de s’engager dans le conflit. Le SAF destiné à servir un mandat d’arrêt pour Marwan. Le résultat imprévu a été la violence armée et le meurtre de 44 SAF personnel, 18 forces MILF, cinq combattants de la liberté Bangsa Moro rebelles, cinq civils et Marwan lui-même.
Il y a une réaction qui aura lieu contre les perspectives d’un accord de paix à la suite de ces décès. La population majoritairement chrétienne des Philippines a décrit les 44 commandos comme héros. Dans le même temps, plusieurs organisations de la société civile ont mis en garde contre automatiquement accusant le MILF pour ce qui est arrivé.
La clameur publique pour la transparence ont fait distinct du Sénat et MILF rapports sur l’affrontement de Mamasapano. Les doigts sont maintenant être pointés dans des directions différentes quant à qui était responsable de ce qui est décrit comme un « misencounter » entre les forces gouvernementales et rebelles. Certains ont signalé nous financement de l’opération.
Réclament la paix : militants et archevêques s’unissent pour rejeter la violence
Au niveau local, les organisations de la société civile continuent à appeler pour la relance du processus de paix entre le gouvernement philippin et le MILF. Le Partenariat de paix Lanao et ses organisations partenaires ont dit qu’il doit y avoir un accord de paix global entre le gouvernement et la guérilla.
Un officier SAF impliqués dans l’opération de Mamasapano a posté anonymement une pétition en ligne demandant le tous les efforts à faire en poursuivant le processus de paix à Mindanao.
Le « vrai visage de la guerre n’est pas ce soldat mort ou rebelles sur le champ de bataille. C’est une mère qui fuyaient la maison avec une charretée de progéniture, au milieu des bruits de coups de feu, » dit-il. Au moment de l’écriture, la pétition a plus 6 500 signatures.
[vedette] Des centaines de défenseurs marchaient pieds nus pour montrer leur soutien à une solution pacifique [/standout] en février, des centaines de paix prône marchait pieds nus pendant une heure dans la région autonome du Mindanao à tambour leur désir pour une résolution pacifique des retombées de l’affrontement de Mamasapano.
Et en mars, la région de Mindanao, lui-même organisé une caravane de la paix dans la capitale, Manille. Plus de 1 million de personnes ont signé une pétition soutenant le processus de paix à Mindanao.
Dans une manifestation de soutien, s’est joint à une grande variété de personnes : étudiants et professeurs de différentes universités, des politiciens, des employés de la Commission nationale des Philippins musulmans et les membres du public.
Dans la ville de Cotabato, organisations pacifistes qui s’est tenue une autre caravane et paix ne Rallye que la semaine dernière, pour célébrer une année après la signature de l' Accord global sur le Bangsamoro.
Conduisant les amis de la paix basée sur Mindanao, Cardinal Orlando Quevedo a invité des représentants d’organisations pacifistes se réunir le 6 avril 2015. Ils discuteront des problèmes avec le processus de paix, y compris les questions liées à la Loi fondamentale de Bangsamoro, et avant de différentes manières.
Dans le même temps, le Président Begnino Aquino a nommé plusieurs militants basé à Manille, dont l’archevêque de Manille, Antonio Cardinal Tagle, pour conduire à un sommet de paix National pour discuter de la Loi fondamentale de Bangsamoro.
Avec toute la clameur pour la paix, le peuple philippin espère que leurs appels à un règlement just et Pacifique du conflit à Mindanao tombent pas sur l’oreille d’un sourd, mais sur les esprits raisonnables des législateurs.
[more_info_box] Background : paix Direct lancera bientôt une nouvelle section sur les Philippines. S’il vous plaît vérifier retour pour les mises à jour et les profils des locaux de consolidation de la paix dans le pays.
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