Le Népal est actuellement dans une impasse politique, sur trois questions : la suprématie civile, tant que le Président se déplace en vue de rétablir le chef de l’armée ; la formation du nouveau gouvernement sous la direction du parti maoïste ; et la réintégration des combattants maoïstes. Cette impasse est un revers majeur pour le processus de paix et de la rédaction de la nouvelle constitution.

Le mécanisme politique de niveau élevé (HPLM) a été formé dans la deuxième semaine de janvier 2010 avec les dirigeants des principaux partis politiques du Népal, à savoir le parti communiste unifié du Népal (maoïste), le Congrès népalais (NC) et le communiste parti du Népal unifié marxiste-léniniste (CPN-UML), pour régler l’impasse politique et le processus de paix et de la constitution, processus d’écriture retour sur la bonne voie.  Par la suite la HPLM a décidé d’inscrire les autres parties, principalement mignon basé, dans le processus ainsi. Cependant, presque toutes les réunions et les efforts de l’HPLM n’ont pas été efficaces encore. Pour donner un exemple, la seule conclusion de la dernière réunion de l’HPLM se couchait une date et un ordre du jour de la prochaine réunion.

Maintenant que le déchargement des combattants maoïstes disqualifiés des cantonnements récemment terminé, certaines questions fondamentales sur les questions de l’intégration des combattants maoïstes revenir vers le haut. Il s’agit :

  • s’il faut les intégrer à l’armée népalaise ou autres forces de sécurité ;
  • Si l’intégration est à consommer avant la promulgation de la nouvelle constitution ou par la suite ;
  • combien le maoïste combattants devraient être intégrés dans la sécurité des forces.
Les maoïstes ont constamment affirmé que l’intégration des anciens combattants devrait être dans l’armée népalaise après la promulgation de la nouvelle constitution. Le premier ministre a proposé que les 3 000 des 19 000 combattants devraient être intégrés dans les forces de sécurité avant la promulgation de la nouvelle constitution.

Le peuple népalais de différents domaines, tels que la société civile, médias, différents groupes professionnels, les associations de jeunesse et organisations d’étudiants organisent différentes activités comme les rassemblements, conférences, discours, sit-in, le jeûne et l’épandage affiches, dépliants et impressions tous les jours pour créer plus de pression pour rédiger la nouvelle constitution dans le laps de temps donné. Il y a 91 jours seulement à gauche à promulguer la nouvelle constitution, et la lenteur des progrès sont frustrant et inquiétant.

Ambika Pokhrel, correspondant Local, 26 février 2010