[vedette] Tout au long de la trajectoire de TJ au Népal, les victimes et les autres communautés membres ont eu une portée limitée à articuler ce que TJ signifie pour eux. [/standout] La guerre civile de dix ans (1996-2006) entre les rebelles maoïstes et l’Etat népalais a entraîné environ 16 000 décès. Plus de sept ans depuis la signature de l’accord de paix global, le projet de loi de vérité et de la Commission de réconciliation (CVR) a été adoptée le mois dernier. Beaucoup, y compris les victimes, les organisations des droits de l’homme et les bailleurs de fonds, restent fermement opposés au projet de loi. Alors qu’il apporte des modifications modestes d’ébauches antérieures, beaucoup craignent toujours auteurs seront accordés amnistie et affirment qu’il ne répond pas de normes internationales.
Centrale de ces critiques est la question de la participation locale. Qui va décider quelle justice transitionnelle (TJ) ressemble au pays après un conflit ? Par quels moyens ? Et en effet, quand ? Tout au long de la trajectoire de TJ au Népal, les victimes et les autres communautés membres ont eu une portée limitée à articuler ce que TJ signifie pour eux.
Je soutiens que davantage l’accent sur la participation à TJ peut fournir des avenues pour les voix des victimes et d’autres acteurs se faire entendre, mais pas sans défis importants. D’après mes recherches au Népal, il est clair que les tentatives participatives besoin d’aller au-delà des consultations et de partage pour donner des victimes et des membres de la communauté touchée une réelle opportunité d’être partenaires et décideurs dans le processus TJ de l’information.
Participation au développement
Participation aux modèles de développement offre à ceux qui sont socialement ou économiquement défavorisés, marginalisés ou impuissants à l’occasion d’identifier et d’exprimer leurs besoins et les meilleures façons de répondre à ces besoins. Au cœur de la participation est un sujet de préoccupation pour le pouvoir, les voix et les droits des personnes qui seront le plus en développement. Dans la plupart des modèles de participation des consultations et le partage de l’information sont réputées être de pure forme.
Malgré l’appel de la participation et la normalisation de ses composantes clés dans les programmes de développement, il n’est pas sans critique. Son efficacité a été mise en doute, car il est évident qu’un espace pour les gens d’exercer leur voix ne pas automatiquement se traduit autonomisation de ces gens, ces voix entendues ou ces voix avoir une quelconque influence.
Participation à la Justice transitionnelle
Ces dernières années il y a eu des appels à des méthodes participatives d’études du développement à inclure dans les processus de TJ. Ces appels portent une critique clée de TJ - qu’il se concentre sur les mesures centrées sur l’État et des institutions plutôt que des personnes, particulièrement les victimes.
Deux grandes approches participatives ont été adoptées dans les pratiques TJ : enquêtes et consultations. Ces méthodes sont utilisées dans le but de: identifier les besoins et les droits des communautés touchées, assurer un fort sentiment d’appropriation locale, promouvoir l’articulation respectueuse de dialogue et des intervenants, relancer le processus de paix, déclencher des débats dans la communauté et aider les victimes et de traitent les membres de la société civile à développer la prise en charge locale de la TJ.
Approches participatives dans le processus de Justice transitionnelle au Népal
L’accord de paix global signé en 2006 prévu une Commission vérité et Réconciliation à constituer dans les six mois de la signature. Toutefois, depuis cette époque apparemment peu a progressé par rapport à la Commission vérité et Réconciliation et d’autres dispositions de TJ.
J’ai identifié quatre questions participatives tentatives ont jusqu'à présent couvert dans le processus TJ :
- Des consultations générales TJ (Cependant, ces particulièrement axée sur la CVR) (voir par exemple)
- Expériences des femmes (voir par exemple)
- De secours et de réparations (voir, par exemple)
- Familles des disparus.
[vedette] Malgré la diversité des enjeux et des personnes concernées, Qu'on ne sait pas dans quelle mesure la rhétorique de participation a un impact sur la pratique des TJ au Népal. [/standout] Malgré la diversité des enjeux et des personnes impliquées, interdisant le travail de recherche action participative réalisée avec quelques familles de disparus, on ne sait pas dans quelle mesure la rhétorique de participation a un impact sur la pratique des TJ au Népal. Cela soulève une question cruciale : qui bénéficie de ces tentatives participatives ?
Le ministère de la paix et la Reconstruction a tenu des consultations TJ avec le soutien du Bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Cependant, la façon dont ces consultations ont été conçues et mis en œuvre, en se concentrant sur la CVR proposée, pourraient ont indûment influencé et limitée comment les participants ont construit leurs besoins et ce qu’elles prévoyaient que le gouvernement était en faveur de la prestation.
Un avantage qui ont découlé de ces consultations a été qu’un certain nombre de suggestions ont été inclus dans les projets de loi. Toutefois, les factures a également retenu les dispositions controversées. Il est donc évident que des consultations sont susceptibles de constituer une partie de l’approche participative, mais ne garantissent pas le, dans et d’eux-mêmes, une participation significative...
Les opportunités et les défis pour la participation au processus de Justice transitionnelle au Népal
J’ai identifié un certain nombre de défis dans la façon dont la participation a pris place dans les processus de TJ au Népal.
1. le rôle éminent des TJ experts et des acteurs nationaux
Dès le départ, TJ ne découle pas de victimes ou de la « Communauté », mais par un nombre limité d’experts TJ et élites politiques. Il y avait discussion limitée par l’adoption d’une Commission vérité et Réconciliation au Népal préalable à la participation d’un consultant en Afrique du Sud. Malgré les réticences initiales par les maoïstes et l’Etat, les parties de négociation sont venus voir les avantages de la réconciliation et le modèle d’amnistie adopté en Afrique du Sud, et il fut par la suite inclus dans l’accord de paix global. Si la Commission vérité et Réconciliation et la Commission à structure d’enquêter sur les disparitions forcées ne reflète pas nécessairement ce que veulent les victimes.
2. les problèmes d’accès à la voix des victimes « authentique »
A ce jour, autres acteurs parlent généralement pour et au sujet des victimes au Népal, qui a le potentiel d’autres perpétuent la marginalisation et la marginalité des victimes. Les groupes de victimes sont l’un des quelques avenues à travers lequel les victimes ont été en mesure d’exprimer leurs préoccupations au Népal. Il y a une tendance à la hausse pour les groupes de quelques victimes d’être en communication directe avec les donateurs et les médias. Il sera intéressant de voir comment les ONG et les institutions réagissent à ce changement dans les relations de pouvoir, ainsi que l’impact que cela aura sur le processus TJ au Népal.
3. politique influence sur TJ
La trajectoire des amendements aux projets de loi TJ projet indiquent que même avec une modeste participation, c’est la volonté politique qui détermine finalement la mesure dans laquelle les voix des marginaux est entendu, inclus et pris en compte dans les processus TJ axée sur l’État, de haut en bas. Cela est particulièrement évident en ce qui concerne l’amnistie contre les amnisties mis en opposition avec les tentatives répétées du gouvernement d’inclure des clauses d’amnistie générale facture des TJ, avec appels de consultations (et au-delà). Cela met en évidence les tensions graves, voire même parfois irréconciliables, entre les voix des victimes, experts TJ, l’attention des implémenteurs TJ et autres acteurs.
Conclusion
[vedette] La participation doit dépasser la mise au point sur les consultations et enquêtes pour donner des victimes et des membres de la communauté touchée une réelle opportunité d’être partenaires et décideurs. [/standout] Approches participatives peuvent aider à répondre aux préoccupations que TJ mécanismes sont commandé par les États et d’une descendante. Bien que les consultations et enquêtes peuvent jouer un rôle dans une démarche participative large éventail en TJ, ils ne garantissent pas une participation effective dans et d’eux-mêmes. La participation doit dépasser la mise au point sur les consultations et enquêtes pour donner des victimes et des membres de la communauté touchée une réelle opportunité d’être partenaires et décideurs. Davantage l’accent sur l’appui et d’habilitation des victimes devenir des agents de changement, combinée à une compréhension de la nature politique de TJ, pourrait bien être un point de départ pour que les TJ devienne davantage axé sur les victimes. C’est difficile, certes, mais avec un décalage dans la mise au point et les attentes de participation à Qu'on peut beaucoup plus que présentent.