Avec seulement 36 jours à gauche jusqu'à la date limite pour a la nouvelle constitution, tous les partis politiques a exprimé l’avis qu’il semble impossible de l’achever par 28 mai 2010. Le terme de l’Assemblée constituante (CA) extension est la question qui domine ces jours-ci dans la politique du Népal, chacun des trois principaux partis politiques ont des positions différentes. Unifiée parti communiste du Népal-maoïste (UCPN-M), le parti politique dans l’AC a exigé le leadership dans le nouveau gouvernement avant la prolongation de la durée de la CA, la Communist Party of Nepal-Unified marxiste et léniniste (CPN-UML) a proposé d’étendre le terme de CA et certains des dirigeants du Congrès népalais (NC) ont proposé d’extension, tandis que d’autres ont exprimé le souhait d’élections pour le nouveau mandat après le 28 mai.

Certains experts juridiques et constitutionnelles ont exprimé leur point de vue que la prolongation de la durée de la CA est inconstitutionnelle, affirmant que l’autorité de certification doit être automatiquement dissoute après le 28 mai. Tandis que quelques autres experts ont exprimé que le terme CA peut être étendu au motif que le mandat pour CA dure jusqu'à la création de la nouvelle constitution. Toutefois, ceux qui s’opposent à la prolongation de la durée ne proposez pas d’options pour sortir après le 28 mai.

La disposition du mandat de l’autorité de certification dans la Constitution intérimaire du Népal, 2007 est : « sauf dissolution anticipée en vertu d’une résolution adoptée par l’Assemblée constituante, le terme de l’Assemblée constituante sera deux ans après la date à laquelle est tenue la première réunion de l’Assemblée constituante. ... ... ... Sous réserve que si la réalisation de la constitution ne peut avoir lieu par la raison de la proclamation de sous état d’urgence dans le pays, l’Assemblée constituante peut, par une résolution à cet effet, étendre son mandat pour une période supplémentaire ne dépassant ne pas six mois. »

Avec une incertitude sur la question de savoir si une nouvelle constitution existera avant l’échéance du 28 mai, les partis politiques ont au moins commencé à écouter les uns aux autres afin de minimiser les différences et à éviter les crises possibles. La réunion du mécanisme politique haut niveau (HLPM), représentée par les trois principaux partis politiques a eu lieu le mercredi 21 avril et a décidé d’aller de l’avant avec un consensus et discuté de la possibilité de sortir de l’impasse grâce à un « package deal » des questions litigieuses. Proposé par le maoïste UCPN, le forfait intégrera toutes les grandes questions associées au processus de paix et de la nouvelle constitution, y compris la formation du nouveau gouvernement, intégration et réhabilitation des combattants maoïstes, structure de la Fédération et les formes de gouvernance dans la nouvelle constitution. L’UCPN-maoïstes a affirmé sa position qu’il n’accepterait pas de prolonger le mandat de CA, à moins que le gouvernement actuel a démissionné. La réunion s’est terminée seulement parvenir à un accord pour discuter de l’offre forfaitaire à la prochaine réunion le samedi 24 avril.

La récente et formation continue, armée par le groupe de maoïstes à leurs cadres dans différentes parties du pays a soulevé des préoccupations sérieuses et a appelé la réunion dans le HLPM critiques, NC et CPN-UML ont exigé arrêt de formation militaire comme condition de discuter de l’accord global. Certains ministres des deux parties a également affirmé que la formation et démonstration ont violé l’accord de paix global (APG). Toutefois, les dirigeants maoïstes a dit que la formation n’est pas armée, mais une partie de l’exercice physique régulier effectué pour garder leurs cadres actifs et physiquement apte. L’ensemble de la population s’inquiète également des activités des maoïstes pose question sur la sécurité.

En fait, le peuple népalais n'ont pas d’humeur à aller chercher plus d’élections, deux ans seulement après que le dernier vote a eu lieu, à une autorité de certification qui n’a pas encore de livrer c’est responsabilité essentielle et rédiger une nouvelle constitution. Les gens n’ont pas encore perdu l’espoir d’une fin logique du processus de paix même si frustration envers les partis politiques a été relevée tous les jours.

Posté par Ambika Pokhrel, correspondante locale pour le Népal, 22 avril 2010