[Légende] La mission de maintien de la paix des Nations Unies au Mali est l’une des plus meurtrières du monde. Crédit image : MINUSMA/ [caption]
[vedette] La crise au Mali a fait vieilles rivalités refont surface, aussi bien que créer nouveau ceux [/standout] en 2012, une puissante insurrection séparatiste commencée au Mali, revendiquant l’indépendance de sa partie nord, Azawad. Le mouvement séparatiste a facilement défait l’armée malienne mais fut bientôt lui-même battu par les mouvements islamistes, conduisant à une occupation de neuf mois de l’Azawad par des groupes djihadistes. La France est intervenue militairement en 2013 dans le cadre de le « Opération Serval » et rétabli officiellement l’intégrité territoriale du Mali. La suite du « Libération » de Nord du Mali tourné méchante que divers groupes armés du Nord politiquement hétérogène a commencé à régler violemment des comptes entre eux. La crise avait fait vieilles rivalités refont surface, ainsi que de créer de nouveaux.
Mais voici un an, un processus prometteur a été lancé en Anefis, une petite ville au nord du Mali, non loin de Kidal, le foyer de la crise politique. Des factions armées qui représentent diverses collectivités du Nord se sont réunies et, deux par deux, a examiné les questions spécifiques entraînant une violence récurrente parmi eux.
Finalement, ils ont signé une trêve à leurs fiefs respectifs et a promis d’approfondir leurs pourparlers et de consulter leurs mandants, pour finalement atteindre les établissements plus ambitieux. C’est ce que disent les documents officiels qui sortaient de cette série de rencontres bilatérales. Officieusement, cependant, ont également fait des promesses adresse au-delà des conflits, par exemple en accordant une indemnité pour les raids de dernières.
Rétablissement de la paix à vocation communautaire ?
[vedette] Le processus de Anefis est venu comme un complément très bienvenu à l’international Alger parle [/standout] y participaient de nombreuses communautés. Touaregs Imghad signé des contrats distincts, concernant des questions distinctes, avec deux autres groupes Touaregs, le Dawsahak et les Ifoghas. Les Ifoghas et le Dawsahak ont également signé des offres spécifiques avec une faction de l’arabe, le Lamhar. Et la cerise sur le gâteau était une affaire entre ce même faction arabe et un autre groupe de Touareg, le Idnans. Ces deux groupes avaient été dans une rivalité féroce après Eliane armé hommes ont profité de l’intervention Français au Mali en 2013 pour déloger les arabes de dans-Khalil, un carrefour commercial clé près de la frontière algérienne. À l’époque, les marchands arabes opérant dans l’en-Khalil perdent toutes leurs possessions et ne pouvaient réclamer leur retour. Ils étaient soupçonnés par les Français d’avoir des liens étroits avec les groupes djihadistes et Eliane hommes armés étaient bénéficiaires de la protection Français pour avoir activement collaboré avec opération Serval.
Dans Anefis, enfin, les gens du Nord dont les querelles locales avaient causé beaucoup de dégâts à Azawadian vit et l’économie ont été parler les uns aux autres et de régler pacifiquement les différends. Ce processus ressemble à rêve du Pacificateur des systèmes vernaculaires, de bas en haut du règlement de la vendetta dans l’action. Le paramètre physique permettrait de renforcer cette impression : les gens étaient parler sous les arbres d’acacia et mechouis pour sceller leurs accords de partage. Pour les observateurs du passé récent du Mali, ce processus a rappelé la « réunion de Bourem » en novembre 1994, qui ont radicalement inversé la dynamique de la violence communautaire en spirale au lendemain de la rébellion touareg des années 1990.
Les protagonistes du processus de Anefis avaient rencontré quelques mois plus tôt dans des circonstances beaucoup plus officiels et pompeux et sous un chapeau différent, à Alger. L’Algérie, avec le soutien de l’UE, la France et l’ONU, avait invité dans le cadre des pourparlers de paix entre le Gouvernement malien, l’insurrection séparatiste qui s’est divisée au Mali en deux en 2012 et les groupes du Nord rejetant le projet séparatiste. Le bloc séparatiste a été notamment effectué des dirigeants des communautés Ifoghas, Eliane et Touareg de Dawsahak. Le front de lutte séparatiste Nord était dirigé par Imghad et arabe (Lamhar) chiffres. Mais le format des pourparlers Alger ne permettrait pas de participants du Nord pour discuter de leurs affaires quasi privés pourtant si cruciales. Ce qui était en jeu à Alger, ont été les arrangements politiques, institutionnels et liés à la sécurité big (dévolution du pouvoir, DDR et SSR, en particulier). Commerce intra-Nord n’était pas à l’ordre du jour. Alger était tout au sujet du Nord-Sud, Centre-périphérie des questions.
Dans ce contexte, le processus de Anefis est venu comme un complément très bienvenu pour les pourparlers d’Alger. Elle a offert des acteurs du Nord dans la crise leur propre espace pour résoudre leurs préoccupations plus immédiates. Et en effet, des fonctionnaires du gouvernement et la communauté internationale a aidé avec la logistique de la réunion et brièvement présenté lors des discussions qui s’est passé à l’ombre des acacias. Le processus de paix sur deux fronts, grand et petit, a soulevé beaucoup d’espoirs. Il satisferait également superficiellement que la paix des études universitaires à qui le « local » et le « jargon » sont devenus un eldorado du rétablissement de la paix.
Violences communautaires ?
[vedette] L’énigme est qu’un an après l’accord, la violence n’a jamais été si intense [/standout] maintenant, voici le puzzle. Un an après que Anefis, la violence, notamment entre Imghad et Ifoghas des groupes armés, n’a jamais été si intense. Des dizaines de combattants des deux côtés sont morts dans les combats à Kidal en juillet. Ce qui fait tout le processus Anefis dérailler ? Les causes immédiates des affrontements récents sont obscures. Chaque côté accuse l’autre d’attaquer tout d’abord. Plus de recherche est clairement nécessaire pour comprendre la reprise soudaine de la violence. Deux conjectures raisonnables peuvent être formulées si. La première conjecture a trait aux attitudes envers la violence des acteurs impliqués dans le processus de « les ». La deuxième conjecture questionne l’essence locale de ce processus « locaux ».
La réunion de Bourem mentionnée ci-dessus a été magnifiquement représenté par une équipe de chercheurs maliens et Français. Il s’agissait éleveurs touaregs et agriculteurs Songhoy. C’est essentiel, c’était amorcée et inexorablement poussé vers l’avant par des civils et des chefs de village qui comprenait la violence destructrice rapidement comment était pour leurs communautés et étaient bien conscients des synergies économiques entre les deux groupes. À Bourem, toutes les parties ont été victimes de violence prolongée. Au contraire, le processus de Anefis a été dirigé par des hommes armés, dont la représentativité est douteuse et qui semblent envisager la politique comme un jeu à somme nulle. Pour eux, la poursuite de la violence peut être rentable. Et les chefs coutumiers qui pourraient peser sur les décisions des groupes armés il y a deux décennies sont nulle part pour être vu plus.
La deuxième conjecture est qu’il n’y a en fait peu d’attendre des arrangements locaux entre acteurs locaux qui peuvent avoir des programmes locaux, mais sont également fortement tributaire des influences extérieures. L’approche ascendante pittoresque adoptée en Anefis était en partie une fiction.
Connexion locale et nationale
[vedette] Ce n’est pas un secret que les mouvements de lutte séparatistes dans le Nord bénéficient d’un soutien certain gouvernement [/standout] en 2014 et 2015, les affrontements opposant des communautés au Mali, en Tabankort ou dans la région de Menaka étaient alimentés par de puissants intérêts centrés sur le vol de bétail à grande échelle et le trafic de drogue. Ces deux entreprises ont des ramifications régionales et internationales. Dispositions prises sous un arbre par les dirigeants de ces entreprises peuvent aider à établir la paix mais sont finalement vulnérables aux dynamiques lointain. Aucune force politique au Mali (en ce compris la mission de maintien de la paix des Nations Unies et le déploiement de militaire Français) rend l’économie criminelle transnationale portant sur une priorité politique.
Un autre type d’ingérence dans les affaires locales est en jeu au Mali, qui découle directement du gouvernement. Ce n’est aucun un secret que les mouvements de lutte séparatistes dans le Nord bénéficient d’un soutien certain gouvernement. Instrumentalisation de l’Etat et les milices Imghad dans le Nord dans les deux sens. Dans une ravissante mais bizarrement pas grand chose a commenté vidéo, récemment nommé chef de l’armée malienne félicite les jeunes Imghad pour ce qu’ils font à Kidal dans les dernières semaines (c'est-à-dire confronter les indépendantistes Ifoghas oblige). La collusion directe entre l’Etat et les milices locales n’a jamais été aussi explicite, démontrant que spoilers locales du processus de paix en fait peut-être pas tellement locales.
Les conflits locaux traités dans Anefis n’étaient pas autonomes dans Azawad. Ils avaient des ramifications au-delà d’et, en conséquence, ont été extrêmement fragiles. Des recherches récentes dans la consolidation de la paix a abondamment démontré que des initiatives de paix de haut en bas, taille unique ont peu de chances de succès, si elle n’est pas accompagnent d’une réflexion profonde sur l’appropriation locale de ces processus. Mais naïvement confiance des processus locaux afin de sortent des établissements humains durables peut aussi se tromper. Ce qui importe en fin de compte pour le rétablissement de la paix est les conditions dans lesquelles clivages locales se connecter avec ceux plus larges.