[Légende id = « attachment_40496 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Crédit image : US Army[/ caption]
Les derniers massacres au nord du Kenya par Al Shabaab ont de nouveau soulevé le spectre d’une crise de sécurité du Kenya glisse incontrôlable. Dans les premières heures du 22 novembre, des militants d’Al Shabaab ont tendu une embuscade à un bus de Nairobi lié à la périphérie de Mandera, une ville nichée à la frontière du Kenya avec des frontières éthiopiens et somaliens. Ils ont séparent musulmans de non-musulmans, tuant 28 personnes. Jours plus tard, Al Shabaab militants ont envahi un campement dans une carrière aussi en dehors de Mandera, tuant 36 travailleurs. Président Uhuru Kenyatta du Kenya, face à l’opposition acerbe et critique des médias sociaux après avoir échoué à écourter une visite à Abou Dhabi, lorsque, après l’attaque sur les 22nd, a succombé à la pression politique.
Dans un discours télévisé à la nation, il a annoncé la démission du général d’inspecteur de la Police, David Kimaiyo, ainsi que le limogeage de la ministre de la sécurité interne, Joseph Ole Lenku. Le bouleversement dans l’équipe de sécurité de Kenyatta fait naître l’espoir que le gouvernement serait tardivement se familiariser avec le cauchemar de Al Shabaab s’approfondisse.
Dans une deuxième année de gouvernance dans le cadre de nouveaux accords de dévolution, la crise actuelle est très éloignée de l’avenir plus pacifique et plus prospère que les Kenyans espérés quand ils ont massivement approuvé une nouvelle constitution en 2010. La nouvelle constitution était censée aider à éviter une répétition des violences post-électorales après les résultats du sondage 2007 décembre contestées, qui a attiré le pays au bord de la guerre civile au Kenya. Pourtant, avec la nouvelle architecture de dévolution pas pleinement mis en œuvre, il y a un risque que la spirale de l’insécurité sera nain l’intention morale de la nouvelle constitution du Kenya pour promouvoir une société plus pacifique et équitable.
Le débat sur la sécurité du Kenya
Les massacres de Mandera viennent dans la foulée d’une longue lignée d’atrocités qui ont ébranlé le Kenya. Beaucoup attendaient Kenyatta d’agir après le septembre 2013 Al Shabaab siège de centre commercial de Westgate de Nairobi, qui a fait 67 morts, dont son neveu et fiancée de neveu. Mais Kenyatta a promis la Commission d’enquête sur les attentats jamais matérialisées. Depuis Westgate, les militants ont continué une campagne de violence et d’intimidation, y compris une vague d’attentats dans le comté de Lamu côtières au cours de l’été qui a vu le fan de Forces de défense de Kenya (KDF) toute la forêt de Boni le long des frontières du Kenya et la Somalie à la recherche de militants.
[vedette] Un débat robuste s’est engagé autour de manipulation par le gouvernement de la crise de la sécurité et la lenteur de la réforme de la police [/standout] un débat robuste s’est engagé autour de manipulation par le gouvernement de la crise de la sécurité. Un thread est centré sur la lenteur des réformes proposées dans le rapport 2010 du groupe de travail National sur les réformes de la Police. Celles-ci visaient à promouvoir davantage de transparence et de reddition de comptes au sein des forces de maintien de l’ordre du Kenya. Mais ils sont est coincés dans un bourbier, avec apparemment peu appétit parmi les élites politiques de Nairobi à tacle violent et corrompu les pratiques de la police. En outre, nouveau autorités de police du comté étaient destinées à être créée sous la dévolution pour fournir une fonction consultative aux côtés nationaux existant et les Divisions administratives de la Police. Ils doivent encore être mis en place, laissant certains à la question si le gouvernement cherche à marginaliser les comtés dans le traitement des questions de sécurité.
Un autre thread concerne la militarisation présumée de réponses sécuritaires. KDF unités ont été déployées dans le comté de Lamu lors des attaques de juin et juillet, ainsi qu’à Kapedo, dans le comté de Turkana, suite à une embuscade de novembre par Pokot raiders qui a causé la mort de 22 membres de la Police Administrative. Il est rare pour les militaires à quitter la caserne au Kenya après l’indépendance ; Kenyatta a par ailleurs nommé plusieurs ex-responsables militaires à des postes clés de sécurité et de renseignement dans un remaniement ministériel de 2014. OLE le remplacement proposé de Lenku, Joseph Nkaissery, est une armée à la retraite générale et a servi comme ministre de la défense adjoint sous le précédent président Mwai Kibaki.
Par conséquent, loin de régler ces débats, le limogeage de Kimaiyo et Ole Lenku est susceptible d’augmenter réclame des changements majeurs à l’infrastructure de sécurité et de renouveler les pressions sur le gouvernement pour mettre pleinement en œuvre les réformes policières.