[vedette] Il est impératif que post-conflit interventions ciblent le local mais aussi national. [/standout] Le mois dernier, des millions de personnes dans le monde entier à l’écoute de regarder la deuxième inauguration du président Barack Obama à Washington, DC. Comme les commentateurs et les experts spéculent sur les priorités de l’administration pour les quatre prochaines années, en particulier sur la scène internationale, il y a un aspect de la politique étrangère américaine qui j’espère va supporter et développer. Sous la présidence de Obama, USA a démontré une compréhension bienvenue du lien entre la diplomatie, de défense et de développement, changeant son approche historique.
Dirigé par Hilary Clinton comme son formidable Secrétaire d’État, l’administration a également montré un plus grand engagement à soutenir les stratégies axées sur les activités à l’échelle nationale, plutôt que de les imposer de l’extérieur. Dans les institutions multilatérales et dans leurs relations bilatérales, l’Amérique a enfin, aux côtés du Royaume-Uni et d’autres, défendu renforcement des capacités dans les États fragiles et touchés par le conflit, dans l’espoir qu’ils sont capables de mettre en œuvre leurs solutions autodéterminées aux problèmes nationaux – si économique, politique, sociale ou environnementale.
Pour ce second mandat, avec John Kerry comme successeur de Clinton, il est important que le président Obama s’appuie sur cette Fondation et développe davantage pour assurer une reprise durable dans les pays touchés par le conflit et de fragilité. Et ils devraient étendre cette approche au-delà de la nationalité, soutenant les appels pour les budgets dirigée localement, y compris pour les collectivités locales, les municipalités et les régions.
Les efforts de consolidation de la paix et de la statebuilding après le conflit ont une tendance manifeste à mettre l’accent sur le renforcement des institutions et le pouvoir exécutif au niveau national. Pourtant les tentatives de rétablir le désintégrées contrat social entre les citoyens et l’État au niveau micro, au cours de la reconstruction après les conflits, peuvent être tout aussi importants que ces interventions macro. Cela est particulièrement vrai dans les États où la gouvernance centrale n’a jamais vraiment existé ou a échoué à plusieurs reprises à répondre aux besoins de tout le peuple.
Dans les grands pays avec un vaste territoire, comme la RD Congo, les besoins de ceux qui habitent dans les capitales et les zones urbaines sera souvent très différents aux besoins de ceux qui vivent dans les régions rurales et éloignées des villages. En Colombie, défis à statebuilding au lendemain de la guerre civile en évidence ce puits. Les populations peuvent également être divisées le long ethniques, raciaux, linguistiques, religieuses et politiques des lignes. Une politique qui peut bien servir une identité peut exacerber les conflits et tensions si d’autres se sentent ou sont exclus. Expériences dans les Balkans, Pakistan, Afghanistan et Irak s’ajoute le témoignage de cet impact.
Ainsi, il est impératif que post-conflit interventions ciblent le local mais aussi national. Sans tenir compte des contextes dans le pays et en omettant de répondre aux besoins d’une nation dans son ensemble, courent le risque de créer une paix négative plutôt que positive. Mécontentement et frustration vont mijoter sous la surface et sont susceptibles de faire bouillir plus dans la reprise du conflit à l’avenir. Récents événements en Irlande du Nord concernent un rappel cette consolidation de la paix à l’échelon local doit continuer à long terme, alors même que plus forte infrastructure centrale est en cours d’élaboration.
Alors que les institutions nationales fournissent des garanties, les communautés locales sont les blocs de construction, les fondations d’une paix durable. Qui les soutiennent signifie s’engager avec les acteurs locaux, l’écoute de leurs besoins et en partenariat avec et soutenir les organisations locales à mettre en œuvre des solutions qui désirent des bénéficiaires. Dirigée localement par programmes et, en cas de succès, peut toujours être entartré et reproduit ailleurs.
Le Royaume-Uni s’est engagé à consacrer 30 % de son budget de développement (APD) des États fragiles et touchés par le conflit en 2014-15. Ici et ailleurs, je crois une part supplémentaire du budget devrait être davantage encadrés pour les dépenses pour la consolidation de la paix à l’échelle locale. Aide financière et le renforcement des capacités au gouvernement central seulement contribuera à une paix durable positive si ses effets et les avantages retombées du système pour les communautés locales qui, plus souvent qu’autrement, ont ressenti la pleine charge de fragilité et de conflit.
Quatre ans plus d’engagement des Etats-Unis dans cet effort international pour réduire les conflits par le biais de développement désormais garanti, le moment est venu d’approfondir nos interventions. Il n’y a pas de solution miracle, mais les générations à venir vont sentirez la différence.
Cet article a été également publié sur le blog première locale. Local est tout d’abord une approche de développement international qui privilégie les vues et le leadership des personnes et des organisations dans les pays touchés, sur ceux de l’extérieur de la communauté internationale.