[Légende id = « attachment_38806 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Crédit image : shawnleishman/ [caption]
Avec 175 millions d’habitants, le Nigeria est plus peuplé de l’Afrique. Bien que richement doté en ressources humaines et naturelles, elles sont inégalement réparties et mal gérés, et le pays continue d’évoluer rapidement, de la colonisation par le biais de militarisme vers la démocratie.
Avec la société organisée actuellement au moyen d’un système de gouvernement fédéral, les tendances émergentes au Nigéria révèlent le manque de participation autochtone dans ses structures politiques. Les transformations actuelles du Nigeria doivent tenir compte de sa diversité ethnique mais aussi structurelle. Afin de construire une société stable durable, gouvernance différent et perspectives culturelles doivent être intégrés au moyen d’initiatives de consolidation de la paix globale et transversale, y compris l’aide humanitaire et le développement, ainsi que protection vie et fournir un soutien psychosocial et le traumatisme de guérison pour les citoyens touchés par la violence. L’éducation devrait jouer un rôle clé dans ce domaine, transformant les visions du monde et la création de la compréhension entre les différentes formes d’identité, de la justice et de leadership au Nigeria.
En effet, divise les religieux de la nation, et le conflit et les violences interethniques ont historiquement été caractérisées par des représailles, de haine et de suspicion, d’identités religieuses et les influences attribuées à l’origine ethnique. Il a donc été inévitable que les institutions et les systèmes ont divisé plutôt que peuple Uni. Avant la délivrance de Boko Haram à venir au premier plan, l’intolérance religieuse et incompréhension, d’intimidation ethnique ainsi qu’une représentation inégale, a donné lieu à des cycles répétés de violence. Ces dynamiques restent visibles dans la vie politique du Nigeria et de la vision du monde de ses citoyens. Initiatives de consolidation de la paix qui créent un espace sécuritaire pour les écarts à combler, augmentant la cohésion sociale par le biais de développement structurel et humain, sont essentiels en vue de réunir les différents groupes du Nigéria.
La contribution des différentes nations, institutions et organismes, y compris USAID, DFID, l’ACDI, Banque mondiale et Banque asiatique de développement pour faire face à l’extrémisme violent, en particulier Boko Haram – sont le bienvenu. Mais la dynamique de ces conflits récurrents de surveillance est important. La saga de Boko Haram n’est pas entre les ethnies et les conflits apparemment religieux qui semblent devenus un trait de fracture géographique du Nigéria (avec un Nord musulman et le Sud chrétien) sont compliqués. En se concentrant trop sur Boko Haram pourrait conduire à ne pas payer suffisamment d’attention à la nécessité d’un régime proactive pour la prévention et l’atténuation des conflits ethnico-religieux et ethniques qui pourraient bien émerger en conséquence.
Inévitablement, il y aurait des questions – la lutte contre Boko Haram ne résoudrait les problèmes du Nigéria ? Il réduirait et prévenir l’émergence de milices et de groupes d’autodéfense ? Il empêcherait les représailles de querelles ethniques et religieuses ? Y a-t-il une possibilité pour résoudre les nombreux problèmes constitutionnels en ce qui concerne les droits fondamentaux de la citoyenneté, d’expression et de culte ?
La destruction d’et le manque de respect pour les lieux de culte, plu au nord, à la moindre manifestation d’incompréhension et de la provocation, ne faut également pas oublier. Révocation des droits de propriété des terrains dédiés au culte tend à entraver la compréhension et la tolérance religieuse. Il y a aussi l’atteinte aux droits à l’éducation, tronquées par les normes culturelles et sociétales dans la prolifération du système « Almajiri ».
Il devrait y avoir aussi une préoccupation constitutionnelle pour le dialogue sur les citoyens et les intérêts des autochtones ; plus les violences interethniques dans le Nord a été entamé sur de tels motifs. L’autonomie des gouverneurs d’État dans les structures politiques du Nigéria n’est pas cochée, et il y a excès et de préjugés personnels contre l’unité nationale et de la possibilité d’une coexistence pacifique. La mise en œuvre de la Loi de la charia dans certains États du Nord du Nigeria et les dépenses excessives du gouvernement fédéral sur les pèlerinages religieux chrétiens et musulmans, sont des indicateurs de l’institutionnalisation de la religion en matière de gouvernance. L’attitude de la classe politique et son mépris pour la notion constitutionnelle que nul ne doit être au-dessus des lois, implique que le Nigeria est encore de posséder son processus de la nation par le biais de patriotisme responsable.
En essayant de lutter contre la corruption énorme dans la gouvernance du Nigéria, des initiatives de consolidation de la paix et le soutien diplomatique au Nigeria devraient être en mesure pour l’intégration complète d’et l’engagement avec les intervenants primaires et secondaires à tous les niveaux de la société, y compris les organisations de la société civile, l’organisation autochtone et communautaires et des acteurs de terrain.
En somme et s’appuyant sur les leçons d’une conférence nationale vient de s’achever, il doit y avoir un effort sérieux pour mettre en œuvre les facteurs ci-dessus, y compris former un Comité pour se prononcer sur comment une telle stratégie globale sera mis en œuvre et surveillée. Mais il devrait être également ouvert au développement et des partenariats de consolidation de la paix dans la mesure du possible, afin de renforcer les capacités, autonomiser les populations locales et donnent une voix à la base. Faisant donc aidera à transformer la culture politique du Nigéria, appuyant sur les capacités existantes du Nigéria pour la paix d’une manière proactive.