[Légende id = « attachment_40772 » align = « alignnone » width = « 550 »] Burkina Wanep Représentants de la politique, les médias et la société civile au Burkina Faso tous ont participé à un récent atelier sur la façon de surveiller et de prévenir la violence au cours de la prochaine élection générale. / [caption]

Élections constituent l’expression libre et souveraine du pays ; la volonté de leur peuple. Cependant, ces dernières années, les élections en Afrique de l’Ouest sont devenues une source de conflit. Processus électoraux ont été les leaders du maintien de graves lacunes et orienté uniquement vers la fin de leur mandat au pouvoir à tout prix. La lutte pour le pouvoir a parfois dégénéré en conflits violents avant, pendant et après les périodes électorales.

Mais le Burkina Faso a longtemps été considérée comme un exemple de stabilité. Ouagadougou, la capitale, a été le théâtre de nombreuses réunions de paix précédentes pour les États voisins, et son ancien Président, Blaise Compaoré, a été renommée pour le rétablissement de la paix. Cependant, au cours des trois dernières années il y a, Burkina est tombé dans les rangs des pays en crise. La plus récente de ces crises a conduit à une populaire soulèvement en octobre 2014, qui a obligé Compaoré à démissionner.

Élections dans le pays n’ont jamais conduit à la guerre ou de conflit. Mais les élections présidentielles prévues pour 2015 sont un chemin potentiellement dangereux, qui doit être pris avec précaution. Les acteurs politiques et la société civile devront préparer soigneusement pour eux.

Le West African Network for Peacebuilding (WANEP), l’organisation pour laquelle je travaille, est dédié à la prévention de la violence. Afin de garantir un environnement paisible au cours de la période électorale en 2015, il a développé une gamme d’indicateurs qui peut être utilisé pour mesurer la violence. En décembre, nous avons organisé un atelier afin d’examiner, modifier et valider ces indicateurs. Réunissant les exportations sécurité électorale et humaine, des représentants des partis politiques, des journalistes et des bâtisseurs de paix la société civile, nous avons créé une plateforme d’échange pour discuter des risques de violence pour les élections de 2015, mais aussi de proposer une méthodologie initiale pour savoir comment surveiller les indicateurs.

Pendant l’atelier, le Secrétaire général de la Commission électorale indépendante nationale (CENI) a présenté ses remerciements à WANEP, comme son partenaire dans la recherche de la paix au Burkina. Il lance un appel à toutes les parties à travailler dur pour atteindre cet objectif commun : une élection paisible en 2015. Il y a également des rappels que les élections sont des périodes très sensibles, pour les candidats et les électeurs. Tous deux sont capables d’utiliser insultant comportement et provoquant la haine et la violence. Afin de répondre à ce potentiel, il doit y avoir un système efficace pour surveiller et répondre à de telles actions.

[vedette] L’Ambassadeur du Canada au Burkina Faso a félicité le WANEP pour établir le système de surveillance [/standout] son Excellence l’Ambassadeur du Canada au Burkina Faso a également pris part. Il a remercié et félicité WANEP-Burkina pour établir le système de surveillance. Il a également rappelé l’intérêt des partenaires techniques et financiers du Burkina à voir lisse des élections ont lieu.

Afin de mieux comprendre, approfondir et faire usage de WANEP-Burkina proposée par indicateurs, les participants à l’atelier divisent en trois groupes principaux de discuter, de reformuler et de classer les indicateurs. Ils ont aussi travaillé sur la conception la meilleure façon de coordonner leurs efforts.

Après la séance plénière, la liste définitive des 21 indicateurs ont été présentés, dans quatre catégories différentes :

  • La violence physique et la destruction des marchandises
  • Violence verbale ou psychologique
  • Irrégularités et la mauvaise conduite des partis politiques
  • Comportement et les actions non conformes aux règles et principes républicains des acteurs publics
Croyant fermement que la démocratie ne peut exister sans la compréhension et la participation de la population, WANEP s’efforcera de faire prendre conscience de ces indicateurs et augmenter la prise en charge locale et l’exécution de leur. S’appuyant sur l’aide des moniteurs communautaire de son système National d’alerte précoce, ainsi que ses membres sociétaires, WANEP-Burkina va collecter, analyser et diffuser des données qualitatives et quantitatives. Elle formulera les réponses pour les différents acteurs travaillant sur la paix et la sécurité au Burkina Faso ; WANEP veut créer un « baromètre électoral » pour les acteurs les, nationaux et internationaux.

Un manque de fonds et de ressources humaines seront les principaux défis à relever, mais nous sommes conficent de pouvoir réaliser ce projet. Nous avons l’intention d’apporter un changement pacifique au Burkina Faso.