[Légende id = « attachment_54763 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Sana ' a, Yémen. Rapports du Yémen suggèrent qu’une grande partie de son patrimoine rural et urbain a été détruite dans le conflit qui s’y déroulait. Crédit image : Richard Messenger. / [caption]
[vedette] Arabie saoudite considère sa Cour [/standout] du Yémen fur la guerre au Yémen, Arabie saoudite reste le principal actionnaire de sa sécurité intérieure et des sphères sociales. Il s’agit indépendamment de l’implication politique et militaire croissante des autres membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), en particulier les Emirats arabes UNIS, le Qatar et Oman.
Aux côtés de telles interférences, il a également été aide directe au développement de la GCC, soutenant notamment l’éducation et les besoins en infrastructures de base comme l’électricité et l’eau.
Les raisons sont complexes. Arabe saoudien considère l’Yémen comme son arrière-cour. Il a des préoccupations stratégiques depuis longtemps dans le pays qui l’ont amenée à utiliser une variété infinie d’approches pour prendre soin de ses intérêts. Mais ces et les politiques des autres pays ont créé des chaos. Une partie du problème est la succession de courte durée les politiques qui étaient censés pour apporter de confinement d’un voisin régional.
Ces politiques à court terme ne répondra pas des questions fondamentales de la pauvreté, mauvaise performance économique, manque d’emploi, interne et menaces à la sécurité externe, la corruption et un manque de véritable leadership du Yémen. Et comme ils ont grandi, tissu social fragile de faible du Yémen a presque disparu. Il a besoin pour guérir les générations. Cependant, ce qui rend la situation yéménite intéressante est que de nombreuses petites collectivités rurales dans le Nord – qui souffrent autant que des difficultés de la guerre – ont vu des indicateurs sociaux positifs.
Les collectivités pauvres et classes moyenne ont se rapprocher et a coopéré, et entre autres choses ceci a vu, par exemple, une baisse de la criminalité dans le Nord. J’ai appris que mis à part les crimes des personnes impliquées dans la violence armée des deux côtés, « délinquance » comme vol ou détournement ont diminué.
En revanche, dans le sud, l’inverse semble se produire, comme il l’a fait dans les épisodes précédents de violence.
Cette détérioration du tissu social est sans doute due en partie à la coalition de la guerre qui a commencé en mars 2015 Arabie. En combinaison avec les mouvements politiques, les écoles religieuses radicales et le rôle des milices armées – et dans le contexte d’une presque entièrement absent état – la situation est sombre.
Amis et ennemis : une stratégie ratée
[vedette] Le vieux jeu des amis et des ennemis a sont effondrées [/standout] toute véritable feuille de route pour la paix doit impliquer, Yémen, Arabie saoudite et les pays du CCG. Le jeu désuet joué par tellement beaucoup dans la région, des amis et des ennemis, a était effondrée. La force supposée du partenariat régional avec l’Yémen s’est révélée pour être une fiction de l’escalade des événements à la fin de 2014. D'où l’intervention de 2015, lorsque les pays du CCG et leurs alliés ont estimé que quelque chose devait être fait rapidement. Mais après un an de guerre sanglante, beaucoup sont interrogent sur cette stratégie.
Partenariat de long terme et l’intégration avec un leadership crédible yéménite sont vitales pour la région. Les pays du CCG doivent reconsidérer, ensemble et en toute indépendance, leur politique vers l’Yémen.
Ils doivent prendre en charge un leadership yéménite représentatif, pour aborder les questions clées de la pauvreté et le développement. Ils doivent prendre en charge une intégration immédiate, où possible, dans la commune GCC économique, du travail et des zones d’éducation du Yémen. Et ils devraient chercher à apporter au Yémen avec l’adhésion à part entière dès que possible, afin de commencer à développer une sorte de politique régionale cohérente envers elle.
La situation sur le terrain peut être améliorée avec les initiatives et médiation régionale et internationale. Il y a actuellement peu d’espace pour la société civile et les ONG car ils sont tous cherchant refuge des chars et de missiles. Mais leur travail pourrait s’épanouir avec même le début des négociations visant à un cessez-le-feu.
Le défi pour la société civile
Il y a certaines organisations de la société civile locale petites initiatives en cours d’exécution, y compris des militants de la formation dans leur domaine et documenter les violations des droits de l’homme. Toutefois, ils doivent travailler avec précaution pour ne pas envenimer une situation déjà tendue.
Autres organisations trouvent que leur travail est souvent interrompu. Beaucoup ont dû modifier, changer ou déplacer leurs bureaux ou leurs travaux pour tenter d’éviter les affrontements avec le camp des vainqueurs dans leur secteur, indépendamment de si elles prennent en charge ce côté ou non. Parfois c’est pire : un de mes collègues a dû arrêter les travaux de son organisation au Yémen et fuir avec son pays en Égypte.
Contacts m’ont dit qu’un cessez-le-feu et des négociations directes sont nécessaires pour instaurer la confiance. Il doit y avoir un accent sur le rétablissement des services publics de base avec une aide immédiate. Après qu’il faut faire la stabilité, la sécurité et la reconstruction d’infrastructures, avec un accent particulier sur la prestation de santé, l’éducation et l’alimentation fournit. Enfin, ils le disent, il doit y avoir un effort concerté pour soutenir la guérison et des initiatives de réconciliation. En bref, les défis des travaux de consolidation de la paix sont nombreux lorsque les bombes sont toujours en baisse.
La nécessité d’un règlement global
Pour plusieurs raisons, le soi-disant printemps arabe et ses multiples et la libération des mouvements de jeunesse social, a rendu la situation dans la pire au Proche-Orient. Avec les différents conflits dans la région et les différents intérêts stratégiques des acteurs régionaux et internationaux, Yémen ne pourrait pas être sauvé de ce tremblement de terre. Et c’est la Cour arrière du CCG. Mais il a fallu un âge pour tout type de politique commune envers le pays. Confinement des tactiques et des injections financières petites de temps en temps pour maintenir le pays à flot, ne fonctionnera pas. Il doit y avoir un règlement global.