[Légende] Groupes de Rohingyas au Myanmar et au Bangladesh vivent dans des conditions extrêmement difficiles.
Crédit image : Commission européenne, DG Echo/ [caption]

[vedette] Le Bangladesh est un petit pays avec une grande population, aux prises avec le chômage et autres questions [/standout] Shangkhola, Shado, Pangla, Perlis, Phoebe, Besab, Wang-kelian, Lankhao et Acheho -ces mots sont de notoriété publique. Ils sont les noms des îles, où des milliers de bangladais et Rohingya ont été bloqués l’an dernier, victimes de la crise des réfugiés du sud-est asiatique.

Cette crise concerne le mouvement les Rohingyas du Myanmar (également connu sous le nom de Birmanie) et du Bangladesh à de nouveaux pays. Ils fuient la persécution et la pauvreté, et leur situation a défrayé la chronique en 2015, alors que des milliers étaient échoués dans la mer d’Andaman.

Plusieurs groupes avaient quitté pour différents pays du sud-est asiatique, y compris la Malaisie, Indonésie, Philippines et Thaïlande. On croit que des centaines sont morts sur une route dont les Nations Unies estiment que plus de 25.000 personnes ont pris, certains en utilisant les services de trafiquants d’êtres humains.

Les Rohingyas, une minorité musulmane au Myanmar, ont «souffert pendant des décennies... discrimination juridique et sociale» si mauvais qu’il oblige à quitter.

Pendant ce temps, le Bangladesh, est un petit pays avec une grande population, aux prises avec le chômage et d’autres questions. Tant de gens veulent quitter, pour échapper à la pauvreté et les conditions de vie désastreuses.

Les pauvres et les démunis de ces deux sociétés sont parfois devenus les victimes de trafiquants d’êtres humains dans leur désir de quitter.

[vedette] Les Rohingyas sont un peuple pris au piège [/standout] en ce qui concerne les Rohingyas, il y a beaucoup de Myanmar vivant au Bangladesh, et certains ont construit des petites maisons. Beaucoup d'entre eux vont en Malaisie par le biais de différentes sources. Il peut considérer comme positif pour notre pays car ils travaillent dur et apportent les envois de fonds vers le Bangladesh, bénéficiant du pays ainsi que les banques. Cependant, l’environnement social est négativement affecté. Les Rohingyas sont un peuple pris au piège. Ils n’ont pas assez de nourriture, logement et habillement. Ils sont également une vie misérable, et beaucoup sont impliqués dans le piratage, le vol et le trafic de drogue.

C’est une question complexe et aussi inclut la déforestation et les affrontements avec les communautés locales. Cette exploitation en particulier a été reproduction méfiance dans les relations entre le Myanmar et au Bangladesh. Certaines populations locales aident les Rohingyas pour obtenir du Bangladesh vote ID et passeports et ensuite de les utiliser pour trouver un emploi au Moyen-Orient et ailleurs.

Si la relation entre les Bangladais et les Rohingyas n'a pas toujours été bonne, bien que les Bangladais ont maintenant compris la situation des Rohingyas. Interaction entre les deux communautés s’accroît dans la forme du mariage et des cérémonies religieuses. Mais parfois, ils sont impliqués dans des conflits violents si les populations locales viennent d’évacuer les terres qu’ils sont sur.

Cycles de la violence au Bangladesh, Myanmar, la Thaïlande et la Malaisie ont contribué à l’expansion de ce commerce. Et bangladais sont aussi devenus une proie facile pour les trafiquants, qui tombent dans le piège d’accepter les propositions des intermédiaires qui prétendent qu’ils fourniront les emplois et argent.

[vedette] La législation devrait être élaborée pour poursuivre ceux qui profitent du désespoir [/standout], que nous pensons que les initiatives internationales devraient être prises pour soutenir internes solutions à ce problème. Cela doit inclure à atténuer les problèmes, y compris la violence contre les Rohingyas par les forces de sécurité Myanmar et abus commis par des acteurs non étatiques tels que le dévalorise, et assurer les besoins fondamentaux de la Rohingya sont respectées.

Le Secrétaire général de l’ONU a dit qu’il faudrait la plus haute priorité à sauver la vie des migrants flottants. Il a lancé un appel aux dirigeants des pays concernés à élaborer des propositions utiles pour corriger les facteurs push et pull, conduisant les gens à quitter.

Dans le même temps, la législation devrait être développée pour poursuivre ceux qui profitent de ceux dont le désespoir pousse à fuir. Efforts coordonnés doivent être prises pour sensibiliser massive en réunissant le gouvernement et les institutions non gouvernementales qui travaillent dans le secteur de l’immigration. Cela devrait impliquer la police, la garde côtière et la société civile, travaillant ensemble pour aborder les priorités de sécurité et de la sécurité des communautés à travers le dialogue.

Bangladesh et la Loi

Selon stipule à l’Article 32 de la Constitution du Bangladesh ' nul ne peut être privé de la vie ou la liberté individuelle. » Article 31 autres garanties « protection de la Loi et être traités conformément à la Loi » comme « l’inaliénable droit de chaque citoyen... et de toute autre personne pour l’instant au sein du Bangladesh ».

Liberté personnelle constitue le noyau du corpus du droit international relatif aux droits de l’homme. L’article 3 de la Déclaration universelle des droits de l’homme garantit le droit à la vie, liberté et sécurité de toutes les personnes. Article 9 du Pacte International des droits civils et politiques États que nul ne peut être privé de sa liberté sauf en conformité du droit. Interprétation de l’Article 1er, paragraphe 1, de la Convention contre la Torture révèle que la douleur et les souffrances résultant de montants de sanction illégale (détention illimitée en l’occurrence) à la torture.

Tout cela nous amènent à conclure que le Bangladesh comme un État partie est tenu à rendre hommage à la liberté personnelle de tous les individus, les citoyens et les étrangers.