[Légende id = « attachment_34740 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Image credit: European Commission DG ECHO Crédit image : Commission européenne, DG ECHO[/caption]

Myanmar (également connu sous le nom Birmanie) population Rohingya est l’un des groupes ethniques plus vulnérables dans le monde aujourd'hui. Ils ont été déchus de leur nationalité et soumis à des exécutions extrajudiciaires, les arrestations arbitraires et autres abus. Cherche désespérément refuge et sécurité, beaucoup ont fui leurs maisons, se déplaçant vers d’autres régions du Myanmar, ou quitter le pays. Bangladesh, Thaïlande, Inde, Pakistan, Arabie saoudite, la Malaisie et la Chine ont été les destinations préférées de cette communauté en vol, mais pour la plupart, leurs souffrances ne sont pas fini après avoir quitté le Myanmar.

La persécution généralisée dans leur Myanmar native provient principalementde la Loi de 1982 sur la citoyenneté. Cette loi définit un concept de la nation birmane basée sur en birman et bouddhiste et justifiait à son tour la discrimination et persécution de la base de Rohingyas.

La « légalité » de la violence anti-Rohingya

La Birmanie a une population de minorité ethnique riche qui représentent environ 30 % de la population birmane. Les musulmans Rohingya sont principalement concentrées l’Etat Rakhine, au Myanmar Ouest. Il n’y a pas de chiffres officiels, mais il est estimé il y a environ 1,4 millions de Rohingya en Arakan - près de la moitié la population de l’État total - dont 800 000 résident dans les trois cantons, qui constituent 80 % de la population totale des villes.

Les Rohyngas dans l’Arakan se définissent comme un groupe ethnique birman indigène, descendus des commerçants arabes qui se sont installés de la 8ème siècle dans les Colonies asiatiques orientales du Sud. Jusqu’en 1784, Rakhine (anciennement Arakan) faisait partie d’un royaume indépendant dont frontière incluait une partie du sud du Bangladesh d’aujourd'hui. Arakan territoire divisé islamique et bouddhiste en Asie. Ceci se matérialise par la langue Rohingya qui est un mélange de Bengali, Perse, arabe et Arakanais.

En 1962, un coup d’État mis en place un gouvernement militaire au Myanmar. Depuis lors, le nettoyage ethnique et déportation humaine contre Rohingya a eu lieu. En 1982, La Loi sur la citoyenneté rendaient impossible pour les Rohingyas d’être reconnus comme citoyens birmans. Décrétant le statut d’apatride de l’ethnie Rohingya, le droit des citoyens constitue la base juridique pour la poursuite de la violence arbitraire contre la communauté Rohingya. De 1990 a été militarisé Rakhine et tactiques oppressives contre Rohingya s’intensifia. Depuis lors, la situation n’a pas amélioré.

En juin 2012, une violence à grande échelle de l’épidémie contre les Rohingya amené des milliers de morts et le déplacement forcé de plus de 100 000 personnes tout au long de l’Etat Rakhine. Rohingya ont été largement séparés afin de créer des zones exemptes « musulman ». À la fin de 2012 ONU estime qu'un autre 13 000 déplacés Rohingya. À l’époque de la violence, le site Web du président birman a porté un message indiquant que le seul moyen de mettre fin à des violences intercommunautaires dans l’Etat Rakhine devait envoyer des Rohingyas dans deux camps de réfugiés du HCR ou vers un pays tiers.

La crédibilité du Myanmar

Malgré les réformes de la démocratie en cours, les réunions afin de promouvoir les dialogues avec les groupes armés ethniques et le cessez-le-feu dans tout le pays, pour une transition pacifique au Myanmar est, au mieux, incomplet. Je crois que la véritable résolution de décennies de lutte armée et ethnique ne peut venir que si les minorités négligées, telles que les Rohingyas, sont pleinement intégrées dans le processus de dialogue.

À moins que des mesures sont prises dans cette violence de direction contre Rohingya toujours être verra tel qu’il est justifié dans les années à venir, avec des conséquences pour la stabilité et le développement de l’ensemble de la région. En ce sens, un manque de mesures substantielles apparaît évident. Avec la Loi sur la citoyenneté toujours en place, par exemple, le premier recensement national après trente ans, prévu en 2014, se marginaliser encore davantage la population Rohingya en ce qui concerne l’élection de 2015.

Le Rapporteur spécial de l’ONU sur les droits de l’homme au Myanmar, Tomás Ojea Quintana, se plaint que le gouvernement ne parvient pas à remédier aux causes de la violence dans l’Arakan et, plus particulièrement, de retenir la garantie forces responsables des violations systématiques des droits de l’homme.

Selon un récent mémoire par l’équipe de recherche ALTSEAN, un an après la recrudescence de la violence sectaire contre Rohingya, le gouvernement n'a pas pris des mesures importantes vers une résolution. Les autorités continuent à détenir les Rohingya militants et appeler à l’application des politiques discriminatoires contre les Rohingyas. Rafendi Djamin, militant indonésien des droits de l’homme et représentant de la Commission intergouvernementale de l’ASEAN sur les droits de l’homme (AICHR laisse PRÉSAGE), met en garde que l’incapacité à contrôler les violences confessionnelles meurtrières par le gouvernement du Myanmar pouvait voir violence dégénérer, au plomb à probable génocide contre la minorité Rohingya

À partir de janvier 2014, Myanmar sera le chef régional de l’ASEAN et président de l’AICHR laisse PRÉSAGE : l’organe consultatif intergouvernemental de l’ASEAN sur les droits de l’homme. Le projet Arakan décrites en 2012 que la modification de la Loi sur la citoyenneté, les certificats de naissance et les documents pour enfants Rohingyas, abolition des politiques locales de restreindre la garantie de soins de santé, services d’éducation, accès à la nourriture et l’interdiction du travail forcé et les naissances, les mariages sont toutes les mesures indispensables pour assurer la protection des droits de l’homme fondamentaux des Rohingyas.

Pourtant, politiques et institutionnalisation de la discrimination raciale des restrictions restent en place pour des raisons de sécurité nationale et il n’y a pas de plan en vue de modifier la Loi de 1982 sur la citoyenneté. Aussi bien la stabilité interne et régionale, la paix et développement subira probablement par engagement du Myanmar vers l’intégration des Rohingyas et autres minorités musulmanes dans le processus de paix.