[Légende] Marche guerre du Sénégal dure depuis des décennies, et il y a peu de signes d’une résolution finale. / [caption] [vedette] L’économie de guerre a miné de toute urgence pour mettre fin au conflit au Sénégal [/standout] selon la légende, Galileo, après avoir été forcé par l’Inquisition à renoncer à sa réclamation que la terre déplacée autour du soleil, il a dit « E pur si muove » – « et pourtant elle tourne. » Sa théorie a été vérifiée par la suite.
Tout en n’atteignant ne pas la violence des autres conflits africains Casamance est toujours dans un cadre de non-paix. Malgré un bon prêt à ignorer, le conflit se déplace toujours. Malheureusement, le processus de paix n’est pas en mouvement – en fait, le processus de paix n’existe pas vraiment.
Le conflit est mauvais pour les relations régionales et la réputation du Sénégal, et l’économie de guerre de noix de cajou et de cannabis a «miné de toute urgence pour mettre fin au conflit».
Non la paix peut être vu dans la méfiance et la distance entre les « hommes de tenue », c'est-à-dire l’armée, la gendarmerie, autres représentants des citoyens de l’États et communes. Non la paix peut être vu dans la présence militaire parfois inquiétante. Non la paix peut être vu dans les mines qui sont encore en évidence dans tout le pays ; la réunion de novembre du international mine ban convention conclue que « la stagnation des opérations de prospection et de déminage au cours des dernières années, et la réticence apparente du Sénégal pour déployer des actifs de dégagement dans la Mine CONFIRMEE domaines, tels qu’autour des installations militaires, sont des signes inquiétants. Ils suggèrent que le Sénégal manque toujours une compréhension approfondie de son problème de mine, mais aussi une stratégie réaliste pour se conformer à ses obligations de l’Article 5 [pour effacer toutes les mines antipersonnel dans les zones minées sous sa juridiction dans les dix ans]. »
Enfin, non la paix peut être vu dans la perpétuation des zones rouges. Vastes zones des départements de Ziguinchor, Bignona, Oussouye et Goudomp ne sont toujours pas sous le contrôle de l’État. Coupés du reste du Sénégal, ni les fonctionnaires ni les opérateurs de développement osent y aller. Combien de citoyens abandonnés est là ? Personne ne sait vraiment.
Le talon d’yasmine du Sénégal stable et démocratique est probablement l’inexistence d’un processus de paix tant que tel. La « résistance historique » d’un engagement direct dans la médiation explique le fait que l’actuels deux principaux médiateurs en Casamance « processus de paix », Sant'Egidio et le Centre pour le Dialogue humanitaire, sont des acteurs non étatiques.
Les acteurs non étatiques sont, cependant, présente sur la scène internationale. Ils sont appelés à proposer des services de médiation et de résolution conflits étatiques sont refuse ou est incapable de le faire. Leur relative indépendance et impartialité et leur soi-disant professionnalisme et expérience, peuvent aider à combler les lacunes.
[vedette] [/standout] St Egidio est une communauté oecuménique, dont le siège est à Rome, qui ont fourni des contributions fortes pour la paix au Mozambique. Grâce à une décision consciente St. Egidio a été désignée pour servir de médiateur par le gouvernement sénégalais. Mais après quatre ans, ses résultats sont ni transparent ni tangible.
[vedette] Le gouvernement sénégalais semble être perdu à nouveau [/standout] le Centre pour le Dialogue humanitaire (HD) est une organisation de diplomatie privée basée en Suisse qui se vante d’être une des principales organisations mondiales dans le domaine de la médiation des conflits. HD a été invité par le gouvernement à négocier avec l’aile sud du maquis. Mais en trois ans le personnel n’ont pas pu encore rencontrer le chef du maquis.
Étant donné l’échec de médiateurs champions, la ventilation d’action sur les mines et le veto apparent sur l’implication régionale et internationale, le gouvernement sénégalais semble être perdu à nouveau. La voix des citoyens Casamancais, qui seront directement touchés par aucun accord, doit être entendue et incorporée dans n’importe quel processus. Leur silence relatif est un indicateur principal de la création de non-paix. Mais les artisans de la paix locaux sont prêts à relever le défi.
Malgré sa diversité, son orientation différente et des opinions et le fait qu’il y a une concurrence féroce entre eux à l’élaboration de « marché », artisans de la paix la société civile largement d’accord sur l’échec de l’Etat pour faire face au conflit en Casamance et l’échec de la médiation non étatiques engagées par l’État. Compte tenu de cet échec, ils sont disposés à explorer ce qu’ils sont en mesure d’offrir pour la paix.
Comme la terre autour du soleil, la société civile locale se déplace en Casamance. Leurs efforts en cours pour établir un réseau fédérateur des bâtisseurs de paix local et unir leurs forces pour la paix devrait être béni, avec une initiative menée par la Coordination des Organisations de la Société Civile pour la paix en Casamance, ou COSCPAC (Coordiation de civilité la société pour la paix en Casamance). C’est le résultat d’un long processus de réunions et de discussions entre les organisations de la société civile des trois régions Casamance : Sédhiou, Kolda et Ziguinchor, rejoints par des organisations de la Guinée-Bissau et en Gambie.
Son Assemblée générale s’est tenue à Ziguinchor en mars 2016, et contrairement à nombreux autres cas, la légitimité de ce réseau fédérateur sous-régional des bâtisseurs de paix local repose sur son point d’ancrage solide dans la société et ses citoyens. Henry Ndecky, qui est le Président élu du Conseil d’administration, souligne que l’objectif de la COSCPAC est de promouvoir le dialogue social, à dépasser le stade « pas de guerre, pas de paix » et d’apporter l’Etat du Sénégal et le mouvement des Forces démocratiques de la Casamance à la signature d’une cessation permanente des hostilités.
Cette année, COSCPAC sera organiser des activités en Zuiguinchor pour la journée internationale de la paix le 21 septembre. Nous espérons que la paix viendra.
Conflit du sud du Sénégal : oublié mais ne pas allé
Le conflit au Sénégal gronde, inaperçu par la plupart du monde et apparemment sans importance pour le gouvernement sénégalais. Mais les citoyens en Casamance continuent de souffrir. Des rapports Local Peacebuilding Expert Tomás Serna Salichs de paix Direct sur comment les habitants essaient de forger leur propre processus de paix pour mettre fin à une guerre de quarante ans.