[Légende] Sud soudanais réfugiés arrivent en Ouganda, ayant fui la violence. Crédit image : Denis Onyodi/Ouganda Croix-Rouge-Climate Centre/ [caption]

Le dernier cycle de violence au Sud-Soudan a encore compliquée du processus de paix et de la récupération. À la veille du jour de l’indépendance du pays juillet, des combats ont éclaté dans le centre de la capitale, Juba. Des dizaines de personnes ont été tuées et plusieurs autres ont fui le pays. Le nombre total de sud soudanais déplacés s’élève maintenant à plus 1 million.

Jusqu’au 7 juillet Juba avait été calme. Citoyens ont commencé à se sentir plein d’espoir de paix, décrivant la formation d’un gouvernement d’unité nationale comme une étape « sain ».

[vedette] Peu de violence attendue pour commencer si tôt travailleurs [/standout] la charité ougandaise et kenyane et des gens d’affaires travaillant dans le Sud-Soudan a partagé cet optimisme. Dans une interview en mai, Edmund Yakani, le directeur d’une initiative d’empowerment communautaire, a déclaré aux journalistes à Juba il était optimiste, la paix reviendra en disant du Sud-Soudan, « nous sommes toujours dans un état de vérité en disant puis réconciliation. »

Peu attendus violence pour commencer si tôt.

L’accord de paix : une bombe à retardement ?

Certains citoyens soudanais du Sud, comme Tokwo Justus, savaient qu’un retour des hostilités était inévitable. Tokwo a déclaré en avril que la formation du gouvernement d’unité a été une étape superficielle, avoir omis d’aborder des problèmes profondément enracinés de gouvernance et de retarder ainsi progresser vers la paix :

« Qui sous-tendent les facteurs historiques nécessaires pour ont été déposés et acceptés qu’un gouvernement d’unité finale pourrait être formé. Le corps des anciens, par exemple, a été influencé dans son processus décisionnel et devrait avoir été aboli. »

[vedette] Ce qui permet des chefs de gouvernement des deux premiers d’avoir leurs propres troupes était une erreur... une armée neutre serait mieux ont obtenu paix Experts [/standout] sur le conflit au Sud-Soudan d’accord. Ils font valoir que permettre aux deux chefs de gouvernement supérieur d’avoir leurs propres troupes était une erreur, ce qui suggère plutôt qu’une armée neutre aurait formé une base plus solide pour le gouvernement d’Union nationale et le processus de paix.

Nouvelles blessures ouvertes

Ces lacunes dans la formation du gouvernement d’Union nationale et le récent retour à la lutte contre ont frappé des civils les plus difficiles. Le peuple du Soudan du Sud continue à faire face à la violence, et chaque jour davantage sont déplacés de leurs foyers.

Même avec les appels à mettre fin à la guerre et le cessez-le-feu actuel, blessures fraîches ont été ouverts. Des rapports récents sont révélateurs de la masse recrutement d’enfants par les deux parties belligérantes, violence sexuelle généralisée et des centaines d’enfants laissés sans parents.

[vedette] Victoria et ses frères et sœurs ont fuit vers l’Ouganda, marcher pendant des jours sans nourriture [/standout] prennent par exemple 18-year-old Victoria Akotwho. Victoria est parmi les nouveaux arrivants au Adjumani Centre dans le nord de l’Ouganda. Elle a été à l’école lorsque les combats éclatée. Elle prit ses frères et sœurs d’une aire de jeux près de son école. En rentrant, ils ont trouvé leur porte d’entrée ouverte et la maison vide.

Lors de tirs d’artillerie et des coups de feu ont continué, Victoria a décidé de lancer, prenant ses frères et sœurs et de se joindre à un groupe de personnes vers l’Ouganda. Après des jours de marche sans nourriture pour manger, ils rendent à l’Ouganda, mais Victoria n’a pas été en mesure de trouver ses parents. « Nous sommes maintenant un mois ici et je ne sais pas où mes parents sont, » dit Victoria.

Selon un journaliste local qui a également fui vers l’Ouganda, de nombreux sud-soudanais citoyens sont toujours pris au piège dans des villages ruraux et tentent d’entrer dans l’Ouganda dans la brousse. Ils font cela au milieu de la peur d’être enlevés ou tués par des hommes armés qui tirent parti de l’insurrection dans les villages de raid et de tendre une embuscade véhicules. Ces hommes armés sont actifs dans la partie occidentale du pays limitrophe de l’Ouganda.

Le journaliste dit la plupart des personnes prises au piège sont des femmes et des enfants, et qu’ils sont dans un état d’impuissance, avec nombreux ayant perdu tout espoir. Il dit qu’ils n’ont aucune nourriture, le logement ou le soutien médical, confirmant un rapport récent de la radio locale en Ouganda citant Amnesty International de recherche sur l’impact sur les civils de la poursuite des hostilités au Sud-Soudan.

Agrippant la paix

Le combat fait rage. En juillet, environ 500 personnes auraient été tuées, selon le gouvernement soudanais du Sud. Selon eux, que la majorité des personnes tuées étaient des combattants de l’ancien vice-président Riek Machar.

Peu importe qui a perdu plus de troupes dans le combat, ça fait mal encore de voir des civils, tuant des civils. Dans cette affaire du sud soudanais entre-tuer au cours des années de guerre insensée.

[vedette] Paix doit venir en éduquant les citoyens au sujet de la nécessité de pardonner, de concilier et de s’unir [/standout] il est donc important que les citoyens soudanais du Sud, de gouvernement et de son aile politique viennent à la table des négociations et s’entendre sur une paix véritable pour le pays. Une section de la société soudanaise du Sud voir les progrès dans le remplacement de Riek Machar vice-président et la défection d’un certain nombre de ses troupes du côté du gouvernement.

Mais la paix doit aussi passer par l’éducation : informer les citoyens normaux de la nécessité de pardonner, de réconcilier et d’unir.