[Légende id = « attachment_56495 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Dadaab, au Kenya, est le plus grand camp de réfugiés du monde. On accueille des milliers de somaliens.
Crédit image : Oxfam International. / [caption]
[vedette] Au cours des deux dernières décennies, le monde a considéré la Somalie comme la région la plus troublée dans la corne de l’Afrique [/standout] au cours des deux dernières décennies, le monde a considéré la Somalie comme la région la plus troublée dans la corne de l’Afrique. Le pays autrefois paisible et prospère est désormais hanté par les conflits, de violence et de violations des droits de l’homme. Une combinaison des catastrophes humaines et naturelles a généré un répétés des vagues de réfugiés.
Statistiques du HCR montrent que, sur la population de 12 millions de somaliens, près de 2 millions sont déplacées soit à l’intérieur du pays ou ont trouvé refuge ailleurs. La majorité de ces réfugiés et personnes déplacées sont jeune, de familles défavorisées. Ce groupe démographique, qui étaient né et a grandi dans des camps et colonies, continuent à lutter avec la normalisation de leur statut et l’intégration avec la communauté d’accueil.
Rhétorique de « envoyer leur retour » du Kenya
La récente décision du gouvernement Kenyan pour fermer le camp de réfugiés de Dadaab, quelques jours avant le Sommet mondial de l’aide humanitaire, est sans surprise. Ce n’était pas la première fois que le Kenya a pris une telle décision.
En avril 2015, en visitant le comté de Nyeri au Kenya, DP William Ruto a donné le Haut Commissariat pour réfugiés trois mois pour renvoyer les réfugiés de Dadaab en Somalie, par lequel il a dit que Kenya retournerait avec force leur. Ces rapatriements forcés de réfugiés de Dadaab violerait l’International résolution 2198 ainsi que les principes de retours volontaires. L’annonce a créé un tollé international, certains pensent que Kenya, comme la Turquie, utilise migrants comme monnaie d’échange dans l’espoir d’obtenir davantage de soutien de la communauté internationale.
Dadaab est aujourd'hui plus grand camp du monde avec environ 350 000 personnes. S’il était considéré comme une ville du Kenya, il serait le troisième plus grand. Et dans le monde, Dadaab est juste un camp de réfugiés, plein de dômes recouverts de bâche. Mais pour ceux né et élevé sur des rations des Nations Unies, c’est maison. Dans son essai longue, pourquoi j’ai appeler maison de Dadaab, Asad Hussein rappelle comment, grandi à Ifo, aller à l’école parfois sur un estomac vide, son amour du Kenya et comment les mots comme « Réfugié » étaient considérés comme une insulte, mais sont devenus partie intégrante de son identité.
En novembre 2013, Kenya a signé un accord tripartite avec la Somalie et le HCR, définissant les procédures et les contours pour le rapatriement volontaire des réfugiés. Jusqu'à présent presque 5 000 Somaliens réfugiés sont rentrés volontairement en Somalie et 4 500 plus ont signé à retourner.
Toutefois, cela a également entraîné beaucoup de questions sur la procédure. La Somalie est prêt pour un tel afflux de réfugiés ? Même dans le contexte du retour volontaire, les perspectives d’intégration locale et de la réinstallation nécessitent une stratégie nationale et internationale, guidée par des solutions à long terme.
Redéfinir le statu quo
[vedette] Avec plus de 1 million de personnes déplacées à travers le pays, autres réfugiés de Dadaab pourraient certainement accabler Somalie [/standout] avec plus de 1 million de personnes déplacées à travers le pays, les autres réfugiés de Dadaab pourraient submerger sûrement de Somalie. Les idées suivantes pourraient nous aider à garantir une meilleure solution durable pour les personnes déplacées et des réfugiés :
Politiques seront: la situation des réfugiés nécessite un engagement politique par le gouvernement somalien à promouvoir les droits et la dignité de ses populations déplacées. La présence d’un fort leadership national, des structures de coordination efficace et des modèles de réponse qui vont au-delà de l’aide humanitaire d’urgence sont aussi nécessaires que jamais. En l’absence de cadres de politique nationale pour soutenir les systèmes formalisées et institutionnalisées, joueurs nationaux et internationaux ont besoin de prendre des mesures appropriées pour arriver à une stratégie d’aide durable solidaire et participatif qui favorise les efforts de lier les stratégies de développement avec des solutions durables.
Inclusion et participation locale: les droits des personnes déplacées, sans distinction de sexe, âge et clan, doivent être encouragées. Les solutions doivent être conduits localement et reflètent la diversité des modes de déplacements et les besoins humains. En outre, des discussions sur les personnes déplacées et les réfugiés doivent être All-inclusive et centrée sur l’homme. Une décision globale processus décisionnel, en collaboration avec les personnes les plus touchées par la crise, en particulier les jeunes et les femmes, doit être créé. Ils devraient pouvoir participer à la planification et la prestation des interventions actuelles et futures.
Participation du secteur privé: en l’absence d’institutions publiques solides, privées de Somalie, notamment dans les télécommunications, la remise, affaires et sphères de bétail, a joué un rôle essentiel en fournissant des services sociaux de base et ainsi façonner la vie de beaucoup. Cependant, le milieux d’affaires somaliens a également entravé les efforts de réconciliation, en finançant des belligérants et des milices pour gérer les risques liés à leurs entreprises. Dans ce cas, aucune sorte d’engagement - que ce soit humanitaire ou du développement - doit considérer et planifier soigneusement.
Approche bottom-up: une approche communautaire qui facilite la participation des personnes déplacées est clé lors de la conception de solutions durables, les stratégies de redressement et le développement. Les programmes humanitaires et de développement doivent possibilités d’entraînement pouvant bénéficier des économies locales, renforcer la communauté renforcer et créer l’autonomie. Réfugiés et personnes déplacées devraient être au centre de la paix, de stabilisation et d’état de renforcement des efforts déployés en Somalie. Si l'on veut sûre solutions durables, puis des acteurs humanitaires et de développement et les secteurs public et privé devons tous travailler ensemble vers un objectif commun. Alors seulement la Somalie sera un endroit meilleur pour les générations futures.