[Légende id = « attachment_40738 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Crédit image : Arsenie Coseac/ [caption]
Depuis l’indépendance en 2011 du Sud-Soudan a été troublé par des rivalités politiques qui ont souvent abouti à la violence. Conflit, particulièrement parmi les jeunes, n’a pas été une bonne chance à résoudre. La culture du sud-soudanais élites politiques a supprimé le dialogue et la recherche de la vérité, surtout comparé aux mécanismes traditionnels de la communauté de résoudre les différends, qui visent à rassembler les gens dans les conflits. Ainsi la culture de « entendre et écouter » est très faible chez les Soudanais du Sud, qui mène à la méfiance et de stéréotypes négatifs.
Malgré une volonté généralisée de paix, les jeunes au Sud-Soudan semblent confondre sur comment définir l’ordre du jour pour rassembler les gens et les conflits de la fin. Le contexte est compliqué, dont les résultats chez les jeunes opérant plus individuellement que collectivement, entraînée par le fait que les jeunes dirigeants souvent se retrouvent souvent travaillant dans les affiliations tribales qui ne reflètent pas l’esprit de construction de nation pacifique.
Travailler ensemble : jeunes organise pour la paix
Un récent atelier, organisé par l’Institut pour le développement de la société civile, Sud Soudan avec l’aide de Fredrick Ebert, étudié le rôle des jeunes dans statebuilding et le rétablissement de la paix. C’était une excellente occasion pour les jeunes au Sud-Soudan pour commencer à connaître leur identité comme les gens d’un pays et une nation.
Pendant deux jours, l’atelier invite les jeunes participants à définir un programme et établir des stratégies pour faire entendre leur voix entendue lors des prochaines élections. Jeunes gens devraient prendre l’initiative en faveur de la justice et de responsabilité pour mettre fin à la culture de conflit entre eux et faire en sorte que la démocratie est réalisée pour une coexistence pacifique et de la stabilité nationale.
Dans mon point de vue des jeunes dans le sud du Soudan et l’Afrique dans son ensemble, doivent conduire l’agenda pour la coexistence pacifique en ce qui concerne les statebuilding, en mettant l’accent sur certains domaines clés et les stratégies les points suivants.
Prévention des conflits et réconciliation devraient être construits autour des négociations communautaires vise à saper les pilotes du conflit et cela doit être fait par les autorités locales. Communautés souvent écoutent davantage que les dirigeants politiques, les chefs traditionnels.
Animation du débat
Soudan du Sud et d’Afrique à apaiser le conflit, il doit y avoir une politique mises en place pour permettre l’apprentissage et l’échange parmi et entre les élèves dans les écoles secondaires et les universités, en leur donnant la chance de découvrir les différentes communautés et les différentes façons de vivre.
Théâtres et clubs de débats nationaux doivent être mises en place pour analyser les voies de coexistence pacifique. Toute la jeunesse à travers le pays devrait être en mesure d’organiser et de se réunir, pour délibérer sur la meilleure façon d’apporter la paix et la prospérité de leur nation.
Clubs culturels traditionnels devraient être construits dans les principales villes du Sud-Soudan. Un exemple de ceci est le Club culturel Abyssinie dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, où de nombreux citoyens vont pour le divertissement. Ces lieux servir de modèles pour les jeunes de commencer à penser positivement et change leur état d’esprit loin une violence.
Artistes et musiciens devraient être motivés par le gouvernement et les entreprises privées pour promouvoir la coexistence pacifique entre les jeunes et les communautés à travers l’art, aidant à diffuser un message de coopération mutuelle, l’amour et l’unité.
Le gouvernement du Sud-Soudan devrait introduire un objet d’études de la paix – commencer dans les écoles primaires et ce à l’enseignement supérieur. Cela aidera à développer la mentalité de la génération à venir avec les connaissances et les compétences de la coexistence pacifique.
« Centres de recherche de coexistence » devraient être établies à travers le pays dans le but de documenter les précédents accords pacifiques et recherche des initiatives concrètes visant à promouvoir les valeurs de la coexistence interculturelle Pacifique menant à plaider en faveur d’une paix régionale au Sud-Soudan.