La crise croissante dans le Kordofan Sud révèle des limites de l’influence que la communauté internationale peut exercer du Soudan à l’extérieur. Appel du président Obama pour les dirigeants du Soudan mettre fin à la violence n’a pas réussi sur le terrain, la mission de maintien de la paix des Nations Unies sera indésirable après partition le 9 juillet et personnel non-essentiel de l’ONU ont déjà été évacué de la zone de conflit. Présence internationale et son influence sur le terrain est en déclin au moment où il est le plus nécessaire. Si nous voulons prévenir d’autres décès et aider plus de 70 000 réfugiés à rentrer chez eux en toute sécurité, la communauté internationale doit d’urgence une autre voie à suivre.
Manière existe. Des sources locales dans le Kordofan Sud indiquent que les organisations de la consolidation de la paix dirigée localement par reste actif et influent dans toute la province, malgré la crise. Des rapports Directs de paix, une association caritative qui prend en charge de ces groupes, les exemples actuels suivants : l’Administration natif de chefs de village agissent pour exclure les combattants de leurs domaines ; les tribus Nuba, Misseryah et Dajou rivales ont accepté de faire respecter le cessez-le-feu entre eux ; des accords similaires ont été faites ailleurs dans le Kordofan du Sud et dans l’état de l’unité, au sud de la frontière.
Jusqu'à ce que l’influence externe devient plus efficace, ces bâtisseurs de paix locales sont la meilleure voie pour atténuer cette crise au niveau communautaire. Ils sont déjà en place, ils ont des niveaux élevés de respect, de connaissances et de capacités opérationnelles, et qu’ils n’atteignent évidemment les zones et les groupes étrangers ne peuvent pas.
Ce qu’ils doivent doit être soutenue grâce à un financement pour leur travail et la reconnaissance pour leurs points de vue et les analyses de ce qu’est un conflit très complexe. J’exhorte la communauté internationale de prendre contact avec eux, écouter leurs points de vue et financer leurs opérations. Ces braves gens ne sont pas des victimes mais les agents du changement – et ce sont eux qui finalement va reconstruire leur société.