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Plus tôt cette année, la plate-forme nationale du Soudan du Sud pour la paix et la réconciliation (SSNPPR) a démontré l’engagement des habitants de la capitale du Sud-Soudan, Juba, pour ramener la paix dans leur pays.

Environ 400 personnes a rejoint la Marche pour la paix dans la capitale le 21 septembre, rejetant la violence qui a éclaté suite à la crise de décembre 2013. Ils ont été rejoints par un groupe de policiers et de représentants de la société civile locale et internationale, y compris la Mission de l’ONU au Sud-Soudan, le Fonds de développement des Nations Unies, des organisations locales, les écoles locales et artistes. Ils ont chantaient des chants de paix et appelé leurs dirigeants politiques à mettre fin au conflit dans leur pays. Un étudiant d’une école primaire a dit simplement, « assez ».

Ceux qui ne pouvaient pas être là en personne envoyé SMS de soutien. « Cher époux bien-aimé et fils, » dit une femme : « Si vous gardez nous tue, qui va vous épouser ? » « Cette nation est trop jeune pour être détruit par la guerre, » a dit un autre.

Comme les programmes a débuté dans le Centre culturel de Nyakuron, paroles fortes et discours a conduit certaines personnes à larmes comme ils ont appelé à la paix au Sud-Soudan. S’adressant à l’auditoire, Gondalleezza, un élève d’école primaire a dit, « la paix est un outil essentiel et nous devrions manipulez-le avec soin comme un verre. Mes camarades de compatriotes, nous ne voudrais pas pour s’abriter plus de larmes ou de sang plus longtemps. Mes oreilles sont bloqués avec le bruit des balles, laissez-nous nous aimer et être en paix. »

Metzger, un autre élève d’école primaire expliqué la paix comme la sécurité et de la non-violence et appelé par l’ancienne génération d’apprendre aux jeunes sur les moyens pacifiques pour construire une nouvelle nation.

Une autre femme, Guliba, a déploré qu’au cours de la journée internationale de la paix, elle ne savait si pour pleurer ou bien fêter parce que les enfants n’étaient pas à l’école, les femmes est victimes dans les camps de personnes déplacées, et le nombre de veuves est en augmentation comme des résultats de cette crise interne. Comme mère, elle a fait appel à la direction à enrayer la crise interne et apporter la paix au Sud Soudan.

Dans ce qui semblait être un message direct aux parties belligérantes d’abandonner tous les plans qu’ils peuvent avoir pour une victoire militaire contre leurs adversaires, sa grâce Mgr Daniel Deng Bul de l’Église épiscopale du Soudan, a déclaré au cours de l’événement de paix que nos gens sont fatigués de la guerre et les effusions de sang. L’archevêque a appelé les dirigeants des deux parties en conflit à écouter la voix des citoyens ordinaires qui sont les victimes de la crise.

La marche a été un succès et démontre le courage des gens du Sud-Soudan face aux violences continues. Le SSNPPR envisage d’organiser des promenades plus de paix, plusieurs marches et plus d’événements. Pour qu’il fonctionne efficacement, universités, organisations internationales, des groupes locaux, militants, artistes et musiciens ont besoin de projeter leur voix comme un.

L’organisation de manifestations multiples sur le même jour, à différents endroits dans tout le pays, serait une arme efficace pour ceux qui rejettent les événements de violence le jour même, à différents endroits dans tout le pays, serait une arme efficace pour ceux qui rejettent la violence. Événements le même jour, à différents endroits dans tout le pays, serait une arme efficace pour ceux qui rejettent la violence. Un jour, tout le monde au Sud-Soudan sera en mesure de dire « assez ».