[Légende id = « attachment_45444 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Comme Sarajevo se remet de la horros de guerre, c’est jouer l’hôte à un certain nombre d’initiatives dynamiques soutenant la paix et la réconciliation. Crédit image : Andreas Lehner. / [caption]
La première guerre mondiale a été malheureusement appelée la « guerre pour finir toutes les guerres, » une expression inventée par HG Wells dans sa couverture du conflit. Histoire preuve du contraire : la paix âprement prouvées fugace et une vingtaine d’années plus tard, le monde occidental était plongé une nouvelle fois en conflit mondial. L’ordre mondial a évolué dans les décennies qui ont suivi, donc trop a la structure et la nature du conflit. Néanmoins, comme n’importe quel lecteur de nouvelles du monde le sait, conflit lui-même reste répandue.
Correspondant de guerre Rémy Ourdan a fait une carrière hors de documenter ces conflits. Son curriculum vitae comme reporter pour Le Monde comprend des séjours en Afghanistan, Egypte, Rwanda, le Congo et le Pakistan, entre autres. C’est une carrière qu’il décrit comme vivant aux côtés de ceux qui connaît à la fois plus importante et les plus dramatique de leur vie. Sa passion pour la déclaration de guerre est décisive : « [Le Monde] me donne l’argent pour voyager et l’espace pour écrire, » Rémy muses. Mais même s’il n’était pas son travail, il irait encore des zones de guerre à écouter les gens. « Et si j’ai l’occasion d’envoyer un message, l’histoire, je le ferai. »
Sarajevo - une ville de guerre, de paix et de nonchalance
[vedette] Sarajevo est profond et intelligent mais léger et facile [/standout], mais les nombreux endroits il a couvert, c’est Sarajevo où Rémy retourne toujours. « I love [Sarajevo]. C’est charmant... c’est à la fois très profonde et intelligente, d’autre part, très léger et facile. » Il s’arrête, la recherche pour le mot juste. Nonchalant ? Oui, il le décide. Sarajevo est nonchalant.
C’est également la ville dans laquelle il a décidé de mettre en place la direction centrale de la Fondation CHAUDE (War Art Reporting et mémoire), une organisation dédiant à réunir des artistes, des journalistes, des universitaires et des militants autour du thème des conflits contemporains. « Sarajevo a survécu », explique Rémy. « C’est aussi un symbole de la résistance. »
À l’ère de l’éphémère à l’attention du public, où les auditoires sont plus imperméables aux images de la souffrance humaine qui imprègnent leurs écrans de télévision, Rémy ne relatent pas dans le but de la politique ou de générer une réponse particulière des gouvernements occidentaux. Au contraire, il se voit comme un messager pour ceux qui sont atteints par la guerre : « Je n’aurais pas trahir ces personnes que je rencontre en Libye ou en République centrafricaine, » il souligne. Si les lecteurs occidentaux réagissent à ses reportages, Eh bien, c’est à eux.
CHAUD : soutenir artisans de la paix et à l’étranger
CHAUD a obtenu son début soutenir plusieurs projets dont Abounaddara, un groupe de cinéastes anonymes impliquées dans le cinéma d’urgence en Syrie et de la production théâtrale du Secret de Raspberry Jam à Sarajevo.
[vedette] Tout le monde devrait avoir le droit de raconter leurs histoires uniques [/standout] CHAUD plus ambitieux à ce jour a été lancé en juin 2014 avec la semaine « CHAUD I Festival du monde ». Mené en collaboration avec le Centre de recherche après le conflit en Bosnie-Herzégovine, le festival a débuté sur le centième anniversaire de l’assassinat de l’archiduc d’Autriche-Hongrie, Franz Ferdinand et son épouse Sofia.
Clients du Moyen Orient, Afrique, Europe et les Amériques ont assisté au festival, qui présentait des expositions, des projections de films, des conférences et des ateliers mettant en valeur le travail des personnes qui se consacrent à raconter les histoires poignantes des conflits modernes. Certains du festival vedette projets étaient le webdocumentaire interactif " "Grozny neuf villes», qui explore au lendemain de la guerre de Tchétchénie et l’exposition de photographie " "Testament», qui affiche une collection de photographies prises par le photojournaliste fin Chris Hondros pendant sa couverture depuis plus de dix ans de conflits mondiaux, y compris au Kosovo, en Afghanistan, la Cisjordanie, Iraq, Liberia, Égypte et Libye.
En puissance : le deuxième Festival annuel de CHAUD
En outre, #Dysturb, un réseau de journalistes dédiée à rendre photojournalisme plus accessible à un large public, s’est impliqué dans les événements de l’année dernière. #Dysturb plâtrée images percutantes dans les espaces publics dans l’ensemble de Sarajevo qui décrit ce qui se passe dans des endroits comme l’Egypte, l’Afghanistan et la Géorgie. En outre, le dernier jour du festival, plus de 120 anciens rebelles libyens se sont réunis à Sarajevo pour la première du monde émotif du réalisateur Florent Marcie " "demain Tripoli : révolution des Rats», un documentaire consacré à leur lutte 2011 contre le régime de Muammar Gaddafi.
[vedette] Chaque guerre est différente, et dans la même guerre, chaque jour est différent [/standout] suite au succès du premier festival de l’an dernier, la Fondation CHAUDE est en train de planifier son deuxième festival, qui aura à nouveau lieu à Sarajevo du 28 juin au 4 juillet 2015. Évènement cet a attiré les propositions émanant du monde entier, avec de nombreux orientés vers une approche dichotomique de CHAUD aux conflits, qu’il croit est partagé sous les deux une voix collective tout en présentant simultanément des conflits par le biais de la perspective unique de chaque individu qui éprouve.
Un thème qui se dégage tout au long de la conversation avec Rémy : « dans une guerre, il s’agit le chaos et la violence. Chaque guerre est différente, et dans la même guerre, chaque jour est différent. Tout le monde devrait avoir le droit de raconter leurs histoires uniques. »
Et c’est l’essence de la mission de CHAUD : « pour raconter l’histoire avec excellence et d’intégrité ». Son passé et ses projets futurs visent à présenter ces histoires souvent perdus dans le contexte des conflits violents à un large public international et à conserver ces souvenirs afin qu’ils peuvent être transmis aux générations futures.
Il s’agit d’une version modifiée d’un article rédigé par Jessica Kuntz et Leslie Woodward qui a paru sur Balkan Diskurs . Une plateforme multimédia à but non lucratif dédié à contester les stéréotypes et fournissant des points de vue sur la société, la culture et la politique dans les Balkans occidentaux.