[Légende id = « attachment_55250 » align = « aligncenter » width = « 580 »] The general views of IDPs camp in UN House with Water and Sanitation problems at corner while young lady cooking at end draining water on January 6, 2014 Sont devenus des motifs des Nations Unies à Juba abrite des milliers de réfugiés soudanais, un seul résultat d’années de violence. Crédit image : UN Photo/Isaac Billy/ [caption]

Je remercie les auteurs du récent blog les défis du Soudan du Sud : comment documenter la guerre et ses crimes ? pour dessiner ensemble un bref commentaire de la série très complexe d’événements et de la nécessité d’une réponse pour les gens du pays. J’ai passé 20 ans dans le sud du Soudan et de l’ancien Soudan unifié et ont ainsi une longue perspective sur l’histoire de la violence et les conflits politiques qui ont entaché l’ensemble du pays. Alors que je ne suis pas en désaccord avec certaines des questions soulevées, il y a un véritable besoin de prendre un pas en arrière pour une compréhension plus profonde.

L’histoire complexe de la violence

[vedette] On parle de violence, comme si cela a émergé au cours des trois dernières années - un mensonge dangereux [/standout] d’une importance primordiale est la reconnaissance que la violence ne sortent pas de nulle part. Le cadre de 2013 est ancré sur des décennies de violence, notamment et des affrontements communautaires ethnie et la prolifération des armes de petit calibre, tout dans le contexte de trois guerres civiles dans un demi-siècle. Les souvenirs de nombreux citoyens va bien au-delà de 2013 et creuse profondément dans les annales de l’histoire de leurs pères et leurs mères. Beaucoup diront que la clé s’occupe de cas du présent de meurtres, tortures et autres catastrophes qui ont frappé la population, et notre langage technique parle à ce cadrage dans nos propres normes et cadres.

La communauté internationale a longtemps existé dans ce contexte particulier et a rarement véritablement compris la nature de la vie et la violence contenue dans ses composés, vivant dans sa propre culture particulière et rarement pénétrer les profondeurs de cette histoire complexe. Sur le plan linguistique, nous sommes loin, travaillant par le biais de traducteurs et intermédiaires dont la tâche consiste à simplifier les événements (que ce soit pour le gain politique ou pour s’adapter en bref SITREP), tandis que nos propres habitudes de courtes visites pour une heure ou une journée en aucune façon aide nous pour se connecter, d’écouter et d’entendre vraiment ce que les gens nous dira. De nombreux sud-soudanais maintenant comprendre nos habitudes et jouer à ceux-ci, en nous donnant des titres dans les conversations comme ils savent que nous ne comprendrons pas profondément.

Beaucoup d'entre nous sont arrivés à l’aube d’une crise, se déplaçant à grande vitesse, à en juger selon nos normes, tomber dans des jeux politiques aux niveaux nationales et local. Nous recherchons les solutions les plus évidentes qui correspondent à l’industrie naissante du marché « justice transitionnelle » qui se déplace sur les milieux universitaires, le Conseil de sécurité des Nations Unies et parler des leçons tirées des conférences régionales.

On parle de violence, comme si cela avait émergé au cours des trois dernières années – un mensonge dangereux qui veillera à ce que les soi-disant solutions sont beaucoup plus nocifs et beaucoup moins susceptible d’apporter vraiment ce que recherchent les citoyens.

Alors que je ne nie pas que la justice est clé en indiquant que les violences perpétrées contre des non-combattants est inacceptable, nous devons voir ce qui a existé comme une culture de « violence » tout d’abord-une vie de mobiles, armés de jeunes actifs protecteurs (bétail, etc.), associés à nombreuses personnes au sein du gouvernement de chaque côté de l’échiquier politique, vivant en profondément rural, éloigné où l’État n’existe pas sauf dans le nom. D’aucuns diront que l’État est une couverture qui se prête à des groupes socio-culturels (clans, sections, etc.) qui existent et qui utilisent la nouvelle terminologie que nous avons investi au cours des 11 dernières années depuis l’accord de paix global entre le gouvernement soudanais et le SPLM, imitant le comportement et la langue.

Jeunes (de loin la majorité) ont observé le gouvernement et notre comportement international, constatant l’absence d’un réel intérêt, la distance qui ne peut être comblée entre nous, et au final laisse un vide que seuls les citoyens peuvent remplir, pour se protéger contre les menaces.

Ainsi, le type de violence à partir de 2013 a sa genèse beaucoup plus loin en arrière, avec l’armement des groupes de jeunes dans diverses régions du pays sous divers mécanismes communs pour la protection, tout en servant les autres permettant d’entreprendre des activités criminelles qui seraient justifiées comme légitime (saisie arrière bétail volé, venger les meurtres etc..).

La déconnexion entre local et international

[vedette] Nous ne parvenons pas à comprendre que les dirigeants autour d’un table correspond pas citoyens [/standout] récents sondages indiquent que sud-soudanais le savez presque rien au sujet de l’accord de paix signé en août dernier année (IGAD, ni les parties ni la communauté internationale largement largement fait savoir quels stands dans l’accord), y compris le chapitre 5 qui fait état des mesures de justice transitionnelle. Nous ne parvenons pas à comprendre que les dirigeants autour d’une table ne représentent pas les citoyens et que nous, encombrement autour de la table, avons rempli les espaces de nos cadres.

Avoir la vérité et des Commissions de réconciliation en Afrique a travaillé pour construire ce qu’ils prétendent-vérités qui aident à construire une société réconciliée ? George Wachira, dans son récent ouvrage, « Qui s’étend de la vérité, » fortement met en garde contre placer notre confiance aveugle dans les présentes. Qu’est-ce que nous prétendons que fournira un tribunal hybride, ainsi que d’une Commission vérité et réconciliation et une Compensation et autorité de réparations ?

Le peuple, dans la société de loi récente du Sud Soudan et dans les consultations entreprises par le Comité pour les nationaux, de guérison, de paix et de réconciliation, ont montré que leur compréhension de ce qu’ils souhaitent voir se produire est bien plus complexe que ces instruments – mais peu soignés pour leur demander. Réponses ont varié d’un peloton d’exécution et pardon et tout le reste. Avant tout, il y a un reconnaissance du fait que vivre ensemble nécessitera plus de justice, mais aussi un dialogue profond sur le passé (bien au-delà de 2013) et les moyens locaux de national pour aider les gens à retrouver leur chemin vers l’autre.

Les Nations Unies, les ONG, la communauté diplomatique et des bailleurs de fonds durant la dernière décennie ont montré peu ou pas d’intérêt dans les processus de dialogue local et national, les traitant comme montre de côté de leurs propres programmes qui imposent, techniques prend en charge, affaires économiques et politique intérieure au premier rang.

Qui sous-tendent la paix : les organisations locales sont la clé

Ce que veulent les gens a peu à voir avec ce que nous offrons en fin de compte. Nous en préoccuper vraiment investir pour soutenir les sud-soudanais dans leur long voyage vers la paix et la réconciliation, nous devrons tout d’abord vraiment écouter, comprendre qu’il existe une différence entre leurs espoirs et aspirations et celles de leurs dirigeants, entre nos intérêts et les leurs. Notre soutien doit ont été incité de voir et de comprendre que cette violence a commencé bien avant, avec des racines historiques profondes. Même si on nous a dit qu’il allait entrer en éruption, encore puis les Nations Unies et autres acteurs n’a pas à s’engager. La gauche seule avenue a réaction et justification.

En conclusion, le Conseil des Eglises du Sud Soudan, le Comité National de guérison, de paix et de réconciliation et d’autres processus nationaux et les est clé qui sous-tend la paix et la réconciliation longtemps dans l’avenir, certainement bien au-delà du cadre étroit des trois années du contrat. Investissement il sera crucial, alors même que le long chemin vers l’instauration de l’état de droit s’est engagé.

L’histoire nous a montré que les outils techniques dans les milieux politiques ont une très faible chance de succès si utilisé à distance du contexte et des causes profondes. Bennett et coll. en « aidant la paix » (2011) suggèrent que cela peut même aggraver jusqu'à maintenant.

J’espère et prier pour la paix et que nous pouvons aider plutôt entraver le long voyage des sud-soudanais envers elle.