La « grève générale indéfinie » appelée par le Unified parti communiste du Népal-maoïste (UCPN-M) a récemment mis fin, après 6 jours. La grève suivie les rassemblements de masse et les réunions à l’occasion de la fête du travail le 1er mai. On estime que plus de cent mille personnes, surtout des jeunes, ont été conduite à Katmandou depuis les différentes parties du pays pour célébrer la fête du travail et de la grève générale. L’UCPN-M ont été contraints de retirer la grève en raison de critiques et de l’impopularité croissante. Les critiques ont été particulièrement fortes du pays de l’UE et du peuple de Katmandou. Le parti organise auparavant des manifestations contre le déplacement du Président en vue de rétablir la formation puis de chef et exigeant l’armée du nouveau gouvernement sous sa direction. Cette fois leur demande était uniquement concentrée démission du premier ministre.
L’UCPN-M non seulement s’est retiré de la grève générale mais indirectement a affirmé que la grève générale illimitée n’avait pas été faite le bon chemin ou au bon moment. La Présidente du parti maoïste, Prachanda, a présenté ses excuses dans le programme d’interaction avec les intellectuels et les citoyens de Katmandou, en particulier pour le discours pendant la grève, où les gens de classes moyenne de Katmandou étaient visés, alors qu’il était déclaré que les « citadins propres et humilié les gens rurales mesquinement-robe et Sales ». Les maoïstes du parti pensée que les gens de classes moyenne de Katmandou n’était pas favorable à la grève et engagés pour les activités de défier la grève. Le parti lui-même a réalisé que sa popularité et son soutien de Katmandou a diminué.
Réunions et négociations entre les partis politiques ont repris après la grève. Congrès népalais (NC), l’un des partis au pouvoir, est très notamment tenue réunions avec le groupe de maoïstes à divers niveaux, y compris avec les hauts dirigeants. Les réunions et les pourparlers sont entourés entre les grandes questions--
- prolongation de la durée de l’Assemblée constituante ;
- L’armée populaire de libération (PLA - armée du PCN-M) intégration et réhabilitation et ;
- partage (formation d’un gouvernement de consensus national) du pouvoir.
Toutefois, le blocage de l’évolution politique est non seulement PLA intégration et réhabilitation mais aussi bas dimensionnement et démocratisation de l’armée népalaise, tel qu’énoncé dans l’accord de paix global (APG). Il y a actuellement environ cent mille soldats népalais au Népal. À moins que ces problèmes sont résolus, alors la constitution processus décisionnel sera toujours dans l’ombre. Ces questions ont dominé le processus de paix et le processus d’élaboration d’une constitution depuis le début.
Il semble que l’UCPN-M a fait preuve de souplesse pour la négociation en appelant au large d’une grève générale illimitée. Le groupe a déjà montré signe de souplesse de négociation transfert trois points principaux :
- YCL casernes sont supprimées dans les 4-5 jours ;
- ceux qui veulent intégrer dans les forces de sécurité et ceux qui veulent intégrer dans la société sont séparés dans les différents camps de moins d’un mois ; et
- pour compléter le processus d’intégration dans les quatre mois.