[Légende] Perceptions de qui étaient et sont toujours victimes du génocide sont un facteur clé dans la vie politique rwandaise. Crédit image : Dylan Walters.
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[vedette] Victimes du génocide sont une catégorie sociale importante au Rwanda [/standout] dans la première partie de ce montant dans la consolidation de la paix et la justice, nous avons examiné le lien entre les revendications de droit par le héros et la justice sociale. Revendications de « possibles » peuvent conduire aux sociétés où droits et accès aux ressources de l’État dépendant appartenant et appartenance à un groupe, plutôt que des normes d’équité et d’égalité. Ainsi, des droits spéciaux peuvent présenter un problème de justice sociale.

Dans le contexte des transitions après les conflits, les victimes des violences politiques jouent un rôle important. Une indemnité basée sur le droit des victimes peut être vu conformément à la « discrimination positive », favorisant les membres désavantagés de la société. Victimes de crimes de masse sont vulnérables, ils ont besoin de réparation et ils ont même le droit à une indemnité en raison du préjudice qu’elles ont subies. Tel que discuté précédemment, victime revendications peuvent être tracées à la règle psychologique qu’il est juste et équitable d’être indemnisés pour la malchance ou de souffrance. Pourquoi alors peut il devenir problématique d’intituler les victimes de crimes politiques ?

Le statut des victimes au Rwanda

Rwanda a connu un génocide cruel en 1994. Environ 75 % de la population Tutsi du pays a été abattu par les forces extrémistes du gouvernement alors dirigé par Hutu et ses milices.

Les victimes de cet événement sont une catégorie sociale importante au Rwanda. Le leitmotiv de la politique du pays après le génocide mené par les rwandais Front patriotique (FPR), mouvement rebelle victorieuse qui a mis fin au génocide, est « Plus jamais ». Honorant et en souvenir des victimes et rescapés du génocide sont l’un de ses piliers centraux. Toutefois, identifier les victimes admissibles pour la réparation et la commémoration est une question hautement politisée et attaquée. Sans compter que les Tutsi reconnu, la violence au Rwanda a laissé de nombreuses autres victimes, y compris les victimes de la guerre civile « ordinaires » et les Hutus qui ont été dénoncés et tués dans les zones contrôlées par le FPR, ou pour se venger.

Mais ces victimes ont pas leur place dans la mémoire officielle et aucun accès à des programmes de réparation, alors ils se sentent abandonnés et injustement traités. Ce déni uniforme et la négligence de la souffrance des parties de la population mène à l’amertume et victime de la concurrence. Ainsi, par exemple, il cas ont été signalés de l’égoïsme de la victime dans le cadre des juridictions gacaca semi-traditionnelle qui ont été mis en place en 2002 pour faire face à des crimes de génocide. Les procédures ont semble-t-il été détournés à des fins personnelles, y compris l’enrichissement et la vengeance. Ce genre d’incidents et le fait que seuls les cas de génocide et pas « ordinaires » des crimes de guerre peuvent être traduits en justice, conduit à un sentiment permanent d’exclusion sur le côté de la partie de la population.

Victimisation est un phénomène intéressant lorsqu’il s’agit de droit et de la justice. D’une part, être victimisées brise la vie des personnes touchées. Indemnisation des souffrances est un élément central du droit criminel, comme punition pour les coupables. Victimes font partie de la société moins favorisée dans, et leur versement peut être considérée comme une contribution à la création de la cohésion sociale et d’équité.

En revanche, la recherche a constaté que les victimes ont tendance à se comporter de manière égoïste, dirigé par un sens du droit à l’égale"la partition ». Vamik Volkan a observé ce droit « exagéré » dans l’étude des groupes de victimes qui font des réclamations pour leur propre groupe, quel que soit le coût et les conséquences pour les autres.

[Légende] Photos des victimes du génocide sur l’affichage à la Kigali Genocide Memorial Centre. Crédit image : Adam Jones. / [caption]

Un rôle sacré ?

[vedette] L’autorité morale qui ont émergé de la victimisation des Tutsis a construit la supériorité morale des prétentions au pouvoir [/standout] en outre, dans le domaine globalisé de consolidation de la paix, l’état de la victime a subi un « réaménagement ». Victimes ont eu une « aura » presque sacrée, étant donné que les droits de l’homme et des concepts comme la Justice transitoire sont devenues dominantes. Cette sympathique structure mondiale facilite l’émergence de « victimes comme protagonistes » et l’évolution d’une économie « compassion », basée sur la « banalisation de la souffrance ». Sur le plan international, victimisation est devenu « rentable », apportant avec elle morale autorité, légitimité politique et les avantages économiques possibles sous la forme d’allocations, par exemple, organismes d’aide.

Dans l’affaire rwandaise, l’autorité morale qui ont émergé de la victimisation des Tutsis a construit la supériorité morale des prétentions au pouvoir et à la mobilisation du soutien. L’échappée sociale dans la société rwandaise est construite autour des héros et des victimes du génocide, considérées comme des Tutsi. Tant de Hutus se sentent comme des citoyens, en raison d’une supposée culpabilité collective.

De cette façon, victimisation est la seule chose capable de libérer les gens de culpabilité et fournir la citoyenneté agencée et supériorité morale.

Concours sur la victimisation et la mobilisation politique

En conséquence, Hutu exilés dans le monde entier ne sont pas étonnamment mobiliser autour de leur victime, encadrant leurs revendications dans le langage des droits de l’homme, la souffrance et la justice internationale.

Sur le 20e anniversaire du génocide, par exemple, la diaspora rwandaise en Belgique a lancé la campagne de #ITooAmAVictim, avec rwandais et sympathisants dans le monde entier partagent leur expérience de la victimisation perçue. En pointant sur la victimisation causée par le FPR, l’opposition politique s’interroge également sur le droit moral du gouvernement FPR.

Cette compétition sur les possibles du statut de victime rend victime une ressource attrayante qui peut être utilisée à des fins politiques et économiques. En particulier sur la scène internationale, où les demandes fondées sur le statut de victime résonnent avec les discours sur les droits de l’homme, tous les acteurs pointent vers des expériences de la victimisation à gagner du terrain moral et tenter d’obtenir un soutien international.

Au Rwanda, ces questions ne contribuent pas à approfondir la compréhension et les manières de vivre ensemble. Au contraire, elles favorisent des rumeurs et ressentiment. Il ne supporte pas de structures utiles pour la justice sociale.