Il y a beaucoup de contradictions dans le paysage politique de l’Ouganda. Mais, l’un est particulièrement intéressante. Ancien Seigneur de combattants de la Resistance Army (LRA) y compris les commandants supérieurs et des collaborateurs qui seulement il y a quelques années a juré de tuer Museveni et renverser son gouvernement, parlent désormais de manière très favorable de lui. Certains ont même rejoint son parti NRM au pouvoir.

Pour donner un exemple, la nouvelle Vision appartenant au gouvernement le 3 août a rapporté que le général de brigade Sam Kolo, ancien porte-parole chef de la LRA, a été élu sans opposition comme NRM vice président pour la Ligue des anciens combattants dans le District de Nwoya dans le nord de l’Ouganda. L’article a en outre signalé que Kolo a déclaré qu’il avait « hâte pour devenir député (MP) pour Nwoya en 2016. » Kolo a été gracié en 2005 suite à ses retombées avec Joseph Kony et a été « sauvé » par les Forces de défense des peuples ougandais (UPDF).

Un autre ancien combattant de la LRA, le lieutenant Jackson Acama, a été également élu par le NRM Secrétaire pour la publicité pour les personnes handicapées (« Ancien rebelle Kolo victoires NRM siège à Nwoya » nouvelle Vision mardi 3 août 2010). En juin 2010, David Nyekorach Matsanga, ancien chef de la LRA de délégation aux pourparlers de paix de Juba et un autre porte-parole de la LRA depuis longtemps et une critique acerbe de Museveni, a été également été amnistiés par le gouvernement de l’Ouganda. Matsanga plus tard loué Museveni et le gouvernement et a nié les allégations qu’il commis des atrocités dans le nord de l’Ouganda, dont il accuse les partis d’opposition (voir Matsanga ne doit pas avoir été donner amnistie-nouvelle Vision jeudi 10 juin 2010 pour en savoir plus).

La LRA, un groupe rebelle qui se bat contre le gouvernement de Yoweri Museveni depuis qu’il est arrivé au pouvoir en 1986 (et continue de se battre aujourd'hui), a eu de nombreux de ses ex-combattants réinsérés dans les communautés d'où ils ont été enlevés ou commettaient des atrocités. Certains de ces combattants ont été secourus lors d’opérations militaires ou retournés avec la permission de loi d’amnistie de l’Ouganda de 2000. Cette loi d’amnistie était initialement Museveni et son parti sont opposée mais faite par le Parlement en raison de l’appui massif qu'il apprécié dans tout le pays. Plus 15 000 combattants de la LRA sont depuis retournés en vertu de la Loi d’amnistie. Le dirigeant de la LRA Joseph Kony et un estimatif forces vives 2 000 toutefois continuent à commettre des atrocités en RDC, sud du Soudan et les parties de la République centrafricaine (voir ' LRA : exportation pire de l’Ouganda du siècle ', Daily Monitor 3, août 2010).

À la lumière de ces événements, nous devons poser des questions. Par exemple, nous voyons le début du long voyage vers la réintégration et la réconciliation nationale en Ouganda ? Ou, est-ce une tactique de diversion politique ou favoritisme pour une amnistie générale par les anciens combattants qui craignent la persécution si réputé dans l’opposition ? La LRA interprète la « rébellion de renoncer » en vertu de la Loi d’amnistie actuel pour signifier son soutien à Museveni ? Ou bien, la nouvelle liaison entre Museveni NRM et ancien LRA n’est une panacée pour la consolidation de la paix durable en Ouganda ? Cette image des anciens ennemis concilier peut être traduite dans un processus plus large de réconciliation nationale ?

Dans le même temps, comme ces questions remuer, des efforts déployés par les groupes de victimes, les droits de l’homme et les acteurs de la société civile faisant l’apologie de mise en œuvre des mécanismes de justice transitionnelle complète y compris modifiant la Loi d’amnistie pour enlever l’amnistie générale et d’exiger des auteurs pour expliquer leur rôle dans le conflit en échange de l’amnistie n’a pas donné beaucoup de succès. En d’autres termes, il continue d’y avoir aucun espace pour les victimes et les bénéficiaires de l’amnistie de concilier leurs histoires du conflit. Quels sont les rôles perçus par la LRA et le gouvernement de l’Ouganda. Ce qui pourrait expliquer le triomphe des anciens combattants à la vie politique de l’Ouganda ? Est le gouvernement se pliant aux craintes des personnes ou parties font une tentative de réconciliation ? Quelqu'un peut-il expliquer s’il vous plaît ces paradoxes ?

Stephen Oola