La Nouvelle Vision sur le dimanche 15 août 2010 a publié les résultats de son enquête à l’échelle nationale sur quelle demande ougandais la plupart de leurs gouvernements et dirigeants politiques aspirants viennent 2011 (voir ce qui demande d’ougandais, dimanche 15 août 2010 de Vision ). Le résultat de l’enquête révèle que la plupart des ougandais envisage santé, transports, éducation, enfants et l’emploi comme leurs questions les plus pressantes. Comme un ougandais, je partage en grande partie que les questions ci-dessus sont très pressants pour beaucoup de gens là-bas. Échéance crédit doit être donné à la nouvelle Vision pour mener cette enquête exhaustive. L’espoir est que l’actuel gouvernement NRM utiliseront les quelques mois de son mandat actuel au bureau pour corriger ces insuffisances dans la prestation de services aux nombreux ougandais. Beaucoup de critiques étant un gouvernement appartenant à papier de nouvelles, s’empresseraient de brosser ses conclusions comme politiquement édité. Toutefois, lors de la conclusion que nombreux Ougandais ne vous focalisez pas sur les libertés politiques et droits de l’homme mais la prestation des services sociaux peut paraître suspect à certains, en effet nous devons apprécier que ce ne sont pas mutuellement exclusives impératifs.
Certainement le déficit évident dans la prestation des services sociaux des effets sur la réalisation des droits de l’homme et des libertés politiques. Pour tenter d’orienter clairement de controverse politique, l’enquête malheureusement n’a pas demandé ougandais ce qu’ils perçoivent comme causes possibles de l’état actuel de prestation des services sociaux non satisfaits et dont la politique pourrait être blâmée. Aucun répondant n’a demandé sur qui pourrait délivrer ou modifier le statu quo. Aussi, l’enquête n’a pas demandé pourquoi tant de services sociaux indispensables n’étaient pas remplies malgré les chiffres du gouvernement continue montrant l’intervention dans ces secteurs-santé, routes, l’agriculture et la sécurité. En d’autres mots, les problèmes de sécurité personnelle individuelle, agriculture, lutte contre la pauvreté, affaires ainsi que l’eau et l’assainissement continuent d’esquiver les nombreux points d’ougandais à un beaucoup plus grand déficit structurel en matière de gouvernance. Santé, un droit humain fondamental et un précurseur à la dignité humaine est classée par 97,4 % des répondants comme leur problème numéro un. Ce ne sera pas surprenant de nombreux ougandais, compte tenus des révélations récentes d’escroqueries et de corruption au sein du ministère de la santé - y compris les plus Global financer pour le VIH/sida et le paludisme. Ougandais se rendront à scrutin l’an prochain pour élire leurs dirigeants politiques et les gouvernements. Il y a un certain nombre de différents partis politiques et coalitions échauffement à renverser le gouvernement actuel de GRN sous la houlette du Président Yoweri Kaguta Museveni. Mais déjantage Museveni n’est pas une panacée pour les solutions de l’Ouganda. La question est donc : Quelles sont les causes structurelles qui font obstacle à la prestation de services en Ouganda aujourd'hui ? La meilleure façon elles peuvent être adressées ? Quel parti a des politiques appropriées pour régler ce problème ? Comment ougandais s’assurer qu’un régime ' politiques fonctionnent à leur avantage dans la prestation des services sociaux ?