[Légende id = « attachment_30518 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Les femmes au Darfour marche contre la violence sexiste. (Crédit image : Albert Gonzalez Farran / MINUAD) / [caption]
Alors que les guerres prennent l’humanité à la tâche sans discrimination, ce sont les femmes qui sont connues pour être les pires victimes du conflit. Même s’il est souvent plus facile de croire que ce sont ceux qui servent dans les armées qui souffrent le plus, guerre inflige des souffrances plus grandes sur les femmes.
Femmes sont obligées de fournir à leurs familles contre toutes sortes d’adversités, comme la responsabilité d’être un soutien de famille tombe sur eux avec leurs hommes dans le champ de bataille. Ils sont faits pour trouver un moyen de vivre face à une menace flagrante de leur existence. Si elles ne font pas un moyen de trouver un moyen de subsistance, la faim tue les femmes et leurs familles. Si elle établit sa façon d’exécuter le gant de la guerre, la violence sexuelle plane sur sa tête comme une épée en attente de laisser tomber. Les corps des femmes deviennent des champs de bataille. Combattants et non-combattants exploitent sexuellement les femmes.
Dans mon dernier post, j’ai parlé sur la violence sexuelle comment est un élément qui subsiste dans un continuum de temps de paix-en temps de guerre. Toutefois, l’accident est multipliée plusieurs fois dans un contexte de conflit. Qu’est-ce qui fait violence sexuelle si commun sur chaque camp et après ?
Viol et violences sexuelles à la micro niveau peut être un produit des intentions lubriques, troubles mentaux ou la dépravation, comme des offres de criminologie. Cependant, au niveau macro – où les cas ne sont pas des cas individuels, mais un collectif de plusieurs instances individuelles qui se produisent à vertigineuses vitesse, il s’agit la dominance.
Que les hommes se battre dans la guerre, il y a une tendance à vouloir briser l’ennemi. Une victoire est une victoire : n’importe comment petit ou gros comment il peut être. Un article récent a révélé qu’un soldat venu de dire qu’ils ont fait tout ce qu’ils voulaient en guerre, et lui-même avait violé 53 femmes.
La violence sexuelle est déployée comme arme de guerre, parce qu’à l’utilisateur, il est bon marché, simple et extrêmement efficace pour atteindre l’objectif de briser l’ennemi. Quand le viol de combattants par la douzaine, it isn't juste au sujet de pulsions sexuelles, mais voyant la femme de l’ennemi – parfois uniquement des femmes environ – briser devant eux, physiquement, émotionnellement et mentalement. Pour eux, c’est une « victoire » sadique, ou en termes plus graphiques, un moyen de « gagner une guerre ». Viols et violences sexuelles dans les conflits n’est pas sur le sexe ou la luxure, mais sur la dominationet prenant sur la violence sexuelle en temps de paix à une plus grande échelle.
Et à bien des égards, à l’aide de viol et violence sexuelle comme arme de guerre est une partie d’un plan stratégique, comme la campagne de Gaddhafi « Viagra ». Pourquoi est-il si facile de déployer des viols et des violences sexuelles dans le cadre de la dynamique de la campagne ?
Quand une femme est soumise à la violence sexuelle dans toutes ses formes, subit un préjudice non seulement physique ou psychique, elle souffre également un stigmate. Grevés au traumatisme supplémentaire d’humiliation, familles tourner ces femmes hors de leurs maisons. Lorsque les femmes sont repoussées depuis leur domicile, l’épine dorsale de la société est brisé. Hommes refusent d’épouser des femmes victimes de violences sexuelles. Hommes mariés ne souhaitons accueillir ces femmes dans leur vie, car à leurs yeux, ils sont « des marchandises ». Ce ne sont pas quelques sous-produits de violences sexuelles. Ceux-ci sont prévus et les résultats attendus.
En ce sens, la violence sexuelle est calculée, brutal et absolument dépourvus de l’humanité. À l’aide de violences sexuelles comme un modus operandi en temps de guerre est motivée par un désir malsain et hégémonique de puissance. La guerre est sur l’utilisation de tactiques qui animent la destruction, l’humiliation et la peur dans la société adversaire, de dénigrer et de miner la sainteté attachée au tissu d’une société pacifique. L’arrière-pensée pour elle, c’est que leur conduite invariablement décomposerait la société entièrement. La violence sexuelle dans les situations de conflit et post-conflit, devient donc pour les factions en guerre, une méthode qui sert à renforcer les hiérarchies sexués et politiques.