Center For Security Studies and Development (CENSSAD) cherche à servir de catalyseur pour l’analyse de la sécurité, la paix, la résolution des conflits, renforcement des capacités, développement et démocratie en Afrique de l’Ouest. Son objectif est d’offrir une tribune pour discuter des défis posés à la sécurité, la gouvernance démocratique et développement.
CENSSAD a lancé consultatifs dialogues entre motards commerciaux et agents de police pour inverser la culture contradictoire qui prévaut entre les deux groupes à celui où ils travaillent ensemble sur des questions d’intérêt et éviter d’éventuelles émeutes violentes. Au cours des années, les tensions entre les deux groupes ont suscité un certain nombre d’incidents de violence à travers le pays et représentait un défi majeur pour le processus de consolidation de la paix. Motocyclistes commerciales sont généralement perçues au Libéria comme fauteurs de troubles, tandis que motards croient qu’ils sont habituellement traités injustement surtout quand les plaintes sont traitées. États sahélo-sahariens s’efforce d’inverser cette situation.
CENSSAD est un membre très actif du Libéria alerte précoce et de réponse réseau et continue de contribuer à l’analyse des questions portées à l’attention du réseau par le biais de sa notification système ou la table ronde de discussions des incidents dans tout le pays.
CENSSAD a établi une relation de travail cordiales avec un certain nombre d’agences de sécurité clés y compris de la Police nationale du Libéria, le Bureau de l’Immigration et de naturalisation et s’emploie à former des partenariats durables avec les autres tout en continuant son engagement avec la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL) et les syndicats de la moto du Libéria.
Suite à des périodes d’engagement et de consultation, CENSSAD s’apprête à aller de l’avant dans ses travaux comme suit. Elle lancera sous peu un projet qui favorise le renforcement gouvernance du secteur sécurité au Libéria. Le projet permettra de renforcer des relations de la sécurité civile et dure pendant une période de six mois. Ce sera l’occasion pour promouvoir la participation de la société civile avec les acteurs de sécurité étatiques. L’engagement se traduira par collaboration et éventuellement partage de l’information qui menace la paix et la sécurité.