La Justice et la Commission de la paix (JPC) a été fondée en 1991 dans le seul but de la surveillance du droit de la paix fragile après que le premier cessez-le-feu signé entre le gouvernement et les rebelles au Libéria. JPC a depuis étendu son travail pour aborder les questions concernant la justice sociale, économique, politique et religieuse ainsi que le respect des droits de l'homme.
L'organisation fonde ses travaux sur trois objectifs généraux : découvrir et faire des atteintes aux droits de l'homme et violations ; pour promouvoir le respect des droits de l'homme, la démocratie, la justice et la paix ; et de promouvoir le dialogue, la tolérance et la coexistence entre toutes les sections de la société libérienne.
Dans le domaine des droits de l'homme, il a un programme destiné à créer un mouvement de société civile consciente et forte de droits de l'homme pour affronter la longue culture du silence sur les violations des droits de l'homme. La JPC est directement engagée dans la surveillance, enquête, documentation et rapports de violations et atteintes aux droits de l'homme.
En termes d'accès à la justice, l'organisation fournit des services juridiques gratuits aux personnes défavorisées dont les droits sont violés, mais n'ont pas les moyens d'acquérir le redressement judiciaire. Par l'intermédiaire de leur programme de visites et l'assistance de prison, la Commission parlementaire mixte examine les modalités et la durée de la détention, la santé et la condition physique générale des détenus et l'état général des établissements pénitentiaires et fournit des services au besoin.
Un élément essentiel des travaux de la Commission parlementaire mixte est d'effectuer la résolution des conflits et formation de la consolidation de la paix et ateliers au niveau communautaire, afin de promouvoir la non-violence comme une méthode de résolution des conflits.