Fondation publique « Legal Clinic sofiene » a été créée en mai 2002 pour la protection de la liberté et des droits de l’homme par la fourniture d’accès à une assistance juridique gratuite pour larges couches de la population et la hausse de la culture juridique des citoyens.
Depuis 2002, Legal Clinic sofiene a mis en place plus de 20 projets. Il a établi un partenariat avec les organisations internationales telles que : le HCR, le PNUD, le FNUAP et la Banque mondiale. L’organisation a pris part à l’élaboration de la base juridique concernant les institutions de soutien social et d’un système de soutien juridique et de protection des droits des personnes vivant avec le VIH, réfugiés, enfants et autres groupes vulnérables.
Les principales activités de l’organisation incluent :
- Fournir une assistance juridique gratuite pour les groupes vulnérables de la population et de sa culture juridique.
- Surveillance et respectant les droits des citoyens par des organismes gouvernementaux.
- L’amélioration des bases législatives sur des questions importantes.
- Activités de sensibilisation à la hausse.
Projets
Prévention des conflits au cours de processus électoraux
Financé par l’ambassade britannique au Kirghizstan, ce projet visait à création d’un environnement propice à la résolution des conflits. Le projet comporte une menace de s’attaquer aux associés à l’apparition de conflits dans le processus électoral, de façons telles que l’amélioration du système électoral et de la législation électorale de la République kirghize sur la base des normes internationales ; fournir des conseils juridiques gratuits grâce à une ligne téléphonique ; et la tenue de tables rondes, des audiences publiques et parlementaires.
Aspects juridiques au projet de prévention de conflit
Financés par le HCR, ce projet a été mis en œuvre dans le cadre d’un vaste programme visant à renforcer la démocratie et la primauté du droit et à promouvoir la paix et la stabilité en République kirghize.
Renforcer le projet sur les droits des minorités ethniques
Ce projet a été soutenu par le haut commissaire de l’OSCE pour les minorités nationales entre 2010 et 2011.