Wahdatouna Khalasouna (anglais : notre unité est notre salut) se présente comme un réseau national pour la société civile et une plate-forme de répandre la démocratie et l’unité au niveau local. Elle vise également à influer sur l’élaboration des politiques. Par exemple, il a été très actif dans la sensibilisation contre les extensions des démonstrations de mandat et attaque par le Parlement libanais contre elle. C’est un puissant groupe de pression depuis ses mains de jointure des organisations membres et partager l’expertise. Il couvre de nombreux domaines de la consolidation de la paix, allant de reconciliaton, paix sociale et raideurs société contre la violence, à des femmes et des enfants droits, autonomisation et la responsabilisation, sensibilisation juridique et en soutenant l’indépendance de la pouvoir judiciaire, ainsi qu’à préserver du Liban patrimoine, environnement et ressources naturelles. Plusieurs des organismes réunis sous ce réfugiés d’aide de parapluie ainsi, les Palestiniens et les Syriens.
Subissent une plate-forme pour la démocratie et la citoyenneté active, il a toujours des pressions pour une solution « Libanaise fait » aux problèmes du pays est confrontée, y compris de l’impasse politique actuelle et l’échec continu depuis mai 2014 à élire un nouveau président. Il appelle, par le biais de travaux individuel et collectif des organisations, pour lutter contre la montée du confessionnal et la haine de sectarisme, ainsi que le racisme croissant contre les réfugiés syriens qui sont plus de 1 million dans un pays de 4 millions d’habitants.
Chaque année, le 13 avril, Wahdatouna Khalasouna, se souvient du jour où la guerre civile a commencé au Liban en 1975. Grâce à une série d’activités et campagnes dans les médias avec des personnalités religieuses et des jeunes, ça marche pour sensibiliser la population sur les horreurs libanais personnes ont enduré, dans l’espoir de prévenir les conflits futurs. Anciens combattants repentis parlent, dénonçant la violence sous quelque prétexte, epecially avec la montée du fondamentalisme religieux armé. Cette année, il y avait activités sur 40 jours à retenir au fil des années 40 au début de la guerre civile qui a fait 150 000 morts et s’est terminée officiellement en 2000. Conférences, ateliers et pièces interactives continuera jusqu’en avril 2016 à différents endroits partout dans le pays.
Wahdatouna Khalasouna utilise son réseau étendu dans tout le pays pour aider les familles de 17 356 libanais afin de découvrir le sort de leurs proches qui ont disparu pendant la guerre de sécession, beaucoup d'entre eux semblent être toujours kidnappés par le régime syrien.
Son travail auprès des jeunes qui court tout au long de l’année, y compris les événements culturels et ateliers et conférences et autres activités dans les écoles et universités. Il appelle à l’unité nationale par le biais de l’éducation et croit qu’avoir un livre d’histoire national unifié permettrait de construire des ponts entre les jeunes libanais et finissent les récits contradictoires des stéréotypes négatifs passés, mais aussi réduire de concitoyens qu’ils peut être récepteur forment leurs parents ou les médias.
Wahdatouna Khalasouna a créé un Observatoire de la paix civile. Elle émet des rapports hebdomadaires sur tous les événements dans le pays, comment ils sont affichés dans les médias locaux et internationaux et des analyses de son potentiel d’influence sur la paix civile. Il sert de source à jour bien documentée et objective pour les chercheurs de la société libanaise et de la politique.